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La sensation qu'elle a provoqué lors de cette soirée à conduit les [[Photographe de mode|photographes]] [[Cecil Beaton]] et [[Richard Avedon]], à travailler ensemble pour faire d'elle un mannequin<ref name=":a" />. Elle a seize ans et son père avait cédé. [[David Bailey]] décrit Penelope comme « un cricket Jimminy égyptien » {{Pas clair}} |
La sensation qu'elle a provoqué lors de cette soirée à conduit les [[Photographe de mode|photographes]] [[Cecil Beaton]] et [[Richard Avedon]], à travailler ensemble pour faire d'elle un mannequin<ref name=":a" />. Elle a seize ans et son père avait cédé. [[David Bailey]] décrit Penelope comme « un cricket Jimminy égyptien » {{Pas clair}} |
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En 1967, Penelope Tree a emménagé dans l'appartement de David Bailey à Londres, dans le voisinage de Primose Hill. Il est devenu un repaire pour les hippies au cours des [[Swinging Sixties]] {{pas clair|qui, Bailey a rappelé, serait "fumer des joints que j'avais payé de m'appeler un cochon capitaliste !"}} Dans une autre citation célèbre, [[John Lennon]] a demandé définir Penelope Tree en trois mots, il l'appela, "chaud, chaud, Chaud, Intelligente, Intelligente, Intelligente!" {{Référence nécessaire|date= |
En 1967, Penelope Tree a emménagé dans l'appartement de David Bailey à Londres, dans le voisinage de Primose Hill. Il est devenu un repaire pour les hippies au cours des [[Swinging Sixties]] {{pas clair|qui, Bailey a rappelé, serait "fumer des joints que j'avais payé de m'appeler un cochon capitaliste !"}} Dans une autre citation célèbre, [[John Lennon]] a demandé définir Penelope Tree en trois mots, il l'appela, "chaud, chaud, Chaud, Intelligente, Intelligente, Intelligente!" {{Référence nécessaire|date=février 2012}} |
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Elle a été largement comparé aux [[The Beatles| Beatles]] pour inspirer le mouvement "swinging 60's" et pour galvaniser une génération de jeunes femmes américaines. Les cicatrices de l'acné tardive ont mis fin à sa carrière au début des années 1970 : "je suis passée par un stade où j'étais très recherchée par un stade où je suis mises à l'écart parce que personne ne pouvait supporter mon apparence."<ref name="alien">[http://www.independent.ie/entertainment/news-gossip/i-felt-just-like-an-alien--so-i-thought-i-could-look-like-one-1462225.html 'I felt just like an alien – so I thought I could look like one']</ref> En 1972, elle a été arrêtée pour possession de cocaïne<ref>{{ |
Elle a été largement comparé aux [[The Beatles| Beatles]] pour inspirer le mouvement "swinging 60's" et pour galvaniser une génération de jeunes femmes américaines. Les cicatrices de l'acné tardive ont mis fin à sa carrière au début des années 1970 : "je suis passée par un stade où j'étais très recherchée par un stade où je suis mises à l'écart parce que personne ne pouvait supporter mon apparence."<ref name="alien">[http://www.independent.ie/entertainment/news-gossip/i-felt-just-like-an-alien--so-i-thought-i-could-look-like-one-1462225.html 'I felt just like an alien – so I thought I could look like one']</ref> En 1972, elle a été arrêtée pour possession de cocaïne<ref>{{article|langue=en|prénom=Louise|nom=France|périodique=[[The Observer]]|journal=[[The Observer]]|éditeur=Guardian News and Media Limited|titre='People thought I was a freak. I kind of liked that'|url=https://www.theguardian.com/lifeandstyle/2008/aug/03/celebrity.women|lieu=London|date=3 août 2008|consulté le=1 avril 2012}}</ref>. En 1974, Bailey et Tree se séparent et elle part s'installer à [[Sydney]]. |
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Elle est apparue dans le film de comédie britannique ''[[The Rutles]]'' en 1978<ref>{{Imdb nom|id=0871686}}</ref>. |
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Elle a deux enfants, Paloma Fataar (diplômé de [[Bard College]] et étudiant du [[Bouddhisme tibétain|Bouddhisme Tibétain]] et de la musique), et Michael MacFarlane, par sa relation avec l'australien Stuart MacFarlane. |
Elle a deux enfants, Paloma Fataar (diplômé de [[Bard College]] et étudiant du [[Bouddhisme tibétain|Bouddhisme Tibétain]] et de la musique), et Michael MacFarlane, par sa relation avec l'australien Stuart MacFarlane. |
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Penelope Tree est devenue patronne de Lotus Outreach, un organisme de bienfaisance qui travaille au [[Cambodge]] en partenariat avec des organisations locales pour donner aux filles des familles les plus pauvres, les moyens d'aller à l'école. <ref name="glassmagazine">{{Article|auteur1=Penelope Tree|nom1=Penelope Tree|titre=Why Cambodia?|périodique=Glass Magazine|lieu=London|date= |
Penelope Tree est devenue patronne de Lotus Outreach, un organisme de bienfaisance qui travaille au [[Cambodge]] en partenariat avec des organisations locales pour donner aux filles des familles les plus pauvres, les moyens d'aller à l'école. <ref name="glassmagazine">{{Article|auteur1=Penelope Tree|nom1=Penelope Tree|titre=Why Cambodia?|périodique=Glass Magazine|lieu=London|date=juin 2009|issn=2041-6318|pages=102}}</ref> |
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Penelope Tree (née le à New York) est un mannequin britannique de premier plan dans les années soixante à Londres.
Famille
Penelope Tree est l'enfant unique de Ronald, un journaliste, investisseur et député britannique (MP), et de Marietta Peabody Arbre, une militante sociale et une politique américaine. Elle est l'arrière-petite-fille du détaillant Américain Marshall Field et de de l'éducateur américain Endicott Peabody. Elle est la demi-sœur de l'entraîneur de cheval de course Jeremy Tree et de l'auteur Frances FitzGerald. Elle est aussi une nièce de l'ancien gouverneur du Massachusetts Endicott Peabody.
Biographie
Sa famille est d'abord opposée à sa carrière en tant que modèle, et quand elle a été photographié à l'âge de treize ans par Diane Arbus, son père a juré qu'il la poursuivrait en justice si les photos sont publiées[1].
Penelope Tree a fait une apparition frappante en 1966, lors du « Bal en Noir et Blanc » lancé par l'auteur Truman Capote, portant une tunique à col V noir avec de longues barres obliques de bas en faisant des panneaux flottants, portés sur des collants noirs[2].
La sensation qu'elle a provoqué lors de cette soirée à conduit les photographes Cecil Beaton et Richard Avedon, à travailler ensemble pour faire d'elle un mannequin[2]. Elle a seize ans et son père avait cédé. David Bailey décrit Penelope comme « un cricket Jimminy égyptien » [pas clair]
En 1967, Penelope Tree a emménagé dans l'appartement de David Bailey à Londres, dans le voisinage de Primose Hill. Il est devenu un repaire pour les hippies au cours des Swinging Sixties qui, Bailey a rappelé, serait "fumer des joints que j'avais payé de m'appeler un cochon capitaliste !"[pas clair] Dans une autre citation célèbre, John Lennon a demandé définir Penelope Tree en trois mots, il l'appela, "chaud, chaud, Chaud, Intelligente, Intelligente, Intelligente!" [réf. nécessaire]
Elle a été largement comparé aux Beatles pour inspirer le mouvement "swinging 60's" et pour galvaniser une génération de jeunes femmes américaines. Les cicatrices de l'acné tardive ont mis fin à sa carrière au début des années 1970 : "je suis passée par un stade où j'étais très recherchée par un stade où je suis mises à l'écart parce que personne ne pouvait supporter mon apparence."[3] En 1972, elle a été arrêtée pour possession de cocaïne[4]. En 1974, Bailey et Tree se séparent et elle part s'installer à Sydney.
Elle est apparue dans le film de comédie britannique The Rutles en 1978[5].
Elle a été mariée à un sud-africain, Ricky Fataar (un membre de L'Flammes, Les Rutles, et les Beach Boys). Elle a deux enfants, Paloma Fataar (diplômé de Bard College et étudiant du Bouddhisme Tibétain et de la musique), et Michael MacFarlane, par sa relation avec l'australien Stuart MacFarlane.
Penelope Tree est devenue patronne de Lotus Outreach, un organisme de bienfaisance qui travaille au Cambodge en partenariat avec des organisations locales pour donner aux filles des familles les plus pauvres, les moyens d'aller à l'école. [6]
Références
- "No Regrets: The Life of Marietta Tree" – book review, Washington Monthly
- Davis, Deborah (2006).
- 'I felt just like an alien – so I thought I could look like one'
- (en) Louise France, « 'People thought I was a freak. I kind of liked that' », The Observer, London, Guardian News and Media Limited, (lire en ligne, consulté le )
- « Penelope Tree » (présentation), sur l'Internet Movie Database
- Penelope Tree, « Why Cambodia? », Glass Magazine, London, , p. 102 (ISSN 2041-6318)
