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Le {{date|30|janvier|1879}}, le président [[Patrice de Mac Mahon|Mac Mahon]] démissionne, après avoir refusé de signer le décret révoquant certains généraux<ref>{{harvsp|Alfred Colling|1949|p=294|id=Colling}}.</ref>. Le jour-même, les parlementaires [[Élections présidentielles sous la Troisième République#Élection présidentielle de 1879|élisent]] Jules Grévy à la présidence de la République, par 563 voix. Il est le premier républicain à exercer cette fonction<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Gérard-Michel Thermeau |titre=Ils étaient Présidents : Jules Grévy |url=https://www.contrepoints.org/2017/01/15/276726-etaient-presidents-jules-grevy |date=15 janvier 2017 |site=contrepoints.org |consulté le=3 décembre 2017}}.</ref>. Dans son discours devant le Sénat du {{date-|6 février 1879}}<ref>{{Article|langue=fr|prénom1=T|nom1=L.|titre=Discours de Jules Grévy adressé au Sénat le 06 février 1879|périodique=Publications Doc Du Juriste|date=2011-08-10|lire en ligne=https://www.doc-du-juriste.com/droit-public-et-international/droit-constitutionnel/dissertation/discours-jules-grevy-6-fevrier-1879-constitution-477920.html|consulté le=2017-02-02}}.</ref> il annonce qu'il n'ira jamais à l'encontre de la volonté nationale, et de fait, abandonne l'exercice du [[dissolution parlementaire (France)|droit de dissolution]]. Jules Grévy renonce ainsi à la conception dualiste du régime parlementaire instauré par son prédécesseur (le maréchal de Mac Mahon) en établissant un système moniste du régime. On parle dès lors de « Constitution Grévy » (expression du constitutionnaliste [[Marcel Prélot]]), dans la mesure où ses successeurs vont respecter cette conception moniste. Laquelle, affaiblissait les prérogatives de l'Exécutif, notamment du président de la République, au profit du Législatif : c'est l'accouchement d'un régime d'Assemblée. Le lendemain, [[Léon Gambetta]] déclare : {{Citation|Depuis hier, nous sommes en République}}<ref>{{harvsp|Georges-Léonard Hémeret|Janine Hémeret|1994|p=44|id=Hémeret}}.</ref>. La révision de la Constitution a lieu du 19 au {{date-|21 juin}}. Elle porte notamment sur des mesures qui pérennisent les symboles de la République : le [[Fête nationale française|14 juillet]] et ''[[La Marseillaise]]'' sont adoptés comme symboles. D'une part, les deux Chambres sont transférées à Paris, d'autre part le président de la République élit officiellement domicile au sein du [[palais de l'Élysée]].
Le {{date|30|janvier|1879}}, le président [[Patrice de Mac Mahon|Mac Mahon]] démissionne, après avoir refusé de signer le décret révoquant certains généraux<ref>{{harvsp|Alfred Colling|1949|p=294|id=Colling}}.</ref>. Le jour-même, les parlementaires [[Élections présidentielles sous la Troisième République#Élection présidentielle de 1879|élisent]] Jules Grévy à la présidence de la République, par 563 voix. Il est le premier républicain à exercer cette fonction<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Gérard-Michel Thermeau |titre=Ils étaient Présidents : Jules Grévy |url=https://www.contrepoints.org/2017/01/15/276726-etaient-presidents-jules-grevy |date=15 janvier 2017 |site=contrepoints.org |consulté le=3 décembre 2017}}.</ref>. Dans son discours devant le Sénat du {{date-|6 février 1879}}<ref>{{Article|langue=fr|prénom1=T|nom1=L.|titre=Discours de Jules Grévy adressé au Sénat le 06 février 1879|périodique=Publications Doc Du Juriste|date=2011-08-10|lire en ligne=https://www.doc-du-juriste.com/droit-public-et-international/droit-constitutionnel/dissertation/discours-jules-grevy-6-fevrier-1879-constitution-477920.html|consulté le=2017-02-02}}.</ref> il annonce qu'il n'ira jamais à l'encontre de la volonté nationale, et de fait, abandonne l'exercice du [[dissolution parlementaire (France)|droit de dissolution]]. Jules Grévy renonce ainsi à la conception dualiste du régime parlementaire instauré par son prédécesseur (le maréchal de Mac Mahon) en établissant un système moniste du régime. On parle dès lors de « Constitution Grévy » (expression du constitutionnaliste [[Marcel Prélot]]), dans la mesure où ses successeurs vont respecter cette conception moniste. Laquelle affaiblissait les prérogatives de l'Exécutif, notamment du président de la République, au profit du Législatif : c'est l'accouchement d'un régime d'Assemblée. Le lendemain, [[Léon Gambetta]] déclare : {{Citation|Depuis hier, nous sommes en République}}<ref>{{harvsp|Georges-Léonard Hémeret|Janine Hémeret|1994|p=44|id=Hémeret}}.</ref>. La révision de la Constitution a lieu du 19 au {{date-|21 juin}}. Elle porte notamment sur des mesures qui pérennisent les symboles de la République : le [[Fête nationale française|14 juillet]] et ''[[La Marseillaise]]'' sont adoptés comme symboles. D'une part, les deux Chambres sont transférées à Paris, d'autre part le président de la République élit officiellement domicile au sein du [[palais de l'Élysée]].


