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Un hommage discographique voit le jour à l'initiative du label Unknown Pleasures Records distribué par La Baleine, un CD et un 45 tours vinyle collector est disponible en décembre 2013 avec des anciens membres d'Indochine, de Complot Bronswick, Les Tétines Noires, Norma Loy ou End Of Data qui rendent hommage à côté d'une nouvelle génération plus électronique au chanteur poète disparu. En février 2013 quelques-uns de ces groupes participants au « Tribute To Daniel Darc & Taxi Girl » jouent en concert des reprises de Taxi Girl lors de la première soirée anniversaire de la mort de Daniel Darc, au Point Éphémère.
Un hommage discographique voit le jour à l'initiative du label Unknown Pleasures Records distribué par La Baleine, un CD et un 45 tours vinyle collector est disponible en décembre 2013 avec des anciens membres d'Indochine, de [[Complot Bronswick]], Les Tétines Noires, Norma Loy ou End Of Data qui rendent hommage à côté d'une nouvelle génération plus électronique au chanteur poète disparu. En février 2013 quelques-uns de ces groupes participants au « Tribute To Daniel Darc & Taxi Girl » jouent en concert des reprises de Taxi Girl lors de la première soirée anniversaire de la mort de Daniel Darc, au Point Éphémère.


Le 11 juin 2015 en soirée, un nouvel hommage lui est rendu dans ''A'live'', l'émission de [[Pascale Clark]] sur France-inter, avec notamment les chanteuses [[Dani (artiste)|Dani]] et Berry, Frédéric Lo, à l'occasion de la réédition de ''Crèvecœur'' augmentée de 11 chansons inédites.
Le 11 juin 2015 en soirée, un nouvel hommage lui est rendu dans ''A'live'', l'émission de [[Pascale Clark]] sur France-inter, avec notamment les chanteuses [[Dani (artiste)|Dani]] et Berry, Frédéric Lo, à l'occasion de la réédition de ''Crèvecœur'' augmentée de 11 chansons inédites.

Version du 23 juillet 2019 à 20:48

Daniel Darc
Description de cette image, également commentée ci-après
Daniel Darc en concert lors de la fête de l'Humanité en 2012
Informations générales
Nom de naissance Daniel Simon Rozoum
Naissance
Paris
Décès (à 53 ans)
Paris
Activité principale chanteur
Années actives de 1978 à 2013
Labels Jive Epic
Sony Music
Site officiel danieldarc.com

Daniel Darc, né Daniel Rozoum le à Paris 14e et mort le dans le 11e arrondissement de cette ville, est un chanteur français.

Biographie

Famille

Daniel Darc nait dans une famille juive, originaire de Russie et de Lituanie. Ses grands-parents ont fui la Russie lors de la révolution de 1917. Sa grand-mère est arrêtée durant la rafle du Vel' d'Hiv et meurt en déportation[1]. Daniel Darc est le cousin d'Hervé Rozoum, guitariste, compositeur et producteur qui vit à Berlin.

Au sein du groupe Taxi Girl

En 1978, alors qu’il est élève au lycée Balzac à Paris, Daniel Darc rejoint le groupe Taxi Girl, fondé par Mirwais Stass (guitares), Laurent Sinclair (claviers), Stéphane Erard (bassiste) et Pierre Wolfsohn (batteur)[2]. Alexis Quinlin le fondateur du club parisien Le Rose Bonbon devient leur manager[1]. Taxi Girl connaît le succès, notamment avec le single Cherchez le garçon, édité en 1980, dont les ventes atteignent les 150 000 exemplaires[3],[4]. Leur unique album, Seppuku, est édité en 1981 par Mankin[1]. Après la fin de Taxi Girl en 1986 (marquée par le décès par overdose de cocaïne du batteur, Pierre Wolfsohn, en juillet 1981, et l'abandon des deux autres membres), Daniel Darc poursuit une carrière solo[3].

Carrière solo

Sur son premier album solo, Sous influence divine, sorti en 1987, il est épaulé par Jacno, qui avait accepté de travailler avec lui sur la base d’un single, mais réalise l’album entier. Sur ce disque qui sonne beaucoup comme du Jacno musicalement, Daniel Darc conserve l’écriture simple et immédiate qui est sa marque de fabrique depuis l’époque Taxi Girl. Au milieu de cet album assez policé, on relève la présence d'un titre très rock’n’roll (Le Seul garçon sur Terre) et d’une reprise de Comment te dire adieu, écrit par Gainsbourg et pour Françoise Hardy.

