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Version du 26 septembre 2016 à 02:42

Le Parisien Magazine - Aujourd'hui en France Magazine
Pays France
Langue français
Périodicité hebdomadaire (tous les vendredis)
Format magazine
Genre généraliste - culture, société, international, conso
Prix au numéro Le Parisien Magazine (quotidien compris) : 2,40 
Aujourd'hui en France Magazine (quotidien compris) : 2,00 
Diffusion 420 126 ex. (2013)
Date de fondation 2012
Éditeur L.P.M.
Ville d’édition 2-8, rue Gaston-Rébuffat, Paris 19e

Propriétaire S.N.C. Le Parisien Libéré (Groupe Amaury)
Directeur de la rédaction Thierry Borsa
Rédacteur en chef François Vey
ISSN 2262-6077
Site web http://www.leparisienmagazine.fr

Le Parisien Magazine, qui prend le nom de Aujourd'hui-en-France Magazine en province, est un supplément hebdomadaire vendu le vendredi avec le journal Le Parisien (ou avec le journal Aujourd'hui-en-France en province) depuis septembre 2012. Diffusé chaque semaine à environ 420 000 exemplaires (source OJD[1]), ce magazine est édité par la société L.P.M., filiale du Parisien.

Le positionnement

Ce magazine se veut « surprenant, respectant nos valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité », selon Thierry Borsa, directeur des rédactions [2] interrogé à la création du titre.

Epais d'une centaine de pages, le magazine se découpe en trois parties. La première, baptisée « Week-end », traite de culture, de voyage, de gastronomie. La seconde, dite « Grand angle », s'intéresse au sujet de fonds : économie, international, société, etc. La troisième et dernière, la section « Plaisirs », est plutôt tournée consommation : mode, beauté, high-tech, etc.

Quelques dates importantes

Le 19 octobre 2012, Arnaud Montebourg fait la couverture du magazine habillé en marinière pour un article de fond sur le « made in France »[3]. Le dossier sera récompensé du Prix du coup éditorial 2013, décerné par le syndicat des éditeurs de la presse magazine.

En octobre 2013, à l'occasion d'un article sur le courage en politique, Ségolène Royal est photographiée vêtue d'une sorte de toge et portant un drapeau français, à la manière de La Liberté guidant le peuple, le tableau de Delacroix[4]. Si elle ne fait pas la couverture, cette image sera largement diffusée par les médias et même parodiée.

En janvier 2014, peu après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler se confie au Parisien Magazine, à l'occasion d'un voyage en Inde [5],[6], expliquant notamment : « je n'aimais pas les ors de l'Élysée ».

Références