« IVe siècle av. J.-C. » : différence entre les versions

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=== Asie ===
=== Asie ===

{{encadré texte| width=40% |texte=En Chine, la multiplication d’objets en fonte de prix abordable dans l’agriculture (socs de charrue, houes, pics, bêches, râteaux, faucilles, haches) permet le défrichement et la mise en culture de nouveaux terroirs et un accroissement de la production et des rendements, dont témoigne l’augmentation du taux des impôts en grain. Les premiers traités d’agriculture sont publiés. L’usage de contrats écrits sur des tablettes de bois ou de bambou rompues en leur milieu permet de prouver l’authenticité du document. Les [[Anciennes monnaies chinoises|monnaies]] de bronze en forme de disques se développent à partir de 350 {{avjc}}. L’archéologie atteste de 96 lieux de fonte différents. Quatre types de monnaies ont alors cours en Chine, dans des aires de diffusion distinctes : la région du Shanxi et de ses confins au Henan et au Hebei ([[chinois Han|Han]], [[Wei (État)|Wei]], [[Zhao]]), où circulent des monnaies en forme de lames de houe ; les royaumes du nord-est ([[Yan]] au Hebei et [[Qi (État)|Qi]] au Shandong), où les monnaies ont la forme de couteaux ; la vallée de la Wei au Shaanxi ([[Qin]]) où sont en usage des pièces rondes avec un trou central circulaire ; la région de l’ancien royaume de [[Chu (État)|Chu]] (moyen Yangzi et vallée de la Han) où circule une monnaie d’or sous la forme de tablettes comportant seize petits carrés portant l’indication de leur valeur, mais où l’on fond également des [[Monetaria moneta|cauris]] en bronze, imitant ces coquillages<ref>{{Ouvrage |auteur=Jacques Gernet|titre=La Chine ancienne. Que sais-je?, Numéro 1113|éditeur= Presses universitaires de France|lieu= |année=1964|présentation en ligne={{Google Livres|uuMtAQAAIAAJ|page=99|surligne=fonte}}}}</ref>.}}
* '''475-221 {{avjc}}''' : [[période des Royaumes combattants]] en Chine<ref name="Drapeaud">{{Ouvrage |auteur=Pierre Drapeaud|titre=Chine : Chronologie simplifiée. Des origines à 1949|éditeur= L'Harmattan|lieu= |année=2017|isbn =9782343114507|présentation en ligne={{Google Livres|TeU8DwAAQBAJ|page=14}}}}</ref>. De nombreux États du nord se mettent à construire des murailles à leurs frontières. Cette pratique trouve son expression suprême avec la construction de la [[Grande Muraille]] édifiée après l'an 221 {{av JC}} sur plus de {{unité|1600|km}}.
* '''475-221 {{avjc}}''' : [[période des Royaumes combattants]] en Chine<ref name="Drapeaud">{{Ouvrage |auteur=Pierre Drapeaud|titre=Chine : Chronologie simplifiée. Des origines à 1949|éditeur= L'Harmattan|lieu= |année=2017|isbn =9782343114507|présentation en ligne={{Google Livres|TeU8DwAAQBAJ|page=14}}}}</ref>. De nombreux États du nord se mettent à construire des murailles à leurs frontières. Cette pratique trouve son expression suprême avec la construction de la [[Grande Muraille]] édifiée après l'an 221 {{av JC}} sur plus de {{unité|1600|km}}.
* '''413-345 {{avjc}}''' : en [[Inde]], la [[dynastie Shaishunâga]] succède à la dynastie Haryanka sur le trône du [[Magadha]]<ref name="Frédéric">{{Ouvrage |auteur=Louis Frédéric|titre=Le Nouveau Dictionnaire de la civilisation indienne|éditeur= Groupe Robert Laffont|lieu= |année=2018|isbn =9782221217740|présentation en ligne={{Google Livres|0sdADwAAQBAJ|page=PT1251}}}}</ref>.
* '''413-345 {{avjc}}''' : en [[Inde]], la [[dynastie Shaishunâga]] succède à la dynastie Haryanka sur le trône du [[Magadha]]<ref name="Frédéric">{{Ouvrage |auteur=Louis Frédéric|titre=Le Nouveau Dictionnaire de la civilisation indienne|éditeur= Groupe Robert Laffont|lieu= |année=2018|isbn =9782221217740|présentation en ligne={{Google Livres|0sdADwAAQBAJ|page=PT1251}}}}</ref>.
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* '''321 av. J.-C.''' : en [[Inde]], [[Chandragupta Maurya]] renverse et tue le roi du [[Magadha]] ([[Bihâr]]) [[Dhana Nanda]] et sa famille<ref>{{Ouvrage |auteur=Radhey Shyam Chaurasia|titre=History of ancient India : earliest times to 1000 A.D.|éditeur= Atlantic Publishers & Dist|lieu= |année=2002|isbn =9788126900275|présentation en ligne={{Google Livres|cWmsQQ2smXIC|page=104}}}}</ref>. Il fonde la [[Empire Maurya|dynastie des Maurya]] qui contrôle une grande partie de l’[[Inde]] et de l’[[Afghanistan]] actuel jusqu’en [[184 av. J.-C.]].
* '''321 av. J.-C.''' : en [[Inde]], [[Chandragupta Maurya]] renverse et tue le roi du [[Magadha]] ([[Bihâr]]) [[Dhana Nanda]] et sa famille<ref>{{Ouvrage |auteur=Radhey Shyam Chaurasia|titre=History of ancient India : earliest times to 1000 A.D.|éditeur= Atlantic Publishers & Dist|lieu= |année=2002|isbn =9788126900275|présentation en ligne={{Google Livres|cWmsQQ2smXIC|page=104}}}}</ref>. Il fonde la [[Empire Maurya|dynastie des Maurya]] qui contrôle une grande partie de l’[[Inde]] et de l’[[Afghanistan]] actuel jusqu’en [[184 av. J.-C.]].


