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En 1809, la commune de Bailly-Carrois comprenait 64 hommes âgés de 17 à 65 ans servant dans la [[Garde nationale (France)|garde nationale]]<ref name="Mono" />. |
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Version du 2 mai 2019 à 07:41
Grandpuits-Bailly-Carrois | |||||
Mairie de Bailly-Carrois. | |||||
Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Brie Nangissienne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Brichet 2014-2020 |
||||
Code postal | 77720 | ||||
Code commune | 77211 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Grandiputéens, Grandiputéennes | ||||
Population municipale |
1 014 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 35′ 04″ nord, 2° 58′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 137 m |
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Superficie | 24,5 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Nangis | ||||
Localisation | |||||
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Grandpuits-Bailly-Carrois est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France, formée en 1972 par la réunion de Grandpuits et de Bailly-Carrois.
Ses habitants sont appelés les Grandiputéens et Grandiputéennes.
L'une des huit raffineries de pétrole brut métropolitaine, la raffinerie de Grandpuits, se trouve sur son territoire.
Géographie
Situation
La commune est située à 54 km de Paris et à 23 km de Provins.
Lieux-dits et écarts
- Grandpuits
La Belle-Idée, les Tesnières, les Pleux, le Feuillet, la Rencontre, la Gare, le Boisseau, l'Homme-Mort, le Cuisseau.
- Bailly-Carrois
Bailly, la Picardie, les Loges, le Périchoix également écrit le Périchoy, Carrois, la Moinerie, Courmignoust, Ancœur, le Pigeon Blanc.
Communes limitrophes
Aubepierre-Ozouer-le-Repos (~7.7 km) |
Quiers (~1.7 km) |
Clos-Fontaine (~4.5 km) |
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Saint-Ouen-en-Brie (~5.3 km) |
N | La Croix-en-Brie (~8.1 km) | ||
O Grandpuits-Bailly-Carrois E | ||||
S | ||||
Fontenailles (~4.0 km) |
Nangis (~4.6 km) |
Hydrographie
La commune est traversée par :
- le ru d'Ancoeur, 7,4 km[1], qui conflue avec l’Almont ;
- le fossé 01 de la Grande Alleu, 1 km[2], qui conflue avec le Ru d'Avon.
Toponymie
Du latin puteus, « trou, fosse », « gouffre, fosse très profonde », « puits d’eau vive » ou même « puits de mine ».
En 1185, le Grandpuits est cité sous le nom de Leprosi de Grandi Puteo indiquant l'installation d'une léproserie.
Histoire
La commune de Bailly-Carrois a été formée de la fusion, des paroisses de Bailly et de Carrois en vertu d'un décret de l'Assemblée constituante en date du 8 juillet 1791.
Son territoire est définitivement fixé par ordonnance royale en 1834, lors de l'établissement du plan cadastral. Le 30 mai 1806, un décret impérial réuni Grandpuits et Bailly-Carrois pour l'exercice du culte catholique. En 1840, la réunion définitive en une seule commune fut proposée. Désirée par Bailly-Carrois qui possédait une école et une église, elle fut refusée par Grandpuits et la question fut ajournée indéfiniment[réf. nécessaire].
La commune de Grandpuits-Bailly-Carrois a été formée de la fusion, au 1er janvier 1973, des communes de Grandpuits et de Bailly-Carrois[3],ref name="Cassini"/>, qui intervient dans le cadre de la Loi sur les fusions et regroupements de communes de 1971..
Histoire de Grandpuits
L'origine de Grandpuits est inconnue.
Le nom de Grandpuits apparaît pour la première fois en 1144.
Jusqu'au XIIIe siècle on ne sait rien de l'histoire de cette localité.
En 1223, Robine de Rubelles dame du fief de Grandpuits approuve une donation, faite de la dîme de ce village, à l'abbaye du Jard près de Melun par Simon de Grandpuits et sa femme Béatrix[4].
En 1240 et 1243, Jehan de Monceau et Gilles de Grandpuits donnent quelques immeubles à l'église Notre-Dame de Melun, donation que Guillaume de Grandpuits approuve en tant que seigneur dominant.