En 1988, après sa rencontre avec Bill Pritchard (ils partagent alors le même label, Play It Again, Sam), ils enregistrent en sept jours l'album-concept Parce que traitant de l'ambivalence humaine. Il comporte une reprise de Charles Aznavour (donnant son titre à l'album) et une adaptation du Velvet Underground (Stephanie Says (en)). Édité à 3 000 exemplaires, cet album salué par la critique, scellera des liens indéfectibles entre les deux artistes qui vivront même un temps ensemble à Paris. Toujours en 1988, Daniel Darc enregistre La Ville, single produit par Étienne Daho qui ne sera pas suivi d'un projet d'album, comme cela avait été le cas avec Jacno. Le chanteur se débat alors avec ses addictions.

Daniel Darc joue son propre rôle dans quelques films dans  : Les Enfants de la Blank ou Garçon sauvage de Marc Dufaud.

L'album Nijinsky est édité en 1994 par le label indépendant Bondage Records. Accompagné par Georges Betzounis, Daniel Darc semble avoir eu, plus que par le passé, la possibilité d'imposer une orientation musicale proche de ses goûts fondamentaux (rock new-yorkais, littérature du mal, jazz...). Les Pure Sins l'accompagnent dans la tournée censée promouvoir le disque, mais l'absence de succès commercial, conjugué à des problèmes envahissants d'addictions diverses et un passage en prison, met la carrière du chanteur entre parenthèses pour quelques années.

Le 20 mars 1996, il est invité sur scène par Dominique A à Paris dans le 13e arrondissement lors d'une semaine de duos offerte au chanteur sur invitation à laquelle participeront également Silvain Vanot et Katerine. Il chante quelques titres en fin de concert en sa compagnie.

En 1997, il co-écrit et enregistre le titre "et si nous n'avions pas été là l'histoire aurait été la même mais racontée par d'autres" avec le groupe toulousain Diabologum, a l'occasion du disque collectif "Comme un seul homme".

L'année 2004 marque son retour au premier plan grâce à un nouvel album, Crèvecœur, conçu en tandem avec Frédéric Lo[5]. Le disque est bien reçu par la critique et se vend à 60 000 exemplaires. Il est récompensé aux Victoires de la musique dans la catégorie « album révélation de l'année »[6].

Darc participe ensuite à diverses productions avec Nosfell, Cali, Buzy, Tchéky Karyo, Elisa Tovati, Thierry Amiel ou Alizée. En mai 2005, la chaîne de télévision Arte diffuse un film d'une heure dans lequel cinq titres de Daniel Darc sont illustrés en images. Réalisé par Paul Ouazan, il est diffusé dans le cadre du magazine La Nuit / Die Nacht[7]. Début 2007, le chanteur participe à la tournée Les Aventuriers d'un autre monde avec Jean-Louis Aubert, Alain Bashung, Cali, Richard Kolinka et Raphael.

Daniel Darc aux Eurockéennes 2008

L'album Amours suprêmes, toujours arrangé et réalisé par Frédéric Lo, sort en janvier 2008. Son titre fait référence à A Love Supreme, un album de John Coltrane dont Daniel Darc a fait l'un de ses disques de chevet. Alain Bashung, Robert Wyatt, Morgane Imbeaud (chanteuse de Cocoon) et Steve Nieve y font des apparitions. Le premier single s’intitule J’irai au paradis[4],[8].

Sur l'album La Taille de mon âme, édité en 2011 par Sony Music, Darc travaille avec le musicien Laurent Marimbert que lui a présenté Christophe[9]. Le disque contient des extraits sonores du film Les Enfants du paradis de Marcel Carné[1],[10]. Les ventes de l'album, dont est extrait le single C'est moi le printemps, atteignent les 100 000 exemplaires[11].