===== Mesures anticléricales =====
===== Mesures anticléricales =====

Version du 9 avril 2020 à 10:16

Jules Grévy
Illustration.
Jules Grévy dans les années 1870.
Fonctions
Président de la République française

(8 ans, 10 mois et 2 jours)
Élection 30 janvier 1879
Réélection 28 décembre 1885
Président du Conseil Jules Dufaure
William Henry Waddington
Charles de Freycinet
Jules Ferry
Léon Gambetta
Charles de Freycinet
Charles Duclerc
Armand Fallières
Jules Ferry
Henri Brisson
Charles de Freycinet
René Goblet
Maurice Rouvier
Prédécesseur Patrice de Mac Mahon
Successeur Sadi Carnot
Président de la Chambre des députés

(2 ans, 10 mois et 17 jours)
Législature Ire
Prédécesseur Gaston d'Audiffret-Pasquier[Note 1]
Successeur Léon Gambetta
Président de l'Assemblée nationale

(2 ans, 1 mois et 17 jours)
Prédécesseur Eugène Schneider[Note 2]
Successeur Louis Buffet
Biographie
Nom de naissance François-Judith-Paul Grévy[1]
Date de naissance [2],[Note 3]
Lieu de naissance Mont-sous-Vaudrey (Jura)
Date de décès (à 84 ans)
Lieu de décès Mont-sous-Vaudrey (Jura)
Nature du décès Congestion pulmonaire
Sépulture Mont-sous-Vaudrey
Nationalité Française
Parti politique Républicain modéré
Conjoint Coralie Fraisse
Enfants Alice Wilson
Entourage Daniel Wilson (gendre)
Diplômé de Université de Paris
Profession Avocat
Religion Déisme

Jules Grévy
Présidents de la République française

Jules Grévy, né le à Mont-sous-Vaudrey (Jura) et mort le dans la même commune, est un avocat et homme d'État français, président de la République française du au .

Parlementaire engagé aux côtés des républicains, il est arrêté lors du coup d'État de 1851.

Il est président de l'Assemblée nationale de 1871 à 1873 et de la Chambre des députés de 1876 à 1879.

Élu président de la République en 1879 et réélu en 1885, il est contraint à la démission en raison du scandale des décorations impliquant son gendre, Daniel Wilson.

Situation personnelle

Famille

François-Judith-Paul Grévy naît dans une famille aux convictions républicaines. Il est le frère d'Albert Grévy et de Paul Grévy.

Il se marie le à Paris, avec Coralie Fraisse, fille d'un négociant tanneur de Narbonne. Ils ont une fille : Alice (1849 – 1938). Jules Ferry fut plus tard, le témoin du mariage de sa fille avec Daniel Wilson, en 1881.