Ce seigneur habitait dans un château à Grandpuits dont il restait au milieu du XIXe siècle quatre tours environnées d'un fossé. Une église a été depuis construite sur cet édifice.
Grandpuits a également accueilli un couvent habité par des moines dont l'ordre n'est pas connu[5]. Ce couvent est devenu par la suite une ferme.
La présence de deux grandes fermes, ferme de Châteaufort et ferme de La Salle, supposent l'existence de deux seigneuries.
Avant la Révolution française, Grandpuits faisait partie du diocèse de Meaux, archidiaconé de Melun, généralité de Paris, élection de Rozay. On y comptait 41 feux et 100 communiants[5].
Après la Révolution, la population de Grandpuits n'a jamais dépassé 332 habitants, descendant à 224 après les guerres du 1er Empire, et 227 après l'épidémie de choléra de 1832-1833. À partir de 1841 jusque 1888, elle varie de 307, 332 et 400.
Le 11 octobre 1793, la commune qui possédait quatre cloches en céda trois pour fabriquer des canons afin de défendre la patrie. L'argenterie et les cuivres existant dans l'église de Grandpuits furent transportés à Melun le 10 novembre 1793. La croix du clocher fut descendue et remplacée par un bonnet de la Liberté et une oriflamme en tôle peint des trois couleurs[5].
Lors de la campagne de France la commune fut particulièrement éprouvée en logeant de 90 000 à 100 000 soldats français ou étrangers.
Le , fut le théâtre d'une partie de la bataille de Mormant entre les troupes françaises et les troupes russo-bavaroises. « Ayant été repoussé de Mormant par le général français Gérard, le général Pahlen, faisant former le carré à ses troupes reculait en perdant beaucoup de monde. Pour achever la victoire, Napoléon fit avancer le général Drouot avec 36 bouches à feu de la Garde. Pahlen était cependant près d'arriver à Grandpuits ou il espérait être secouru par l'avant-garde du général de Wrède qui occupait encore Nangis et dont la cavalerie était en avant de Bailly[6]. Mais un feu écrasant d'artillerie vint changer la retraite en déroute. Un bataillon qui tenta de se réfugier derrière le marais d'Ancœur (à 1 km de Grandpuits) fut cerné par nos dragons et forcé de mettre bas les armes »[7] Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, le [8] durant le siège de Paris, pendant la guerre de 1870, Grandpuits vit un combat assez sérieux engagé entre les francs-tireurs et les gardes nationaux, de Saint-Germain-Laval, d'Auxerre et Montereau, venant de cette dernière ville et un détachement de 300 Prussiens. Un combat inégal s'engagea entre les miliciens Français armés de fusils à piston ou de chasse et les soldats de métiers armés de fusils modernes. Malgré la vaillance des Français, le feu vif et précis de l'ennemi joint à un renfort considérable qui ne tarda pas à arriver, mit en déroute les gardes nationaux. Plusieurs hommes furent tués de part et d'autre dans les fossés qui entouraient alors la ferme de La Salle, l'ancien couvent.
La raffinerie de Grandpuits a été mise en service en décembre 1966[9]
Histoire de Bailly-Carrois
La commune de Bailly-Carrois a été formée de la fusion des paroisses de Bailly et de Carrois'en vertu d'un décret de l'Assemblée Constituante en date du 8 juillet 1791.
Son territoire appartenait sous l'Ancien Régime à l'élection de Rozay, bailliage et coutumes de Melun, les deux paroisses dépendaient du diocèse de Sens, archidiaconé et doyenné de Melun.
- Fiefs et seigneuries
Le territoire fut morcelé en nombreux fiefs[5].
La seigneurie principale était le Grand-Bailly. Ce fief, dont une ferme dépendait, appartint très longtemps à l'abbaye de Saint-Père de Melun qui avait droit de haute justice sur toute la paroisse. La ferme de Grand-Bailly fut créée, le 29 juin 1345, grâce à une donation faite par Guillaume de Flonteau, religieux de l'abbaye de Saint-Père.