* '''Vers 400 {{avjc}}''' : en [[Chine]], [[Mozi]] (Mo Tseu, v. 480-390 {{avjc}}) fonde le [[moïsme]]. Continuateur de [[Confucius]], il se rapproche du théisme et condamne énergiquement les guerres féodales, les luttes entre grandes familles, les dépenses somptuaires et la misère du petit peuple. Il est partisan de la justice et d’un pouvoir autocratique qui s’appuierait sur la classe pauvre et proche de la paysannerie dont il est lui-même issus. Son école connaît un grand retentissement et devient une secte organisée pour arrêter les guerres et défendre les cités injustement attaquées. De nombreux prédicateurs lui succèdent, recrutent des néophytes et tentent de convaincre les puissants de leur injustice et de leur impiété. Les disciples et les héritiers de Mo-tseu sont les premiers à poser les principes de la dialectique<ref name="Walter">{{Ouvrage |auteur=Xavier Walter|titre=Petite histoire de la Chine|éditeur= Éditions Eyrolles|lieu= |année=2011|isbn =9782212861747|présentation en ligne={{Google Livres|ArVEcx45D3AC|page=42}}}}</ref>.

* En Chine s’épanouit « l’école des lois » dont les principaux philosophes, également hommes d’États et réformateurs, les [[légisme|légistes]], sont [[Shen Buhai]] ([[385 av. J.-C.|385]]-[[337 av. J.-C.]]), [[Shen Dao]] (v. [[350 av. J.-C.|350]]-[[275 av. J.-C.]]), [[Shang Yang]] (v. [[390 av. J.-C.|390]]-[[336 av. J.-C.]]) et [[Han Fei Zi]] (mort en [[233 av. J.-C.]])<ref name="Walter"/>. Ils sont les premiers penseurs chinois à prendre pour point de départ l’homme et la société non pas comme ils devraient être, mais tels qu’ils sont réellement, et rejettent la tradition<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur=Anne Cheng|titre=Histoire de la pensée chinoise|éditeur=Le Seuil|lieu=|année=2015|pages totales=662|isbn=9782021284157|isbn2=2021284158|présentation en ligne={{Google Livres|R-rwCgAAQBAJ|page=237}}}}.</ref>. Ils prônent une loyauté indéfectible envers le souverain et le maintien de l’ordre social par le développement de la production agricole et de la puissance militaire. Ils préconisent la publicité des lois, un système de peines et de récompenses pour s’assurer de la fidélité des fonctionnaires civils et militaires, et l’utilisation de moyens de preuves écrites et de transmission des ordres (sceaux officiels, diplômes en deux parties, comptes chiffrés, rapport écrits de gestion), procédés qui ont fait leurs preuves dans le grand commerce et les grandes entreprises. Le réformateur des [[dynastie Han|Han]] [[Shen Buhai]], au milieu de siècle, vante les avantages que le prince peut tirer d’un secret absolu sur ses intentions et ses décisions politiques, et préconise un contrôle strict des fonctionnaires, dont les attributions doivent être étroitement définies.
=== Proche-Orient ===
=== Proche-Orient ===
* '''400-200 av. J.-C.''' : apogée de la ville de [[Royaume de Saba|Saba]], l’actuelle [[Marib]], dans l’[[Hadramaout]] ([[Yémen]])<ref>{{Ouvrage |auteur=Jean Jolly|titre=L'Afrique et son environnement européen et asiatique|volume=|éditeur= Éditions L'Harmattan|lieu= |année=|isbn =9782296574762|présentation en ligne={{Google Livres|ZR1tHTYAgvQC|page=PT33}}}}</ref>.
* '''400-200 av. J.-C.''' : apogée de la ville de [[Royaume de Saba|Saba]], l’actuelle [[Marib]], dans l’[[Hadramaout]] ([[Yémen]])<ref>{{Ouvrage |auteur=Jean Jolly|titre=L'Afrique et son environnement européen et asiatique|volume=|éditeur= Éditions L'Harmattan|lieu= |année=|isbn =9782296574762|présentation en ligne={{Google Livres|ZR1tHTYAgvQC|page=PT33}}}}</ref>.
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== Chronologies thématiques ==
== Chronologies thématiques ==
{{détail|IVe siècle avant J.C. en architecture|Arts plastiques au IVe siècle av. J.-C.|Littérature du IVe siècle av. J.-C.|IVe siècle av. J.-C. en science}}
{{détail|IVe siècle avant J.C. en architecture|Arts plastiques au IVe siècle av. J.-C.|Littérature du IVe siècle av. J.-C.|IVe siècle av. J.-C. en science|Chronologie des faits économiques et sociaux au IVe siècle av. J.-C.}}
== Notes et références ==
== Notes et références ==
{{Références}}
{{Références}}

