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'''Blue Beat Records''' est une [[Label discographique|maison de disques]] [[Angleterre|anglaise]] de musique [[Jamaïque|jamaïcaine]] de style blues (R&B) et de la [[reggae]]-[[ska]] dans les années 1960 et les décennies suivantes au [[Royaume-Uni]]. |
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Sigimund "Siggy" Jackson a été nommé par Emil Shalit en charge du label. Sigimund Jackson a ensuite choisi le nom Blue Beat, qui, selon lui, était une adaptation de "''It sounds like blues and it's got a great beat''" ou "''Blues Beat''", qui serait un terme générique pour la musique blues jamaïcaine à l'époque<ref name="Larkin2" />. |
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Blue Beat Records est une maison de disques anglaise de musique jamaïcaine de style blues (R&B) et de la reggae-ska dans les années 1960 et les décennies suivantes au Royaume-Uni.
Sa réputation a conduit à l'utilisation du mot blue beat ou blue beat comme terme générique pour décrire tous les styles de musique pop jamaïcaine ancienne, y compris la musique d'artistes non associés au label.
Historique
Melodisc Records, qui a été fondée à Londres en 1947, s'est spécialisée dans la diffusion de calypso et de mento et de la musique de jazz américaine importée, ce label appartenant à Emil E. Shalit[1],[2] crée le label Blue Beat en 1960[3] à Londres. Ce label a été lancé à la suite du succès pour le label Melodisc records du titre Lonesome Lover de Laurel Aitken[1], un chanteur jamaïcain née à cubain, surnommé le Godfather of Ska (le parrain du Ska).
Blue Beat Records publie dans dans les années 1960 et les décennies suivantes, plusieurs centaines de 45 tours, principalement au Royaume-Uni autour du style blues jamaïcain et le R&B sous influence américaine, qui ont évolué plus tard vers le ska. Un des titre les plus connu du label est Al Capone de Prince Buster.
Sigimund "Siggy" Jackson a été nommé par Emil Shalit en charge du label. Sigimund Jackson a ensuite choisi le nom Blue Beat, qui, selon lui, était une adaptation de "It sounds like blues and it's got a great beat" ou "Blues Beat", qui serait un terme générique pour la musique blues jamaïcaine à l'époque[1].
Le blue beat est associé à la sous-culture mod.
Notes et références
- Larkin, Colin (1998) The Virgin Encyclopedia of Reggae, Virgin Books, ISBN 0-7535-0242-9, p. 31-32
- "'Blue Beat' Brought Jamaican Ska To UK Shores", Jamaica Gleaner, 29 June 2014. Retrieved 29 June 2014
- http://jamaica-gleaner.com/article/entertainment/20191027/vintage-voices-blue-beat-bolsters-jcan-music-uk#.XkB-5Hlx3vs.twitter