Plusieurs autres petits fiefs dépendaient de l'abbaye de Saint-Père de Melun :
- Le plus important était Bailly, qui appartenait également à l'abbaye de Saint-Père. Les droits de ce fief furent cédés et il fut réuni, en 1506, à la seigneurie de Nangis possédée par la maison de Vères. Marie, la fille unique de Jean de Vères, épousa le 16 avril 1507 Louis de Brichanteau lui apportant en dot, entre autres fiefs celui de Bailly. Leur descendance conservera la seigneurie jusqu'à la Révolution.
-La petite ferme de Bailly, relevait aussi d'un fief possédé par l'abbaye bénédictine de Saint-Père. Les droits sont cédés, en 1250, à Guillaume de Cesson.
-Le fief du Grand Courmignoust à la Moinerie.
-Le fief de Périchois, ou Périchoy, qui appartenait au XVIIe siècle à Louis le Juge, écuyer, seigneur de Beauchery qui rendait hommage, en 1696, à l'abbaye du Jard. Son père Guillaume le Juge, conseiller et secrétaire du Roi l'avait acheté à Jean Chabré. En 1789, ce fief appartenait à François Vincent Guyot de Chemisot, conseiller d'état, maitre des requêtes et lieutenant du roi à Château-Thierry
-Le fief des Loges de Bailly appartenant également à Louis le Juge, également acheté par Guillaume le Juge à Jean Chabré.
-Le fief de la Fosse de Constance appartenait aux célestins de Marcoussis
-Le fief de Carrois, dont le premier seigneur connu est Jean de Carroys qui épouse en 1230 la veuve de Regnault de Quiers. Il apparaît que le luthiste et compositeur Albert de Rippe ait obtenu de François Ier la terre et la seigneurie de Carrois, alors Carroys-en-Brie[10] voir article sur Albert de Rippe). En 1642, Claude du Moulin en est le seigneur. Le fief passe ensuite aux mains de la famille de Chanay puis à celle de la Barre par le mariage de Charles Jean Abel de La Barre, écuyer de Carrois, conseiller du roi en la cour des aides avec Élisabeth Geneviève Bouzitot de Chanay « haute et puissante dame de Carrois ». Leurs fils, Charles Joseph Abel de La Barre de Carrois, capitaine dans le corps royal d'artillerie vendit la terre le 20 janvier 1791 à messire Pierre-Antoine Robert de Saint-Vincent, conseiller du roi en sa cour départementale.
-Le fief de Nuisement qui relevait de l'abbaye Saint-Pierre de Chaumes-en-Brie
-Le fief d'Auquez devenu fief d'Ancœur[5], qui relevait également de l'abbaye de Chaumes. Le fief d'Ancœur était possédé en 1558 par Nicolas de Brichanteau seigneur de Beauvais et de Nangis qui avait assisté par procureur à la rédaction de la coutume de Melun en sa qualité de seigneur de Bailly et d'Ancœur. À la fin du XVIIe siècle ce fief passe dans les mains de la famille Grassin puis aux Béthizy de Mormant.
À la Révolution, les fiefs et les noms des nobles ont disparu de Bailly-Carrois et les domaines ont été rachetés : Le domaine de Carrois a été adjugé, par l'administration du district de Melun le 19 ventôse an II au sieur Vacheron. Les autres domaines ont également été vendus.
- Village d'Ancœur
On a retrouvé au cours du XIXe siècle aux environs d'Ancœur et entre La Moinerie et Bailly, des vestiges de murs, routes, puits, tuiles faitières, etc. qui permet de croire qu'une partie du village d'Ancœur a été, autrefois, détruite. Il semblerait que cette destruction daterait de la guerre des Lorrains pendant laquelle toute la Brie fut mise à feu et à sang[5].
- Hameau La Picardie
Ce hameau a pour origine une auberge dite La Picque hardie telle quelle était orthographiée dans les actes d'état civil de 1648. Une Pique était probablement une enseigne de cette auberge. Non loin de cet établissement il y avait un groupe de maisons appelé Mormaisons. Cette dénomination a disparu et le hameau s'est confondu avec La Picardie[5].