Version du 14 octobre 2018 à 09:54

Millénaires :

IIe millénaire av. J.-C. • Ier millénaire av. J.-C. • Ier millénaire


Siècles :
Ve siècle av. J.-C. • IVe siècle av. J.-C. • IIIe siècle av. J.-C.


Décennies :

-390-380-370-360-350
-340-330-320-310-300


Années :

-300-299-398-397-396
-395-394-393-392-391

-390-389-388-387-386
-385-384-383-382-381

-380-379-378-377-376
-375-374-373-372-371

-370-369-368-367-366
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-360-359-358-357-356
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Voir aussi : Liste des siècles, Chiffres romains


Le IVe siècle av. J.-C. commence le 1er janvier -400 et finit le 31 décembre -301.

Évènements

Afrique

Asie

Proche-Orient

  • 400-200 av. J.-C. : apogée de la ville de Saba, l’actuelle Marib, dans l’Hadramaout (Yémen)[12].
  • 331-323 av. J.-C. : fondation de multiples villes portant le nom d'Alexandrie par Alexandre le Grand.
  • 305 av. J.-C. : en Perse, les Séleucides succèdent aux Achéménides[3]. Après sa conquête par Alexandre le Grand, les provinces de l'ancien empire perse s'hellénisent progressivement, de nombreux Grecs s'y installent et leur culture influence profondément les domaines économique, social, philosophique mais également religieux. La communauté juive devient minoritaire en Palestine, d'autant plus que de nombreux juifs partent s'installer dans les nombreuses cités de l'empire, depuis la mer Noire jusqu'à la mer Égée, mais surtout dans la nouvelle capitale d'Alexandrie. Ces migrations prennent une telle importance qu’on les désigna sous le nom collectif de diaspora (en grec, « dispersion »).

Europe

Pilier cultuel en grès de Pfalzfeld (Rhénanie), découvert en 1608, daté entre 450 et 350 av. J.-C.[13].
Urne à « visage », vers 500-150 av. J.-C., musée de Grudziądz, Pologne.
  • Vers 400 av. J.-C.-0 : âge du fer celtique en Scandinavie[23]. Forte influence de la civilisation celtique, surtout au Danemark. Cette influence est visible dans l’habillement (port de braies), l’onomastique, l’art et la religion. Les Scandinaves acquièrent la technologie du fer et extraient le minerai (limonite) de leurs marais (myrmalm, en suédois). Importance croissante du bateau dans tous les domaines. Le climat s’est refroidit depuis l’âge du bronze. La population est moins dense et s’appauvrit. Il n’est pas exclu qu’elle migre vers le sud. Les jardins entourant les maisons sont cernés d’une clôture. La culture du seigle et de l’avoine se répand. Des sépultures collectives (skibsaetninger) surmontées de pierres levées dessinant une coque de bateaux et pouvant contenir quelque 100 cadavres, sont utilisées à l’âge du fer.
  • Vers 375-210av. J.-C. : inhumation de l’homme de Tollund, cadavre conservé dans la tourbe au Danemark. L’homme a été garrotté[24]. Ses doigts intacts suggèrent l’absence de travail manuel, donc un homme de haut rang.
  • 371-362 av. J.-C. : hégémonie de Thèbes sur la Grèce classique. Domination Athénienne en Égée (371-357 av. J.-C.)[19].
  • Vers 359-336 av. J.-C. : expansion du royaume de Macédoine sous le règne de Philippe II[3]. Conquête de la Thessalie, de la Thrace, hégémonie sur les cités grecques.
  • 355-338 av. J.-C. : troisième et quatrième guerres sacrées : affrontement entre Athènes et Philippe II de Macédoine[19].
  • 338 av. J.-C. : Rome annexe le Latium à l’issue de la guerre latine, première étape de la conquête de l’Italie avec les trois guerres samnites de 343 à 290 av. J.-C.[25]. Au IVe siècle, une nouvelle culture adaptée aux transformations de la société, est mise en place à Rome. Elle se nourrit du monde grec classique par le relais de Tarente et de Syracuse et est définie comme « koinè ». On assiste à la reprise de grandes réalisations urbanistiques, à la construction d’édifices sacrés ou publics et d’infrastructures urbaines. Les monuments commémoratifs individuels des grands généraux ou de membres de la classe dirigeante se multiplient. Les peintres et les sculpteurs représentent les narrations des Res Gestæ et les figures symboliques du statut de magistrat. Cette culture de « koiné » entre en crise dès le IIIe siècle, mais est exportée cependant dans les provinces et perdure jusqu’à l’empire.