Jeunesse

Jules Grévy suit de brillantes études au collège de l'Arc à Dole. Mais lorsqu'en 1823 celui-ci est repris par les jésuites, son père le retire et l'inscrit au collège de Poligny. Il obtient une licence de droit à Paris et devient avocat. Il publie, en 1836, un recueil général de formules pour tous les actes judiciaires, Le Procédurier.

Parcours politique

Débuts

Sa carrière politique débute en 1848 : il est alors nommé commissaire de la République dans le Jura par le gouvernement issu de la révolution de février, puis est élu député du Jura en avril de la même année, à l'Assemblée constituante. Lors des débats relatifs à l'élaboration de la Constitution, il propose « l'amendement Grévy », contre l'élection du président de la République au suffrage universel, sans succès[3]. Cet amendement montrait son refus de légitimer le pouvoir d'une seule personne au-dessus de tout. Son idéal républicain repose sur un pouvoir impersonnel, exercé par une assemblée.

En 1849, Jules Grévy est élu à l'Assemblée législative, puis vice-président de celle-ci. Le , lors du coup d'État, il est arrêté, emprisonné à Mazas[4] puis libéré. Retourné au barreau, il est élu membre du conseil de l'ordre des avocats du Barreau de Paris en 1862, puis, en 1868, bâtonnier de l'ordre des avocats.

Vers la IIIe République

Jules Grévy revient en politique à la fin du Second Empire : élu député du Jura en 1868, il siège dans l'opposition. Il est hostile, avec Adolphe Thiers, à la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870. En février de l'année suivante, il est élu président de l'Assemblée nationale, jusqu'à sa démission en .

Jules Grévy est président de la Chambre des députés à partir du où il est élu président provisoire avec 414 voix. Son élection est confirmée le avec 462 voix[5]. Républicain modéré, signataire du manifeste des 363 lors de la crise du 16 mai 1877, il est chargé, peu après, de la direction du parti républicain à la mort de Thiers. Il est une première fois candidat à l'élection présidentielle de 1873, sans succès, face au légitimiste Patrice de Mac Mahon.

Président de la République

Premier mandat (1879-1886)

Représentation de Jules Grévy (1879).

Pérennisation de la république

Le , le président Mac Mahon démissionne, après avoir refusé de signer le décret révoquant certains généraux[6]. Le jour-même, les parlementaires élisent Jules Grévy à la présidence de la République, par 563 voix. Il est le premier républicain à exercer cette fonction[7]. Dans son discours devant le Sénat du [8] il annonce qu'il n'ira jamais à l'encontre de la volonté nationale, et de fait, abandonne l'exercice du droit de dissolution. Jules Grévy renonce ainsi à la conception dualiste du régime parlementaire instauré par son prédécesseur (le maréchal de Mac Mahon) en établissant un système moniste du régime. On parle dès lors de « Constitution Grévy » (expression du constitutionnaliste Marcel Prélot), dans la mesure où ses successeurs vont respecter cette conception moniste. Laquelle affaiblissait les prérogatives de l'Exécutif, notamment du président de la République, au profit du Législatif : c'est l'accouchement d'un régime d'Assemblée. Le lendemain, Léon Gambetta déclare : « Depuis hier, nous sommes en République »[9]. La révision de la Constitution a lieu du 19 au . Elle porte notamment sur des mesures qui pérennisent les symboles de la République : le 14 juillet et La Marseillaise sont adoptés comme symboles. D'une part, les deux Chambres sont transférées à Paris, d'autre part le président de la République élit officiellement domicile au sein du palais de l'Élysée.

Mesures anticléricales

Le est votée la « loi Paul Bert », qui crée des Écoles normales : elles forment désormais les professeurs dans un cadre et une idéologie républicaine. Le président soutient les mesures anticléricales de ses ministres, notamment contre les congrégations religieuses. Le président du Conseil Charles de Freycinet est ainsi fortement opposé à l'Église. Le passe la loi de Jules Ferry, qui réforme le Conseil supérieur de l'Instruction publique et qui exclut de fait les ecclésiastiques en ne réservant les places qu'à des professeurs. Trois jours plus tard, une autre loi retire le droit aux universités catholiques de porter le nom de « faculté », ceci dans le but d'attirer les étudiants dans les universités laïques. Le coup le plus important porté à l'influence de l'Église et de la religion a lieu le , alors qu'une loi interdit aux congrégations non autorisées d'enseigner, en amenant certaines comme les jésuites à quitter la France.