En 2013, Daniel Darc commence à travailler sur son autobiographie avec le journaliste Bertrand Dicale. Il prépare également un nouvel album en compagnie de Manou, compositeur attitré de la chanteuse Berry. Il se produit en public pour la dernière fois le 23 février sur la scène de la Gaîté Lyrique, aux côtés de Bertrand Burgalat[12]. Il travaillait par ailleurs sur son prochain album depuis plusieurs mois avec le compositeur/réalisateur de La Taille de mon âme, Laurent Marimbert.

Il est retrouvé sans vie par son producteur dans son appartement du onzième arrondissement de Paris le . Un mélange d'alcool et de médicaments pourrait être à l'origine de sa mort[6]. On apprend plus tard dans Tout est permis mais tout n'est pas utile, un livre d'entretien entre Daniel Darc et Bertrand Dicale paru chez Fayard, qu'un œdème pulmonaire est la cause du décès[13].

Les obsèques de Daniel Darc ont lieu dans la matinée du jeudi , au temple protestant de l'Oratoire du Louvre de Paris, suivies de l’inhumation en début d’après-midi au cimetière Montmartre[14] (30e division, 1re ligne).

Autres activités

Daniel Darc était passionné de mythologie « rock » autant que de littérature et d'arts martiaux (comme Jean-Jacques Burnel des Stranglers qui a produit un album de Taxi Girl). Il a écrit de nombreux articles sur ses icônes : premiers rockers, bluesmen, acteurs… de James Dean à Nijinsky. Bien qu'ayant à plusieurs reprises annoncé qu'il écrivait un roman, voire qu'il était sur le point d'en achever un (le titre L'Ange glacé fut avancé), Daniel Darc ne parviendra pas à faire aboutir ses désirs d'écriture autrement qu'en publiant de courtes nouvelles chez l'éditeur Cahiers de nuit ou aux éditions Derrière la salle de bains à partir du milieu des années 1990. Il publie également des critiques dans le magazine musical Best et traduit William S. Burroughs.

Style musical et influences

Le chanteur de Taxi Girl a toujours été inclassable dans la scène rock française dont il était l’une des figures marquantes. Très influencé par l’explosion punk, les Sex Pistols, et Kraftwerk, c’était d'abord un faux dandy à la voix fragile et traînante, inspiré par Berlin et le Japon, qui s’habillait en rocker et qui poussa l’autodestruction jusqu’à se taillader les veines pour asperger le public lors d’un concert au Palace en première partie de Talking Heads en novembre 1979 pour faire réagir le public parisien[12]. Il se fit tatouer les avant-bras pour immortaliser l’événement.

Les textes de Daniel Darc portent la marque de son style d'où la poésie n'est jamais absente. Voulant rompre avec près de vingt années d'excès divers, il s'est converti au protestantisme[12],[15]. L'influence de la religion se fait sentir avec des références visuelles, des lectures de psaumes en musique sur scène par exemple, il y fera même référence lors d'interviews[16],[17].

Hommages

Pour marquer son anniversaire, plus d'un an après sa disparition, un hommage intitulé « C'est toi le printemps » est rendu à Daniel Darc le à l'initiative de l'association « Je me souviens, je me rappelle »[18]. Plusieurs artistes sont là Buzy, Frédéric Lo, Berry, Dani, Zouzou, Manu, Marc Minelli[19] se produisent bénévolement en concert à Paris au Jane Club à Paris[20]. Bill Pritchard a lui aussi répondu présent :

« J’ai donné mon accord pour faire un concert hommage à Daniel Darc le 24 mai à Paris où je jouerai quelques-unes de mes chansons favorites de son répertoire dont au moins une de Parce que, un album que nous avons fait ensemble il y a très très longtemps[21]. »

Un hommage discographique voit le jour à l'initiative du label Unknown Pleasures Records distribué par La Baleine, un CD et un 45 tours vinyle collector est disponible en décembre 2013 avec des anciens membres d'Indochine, de Complot Bronswick, Les Tétines Noires, Norma Loy ou End Of Data qui rendent hommage à côté d'une nouvelle génération plus électronique au chanteur poète disparu. En février 2013 quelques-uns de ces groupes participants au « Tribute To Daniel Darc & Taxi Girl » jouent en concert des reprises de Taxi Girl lors de la première soirée anniversaire de la mort de Daniel Darc, au Point Éphémère.