En 1809, la commune de Bailly-Carrois comprenait 64 hommes âgés de 17 à 65 ans servant dans la garde nationale[5].
Lors de la campagne de France de 1814 ainsi que lors de l'invasion de 1815, la commune de Bailly-Carrois fut détruite et pillée. Elle mit plus de vingt-cinq ans pour sortir de la misère[5].
Pendant le siège de Paris, lors de la guerre de 1870, Bailly-Carrois fut occupée du 17 mars au 30 mai 1871 par les 1er et 3e escadrons de dragons puis du 4 au 9 juin 1871 par la 5e colonne du Train.
L'abbé Verger, assassin de Mgr Sibour, archevêque de Paris, fut curé de Bailly-Carrois en 1852.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Grandpuits-Bailly-Carrois se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[11], elle intègre le l'arrondissement de Provins afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[12].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de Seine-et-Marne.
Grandpuis, Bailly-Carrois puis Grandpuits-Bailly-Carrois faisaient partie depuis 1793 du canton de Mormant[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Grandpuits-Bailly-Carrois intègre le canton de Nangis.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté de communes de la Brie nangissienne, créée en 2005.
Liste des maires
Jumelages
- La commune est jumelée avec la ville de Vallerotonda Italie.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[15].
En 2021, la commune comptait 1 014 habitants[Note 1], en diminution de 0,39 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Equipements
Aérodrome de Nangis Les Loges, partiellement situé sur la commune et ouvert aux avions privés en vol à vue (VFR) et aux ULM.
La commune dispose également d'une piscine, tennis. d'un camping et d'associations sportives et culturelles[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
Fête communale : début septembre à Grandpuits.
Économie
- Raffinerie de pétrole appartenant à Total, classée Seveso seuil haut[9] et alimentée en pétrole brut à partir du port du Havre par un pipeline ainsi que, en partie, par les gisements du bassin parisien.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ferme de Châteaufort, son colombier XVe siècle, son puits et son pressoir en grès.
- Ancienne maison forte de Châteaufort dépendant de la châtellenie de Melun. Dans le contexte de la guerre de Cent Ans, on surélève les tours et on entreprend des travaux de fortification. Dans un document du XIVe siècle, elle est décrite comme : « Il y avait à Grandpuits un chastel ou forteresse notable lequel avait este profitable nécessaire et convenable pour les habitants du Puits pour y avoir leur retraite en temps de guerre »[18]. Un autre document daté du XVIIIe siècle la décrit comme : « Le fief de Châteaufort à présent tout ruiné et en masure »[19].
- Ferme forte de la Salle (IMH) XVIe, de type briard : quatre tourelles d'angle.
- Église Saint-Denis XIIe, XIIIe et XVIe, ancienne chapelle castrale de Châteaufort : à l'angle sud-ouest, tourelle faisant partie de la maison forte de Châteaufort.
- Église Saint-Éloi de Bailly-Carrois XIIIe siècle : piliers très espacés ; belle chaire XVIIIe siècle (MH), console Louis XV (MH), christ en bois XVIe siècle.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison - L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Editions Picard, (ISBN 9782708407701).
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune Grandpuits-Bailly-Carrois (77211) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru d'Ancoeur (F4446000) »
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Grande Alleu (F4801000) »
- Arrêté du 30 novembre 1972, parution au journal officiel du 10 janvier 1973
- Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de Seine et Marne
- Monographie communale
- Bailly de Bailly-Carrois
- L'invasion de 1814 en Seine-et-Marne par Frédéric Humbert
- Article deux héroïnes
- Julie Olagnol, « Grandpuits : pour ses 50 ans, la raffinerie a dévoilé ses coulisses », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Michel Vaccaro, éditions du CNRS, 1972 (ISBN 2-222-01484-0)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01, , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Grandpuits-Bailly-Carrois », Seine-et-Marne, Société d’Histoire, d’Archéologie, de Généalogie et d’Echange (SHAGE) (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Sylvain Deleuze, « Grandpuits-Bailly-Carrois : une nouvelle traînée orangée observée dans le ciel », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- Élisabeth Sirot 2007, p. 48.
- Ferme de Châteaufort