Le , des collèges et lycées pour filles sont créés, sous l'impulsion de Jules Ferry, à la fois président du Conseil et ministre de l'Instruction publique. Les lois Jules Ferry rendent progressivement l'école gratuite (1881), l'éducation obligatoire et l'enseignement public laïque (1882).

Politique générale
Portrait de Jules Grévy par Léon Bonnat (1880, exposé au château de Versailles).

Jules Grévy célèbre la première fête nationale le à Longchamp, où il remet de nouveaux drapeaux aux armées françaises. Ses ministères doivent faire face au krach financier de l'Union générale, le . Gambetta, porté par le succès des élections législatives de 1881, doit pourtant démissionner l'année suivante en raison des oppositions à son projet de réforme de la Constitution. En 1881, la liberté de réunion sans autorisation est accordée et en 1884, les anciens membres de la famille royale déclarés inéligibles aux élections républicaines.

En politique extérieure, le président Grévy se montre très attaché à la paix, ce qui lui vaut un conflit avec le boulangisme naissant, revanchard contre l'Allemagne. Il s'oppose également à l'expansion coloniale, pourtant voulue par Gambetta ou encore Ferry. Ainsi en 1881, un protectorat sur la Tunisie est créé, entre 1883 et 1885 l'Annam et le Tonkin sont occupés et en 1885, un protectorat instauré sur le royaume de Madagascar. Dans L'Histoire des Présidents, les auteurs écrivent : « Grévy n'était pas un homme de premier plan mais il exerça une influence certaine quoique discrète. Malgré son autoritarisme il accepta de laisser gouverner ceux qu'il avait choisis. Mais il évita de confier le soin de former le gouvernement à une personnalité trop forte qui aurait pu lui porter ombrage »[10]. Ainsi, sa rivalité avec Léon Gambetta se manifeste dans la mesure où il s'efforce de l'écarter de la présidence du Conseil ; celui-ci ne siège ainsi que 73 jours au sein de son « Grand ministère ».

Dans les pages qu’il a consacrées à Grévy dans L'Élysée, histoire d'un palais (2010) Georges Poisson évoque le peu de prestige et la pingrerie du personnage : « Le président recevait, en plus de sa liste civile, 600 000 francs de frais de déplacement… sans se déplacer, et des frais de représentation, sans représenter ». Henri Rochefort racontait l’histoire d’un jeune homme en tenue de soirée qui avait été arrêté après avoir volé un petit pain et qui s’excusa en disant qu’il sortait d’un dîner chez le président de la République. « Il fut immédiatement relâché et les passants firent une collecte en sa faveur ».

C'est à l'occasion du décès de Victor Hugo, le , qu'il décide de rendre au Panthéon de Paris le statut de temple républicain, statut qu'il a conservé depuis lors. Des funérailles y sont organisées le .

Second mandat (1886-1887)

Jules Grévy dans les années 1880.

À 78 ans, Jules Grévy est facilement réélu à la présidence de la République, lors de l'élection présidentielle de décembre 1885. Son second mandat commence le 30 janvier 1886.

En 1887, éclate le scandale des décorations : le gendre du président, Daniel Wilson, est accusé de trafic d'influence. Il mettait à profit sa situation familiale pour trafiquer, contre de l'argent, des nominations dans l'ordre national de la Légion d'honneur[11]. Les chambres appellent alors Grévy à la démission, qui dans un premier temps refuse. Cependant, tous les ministres pressentis se récusent l'un après l'autre et Henri Rochefort ironise férocement en écrivant : « Ceux qui sont résolus à ne pas devenir ministres feront sagement d'écrire sur la façade de leur maison : il est interdit de déposer des portefeuilles le long de ce mur ».