Le 11 juin 2015 en soirée, un nouvel hommage lui est rendu dans A'live, l'émission de Pascale Clark sur France-inter, avec notamment les chanteuses Dani et Berry, Frédéric Lo, à l'occasion de la réédition de Crèvecœur augmentée de 11 chansons inédites.

Discographie

En solo

Avec Taxi Girl

Collaboration

  • 1983 : Si j'avais une faucille par Internationale de la résistance (Virgin)
  • 1991 : Ecriture de Nosotros et Tomorrow sur The Prime Story de Polyphonic Size
  • 1991 : Chloé dans la ville de For Roses - Production de 4 titres (Son of the Roses, Toucher le ciel, Paris à minuit, Le garçon hait la fille)
  • 1993 : L’Équipe à Jojo - Les chansons de Joe Dassin, 1 CD Le Village Vert VIVE003. Divers interprètes. Daniel Darc reprend Les Champs-Élysées
  • 1993 : I only Play R & R for kids to dance album Tribute à Johnny Thunders - Reprise de She's so untouchable avec les Weird Sins
  • 1997 : Écriture de Las, dans le ciel et Ne laisse pas le jour pour l'album Marie-France de textes pour Marie-France
  • 1997 : Comme un seul homme - Duo avec Diabologum sur Et si nous n'avions pas été là l'histoire aurait été la même mais racontée par d'autres
  • 1998 : 18/12 avec 19 torsions (Jean-Paul Fourgeot, Gaultier Machart and Jean Lodereau)
  • 2002 : Écriture de Ghost pour l'album Platinum Deadstar de Brent
  • 2004 : Chante sur le titre Jeunesse éternelle du groupe Operation S
  • 2005 : Reprise de She's so untouchable de Johnny Thunders avec The Weird Sins sur l'album hommage Tribute to Johnny Thunders
  • 2005 : Reprise de Rondeau de Nino Ferrer sur l'album hommage On dirait Nino
  • 2005 : Duo sur Pauvre garçon avec Cali sur l'album Menteur
  • 2005 : Duo sur Comme des papillons avec Buzy sur l'album Borderlove
  • 2005 : Duo sur Mes amis (D. Darc/Frédéric Lo) avec Jane Birkin sur le DVD Rendez-vous avec Jane
  • 2005 : Écriture du texte Ne m'en veux pas de t'en vouloir pour l'album L'Heure d'été de Marc Lavoine
  • 2006 : Duo et écriture du texte de Comme disait l'ami Johnny Rotten sur l'album Mauvaise étoile de Patrick Eudeline
  • 2006 : Écriture d'un texte sur Ce lien qui nous unit de Tchéky Karyo
  • 2006 : Écriture du texte du single Cœur Sacré pour Thierry Amiel
  • 2006 : Écriture du texte Ca ne sert à rien d'aimer pour l'album Je ne mâche pas mes mots, d'Elisa Tovati
  • 2007 : Écriture des textes Jamais plus et Lonely List pour l'album Psychédélices d'Alizée
  • 2008 : Duo avec Frédéric Lo sur une reprise de Promesses d'Étienne Daho sur l'album hommage Tombés pour Daho
  • 2008 : Duo avec Berry sur la reprise de la chanson d'Hélène sur la réédition de l'album Mademoiselle
  • 2008 : Duo avec Superbus sur le plateau de Taratata reprise de Chercher le garçon
  • 2008: Participation en octobre au concert Histoire de Melody Nelson (Gainsbourg) dirigé par J.-C. Vannier à la Cité de la Musique de Paris
  • 2009 : Reprise de O Caroline sur l'album Around Robert Wyatt de l'ONJ (Orchestre National de Jazz)
  • 2009 : Duo sur Ne plus y penser avec Asyl sur l'album Brûle, brûle, brûle
  • 2009 : Duo sur La Romance des Cruels avec Nosfell sur l'album Nosfell
  • 2009 : Chante Pas pour moi de Boris Vian sur l'album hommage On n'est pas là pour se faire engueuler !
  • 2012 : Écriture du texte Les Passagers sur le 2e album de Berry
  • 2018: Texte de la chanson Elle me dit les mêmes mots sur En Amont, l'album posthume d'Alain Bashung
  • 2019: Texte de la chanson Egaré dans la nuit sur l'album Hallelujah! de Frédéric Lo

Récompenses

Bibliographie

Ses écrits

La plupart des écrits (poèmes, traductions) de Daniel Darc sont publiés aux éditions Derrière la salle de bains[23] par Marie-Laure Dagoit (sauf indication contraire) :

  • Énergie dramatique de la rue (collection « Cahiers de nuit », 1994)
  • Mélancolies d'Edie (collection « Cahiers de nuit », ouvrage collectif, 1994)
  • To my Valentine (collection « Cahiers de nuit », ouvrage collectif, 1995)
  • Et vous en auriez fait tout autant (1996)
  • A love supreme (1997)
  • From nothing (coffret collectif, 1997)
  • Ombremort (1998)
  • Rien que des mots (collectifs, 1998)
  • Hygiène et santé, ouvrage collectif dirigé par Stéphane Nappez (1999)
  • Gimme danger little stranger (1999)
  • Le Drugstore du ciel (collectif, 2000)
  • Pen - Killers (2001)
  • Travail I (2005)
  • Lookin for a jew (2005)
  • Soupe, savon, salut (2005)
  • Retour sur les incidents passés, avec Nicolas Mauriac (2006)
Traductions
  • de William S. Burroughs : Composite text, traduction avec Pascale Richaud, (Derrière la salle de bains, 1995)
  • de Lawrence Ferlinghetti : Vol à travers le temps (Derrière la salle de bains, 2005)
  • de Lawrence Ferlinghetti : Un buddha dans un tas de bois (Derrière la salle de bains, 2005)

Entretien

  • Daniel Darc et Bertrand Dicale, Daniel Darc : Tout est permis mais tout n'est pas utile (entretien), Paris, Fayard, coll. « Témoignages/Doc/Actu », , 250 p., broché, 13,5 x 21,5 cm (ISBN 9782213671857, présentation en ligne)
  • Daniel Darc et Philippe Liotard, « “Darc Tattoo”, un corps marqué du rock : dialogue avec Daniel Darc », Corps, n° 13, 2015 (« Le Corps du Rock »), pp. 57-64

Biographies

Notes et références

  1. a b c et d Jean-Marie Pottier, « Daniel Darc, le feu follet du rock français », Slate.fr,
  2. Christophe Conte, « Taxi Girl, garçons de joie », Les Inrockuptibles,
  3. a et b Sabrina Champenois, « Daniel Darc, dans une autre veine », Libération,
  4. a et b « Biographie de Daniel Darc », RFI,
  5. Ludovic Perrin, « Daniel Darc bande encore », Libération,
  6. a b et c « Daniel Darc est mort », Lemonde.fr,
  7. Eléonore Colin, « La nuit du survivant », Les Inrockuptibles,
  8. Eléonore Colin, « Daniel Darc - Amours suprêmes », Les Inrockuptibles,
  9. Olivier Nuc, « Daniel Darc en pleine lumière », Le Figaro,
  10. Gilles Médioni, « La foi de Daniel Darc », L'Express,
  11. Armelle de Rocquigny, « Le clip C'est moi le Printemps de Daniel Darc dévoilé », Le Figaro,
  12. a b et c Olivier Nuc, « Daniel Darc, un chanteur d'enfer est mort », Le Figaro,
  13. La bibliothèque de l'été : les flèches de Darc, Isabelle Monnin, Le Nouvel Observateur, 12 août 2013.
  14. Suivant un communiqué de l'AFP du 14 mars : TV5.org, Le Monde.fr
  15. Jean-Yves Dana, « Daniel Darc, l’âme renaissante », La Croix,
  16. B.D., « Daniel Darc, chanteur par accident, chrétien par conviction », Le Figaro,
  17. Pierre De Boishue, Olivier Nuc, « Daniel Darc: «Je ne fais pas du rock chrétien» », Le Figaro,
  18. Source : Hommage à Daniel Darc sur Evensi.com
  19. À découvrir absolument.com
  20. au 62, rue Mazarine (6e arr.).
  21. Extrait de son interview par Michel Ribes et Michael Elek publiée le 14 mars sur Musik Please.com
  22. Musik Please.com.
  23. Site officiel des éditions Derrière la salle de bains.

Liens externes

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