Personnages significatifs

Chronologies thématiques

Notes et références

  1. a b et c Jean-Claude Margueron, Le Proche-Orient et l'Égypte antiques, Hachette Éducation Technique, (ISBN 9782011400963, présentation en ligne)
  2. Nicolas Grimal, Histoire de l’Égypte ancienne, Fayard, (ISBN 9782213640013, présentation en ligne)
  3. a b c et d Florence Braunstein, Jean-François Pépin, 1 kilo de culture générale, Presses Universitaires de France, (ISBN 9782130632627, présentation en ligne)
  4. Salah Guemriche, Alger la Blanche: biographies d'une ville, EDI8, (ISBN 9782262040390, présentation en ligne)
  5. Mohamed Bergaoui, Monastir, fragments d'histoire, M. Bergaoui, (présentation en ligne)
  6. Catherine Coquery-Vidrovitch, Histoire des villes d'Afrique Noire : Des origines à la colonisation, Albin Michel, (ISBN 9782226296009, présentation en ligne)
  7. Walter Raunig, Steffen Wenig, Afrikas Horn, Otto Harrassowitz Verlag,
  8. Jean Doresse, Histoire de l'Éthiopie, Presses universitaires de France, (présentation en ligne)
  9. Pierre Drapeaud, Chine : Chronologie simplifiée. Des origines à 1949, L'Harmattan, (ISBN 9782343114507, présentation en ligne)
  10. a et b Louis Frédéric, Le Nouveau Dictionnaire de la civilisation indienne, Groupe Robert Laffont, (ISBN 9782221217740, présentation en ligne)
  11. Radhey Shyam Chaurasia, History of ancient India : earliest times to 1000 A.D., Atlantic Publishers & Dist, (ISBN 9788126900275, présentation en ligne)
  12. Jean Jolly, L'Afrique et son environnement européen et asiatique, Éditions L'Harmattan (ISBN 9782296574762, présentation en ligne)
  13. a b et c Christiane Éluère, L'Europe des Celtes, Paris, Gallimard, coll. « Découvertes Gallimard / Histoire » (no 158), (présentation en ligne)
  14. Reinhard Bernbeck, Randall H. McGuire, Ideologies in Archaeology, University of Arizona Press, (ISBN 9780816526734, présentation en ligne)
  15. Jean-Paul Demoule, Les dix millénaires oubliés qui ont fait l'Histoire, Fayard, (ISBN 9782213679235, présentation en ligne)
  16. Henri Hubert, Les Celtes, Albin Michel, (ISBN 9782226234346, présentation en ligne)
  17. John T. Koch, Celtic culture : a historical encyclopedia, vol. 1, ABC-CLIO, (ISBN 9781851094400, présentation en ligne)
  18. Ogam : tradition celtique, Volume 13, Numéros 73 à 78, Ogam, (présentation en ligne)
  19. a b et c Pierre Brulé, Raymond Descat, Le monde grec aux temps classiques. Le IVe siècle, vol. 2, Presses Universitaires de France, (ISBN 9782130737513, présentation en ligne)
  20. Barry Cunliffe, Britain Begins, Oxford University Press, (ISBN 9780199679454, présentation en ligne)
  21. Henri Hubert, op. cit, p. 69.
  22. Georges Castellan, Histoire des peuples d'Europe centrale, Fayard, (ISBN 9782213639109, présentation en ligne)
  23. Régis Boyer, L'art viking, Renaissance du Livre, (ISBN 9782804605568, présentation en ligne)
  24. Jean-Claude Lescure, Un jour, une question : 50 questions autour de l'histoire, edi8, (ISBN 9782754081436, présentation en ligne)
  25. Michel Kaplan, Le monde romain, Éditions Bréal, (ISBN 9782853948098, présentation en ligne)