Une partie de la population chante :
« Son austère bienséant
À l’Élysée s’trouve à l’aise ;
Y colle au fond de la chaise,
Qui colle à l’appartement.
Afin d’chasser d’son repaire
L’vieux à son fauteuil ancré
Va falloir foutre par terre
Tout l’faubourg Saint-Honoré[Note 4]. »
.

Après près de neuf ans de présidence, il finit par démissionner le 2 décembre. Cette affaire contribue à la décrédibilisation de la République et a alimenté la crise boulangiste[12].

Par aversion à l'égard de Gambetta, Jules Grévy a faussé le jeu parlementaire en écartant le chef de la majorité de la Chambre des députés et en confiant la présidence du Conseil à des personnalités plus proches de lui. Il est responsable de l'absence d'un pouvoir exécutif fort et, en conséquence, de l'instabilité des gouvernements successifs de la IIIe République[13].

Franc-maçon, il a appartenu à la Loge d'Arras « La Constante Amitié », du Grand Orient de France[14].

Mort et obsèques

Jules Grévy avec son gendre, Daniel Wilson, en 1889.

Jules Grévy meurt le , à Mont-sous-Vaudrey, des suites d'une congestion pulmonaire, à l'âge de 84 ans[15]. Il reste le symbole de la mise en place des idées républicaines dans les institutions politiques. Il a imposé un style dans la manière d'exercer la fonction de président de la République.

Des obsèques nationales ont lieu le en présence de Charles de Freycinet, Armand Fallières,Paul Rouvier, Philippe Le Royer et Charles Floquet.

Décorations

Iconographie

Une médaille à l'effigie de la République, œuvre du graveur Maximilien Louis Bourgeois, fut distribuée aux députés et aux sénateurs pour commémorer la réélection de Jules Grévy à la présidence de la République le . L'exemplaire ayant appartenu à Henri Rochefort est conservé au musée Carnavalet (ND 5160).

Postérité

Buste en marbre de Jules Grévy par Carrier-Belleuse, exposé au musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon.

Ayant reçu un spécimen d'une nouvelle espèce de zèbre, en 1882, il en fit don au Jardin des plantes. On nomma alors cette espèce « zèbre de Grévy ».

Notes et références

Notes

  1. Dernier président de l'Assemblée nationale.
  2. Dernier président du Corps législatif du Second Empire.
  3. Sa date de naissance est incertaine, car les registres de l’État civil ont été détruits vers 1812.
  4. On trouvera les anecdotes qui ont accompagné sa démission dans : Georges Poisson, L'Élysée : histoire d'un palais, Paris, Pygmalion, , 1 vol. (523 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 978-2-7564-0300-7, BNF 42177215).

Références

  1. Association amicale des secrétaires et anciens secrétaires de la Conférence des avocats à Paris, Bulletin annuel, no 5, Paris, Alcan-Lévy, 1883, p. 277.
  2. BNF 12214121.
  3. Site elysee.fr, page sur Jules Grévy, consulté le 3 janvier 2020
  4. Victor Hugo, Histoire d'un crime, t. 1, 1877-1878 (lire sur Wikisource), chap. 15 (« Mazas »), p. 360
  5. Dominique Frémy 1987, p. 287.
  6. Alfred Colling 1949, p. 294.
  7. Gérard-Michel Thermeau, « Ils étaient Présidents : Jules Grévy », sur contrepoints.org, (consulté le ).
  8. T L., « Discours de Jules Grévy adressé au Sénat le 06 février 1879 », Publications Doc Du Juriste,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. Georges-Léonard Hémeret et Janine Hémeret 1994, p. 44.
  10. Georges-Léonard Hémeret et Janine Hémeret 1994, p. 47.
  11. Alfred Colling 1949, p. 310.
  12. Françoise Taliano-Des Garets 2012, p. 30.
  13. Benoît Yvert 2002, p. 222.
  14. Monique Cara, Jean-Marc Cara, Marc de Jode Dictionnaire universel de la Franc-Maçonnerie, Larousse 2011 Monique Cara, Jean-Marc Cara, Marc de Jode Dictionnaire universel de la Franc-Maçonnerie, Larousse 2011.
  15. La Presse, Édition du 11 septembre 1891 sur Gallica.

Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes