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En 1761, il publie ''De Hydroargyro Idriensi Tentamina'' un ouvrage sur les symptômes de l’[[Aspects toxicologiques du mercure|intoxication mercurielle]] chez les mineurs de mercure, tiré de ses observations sur les mineurs d’[[Idrija]]. En [[1767]], il est appelé par le gouvernement impérial à venir enseigner la [[minéralogie]] et la [[métallurgie]] à l’Académie de [[Schemnitz]] (maintenant [[Banská Štiavnica]] en Slovaquie). Il occupe cette fonction jusqu’en [[1776]]. En dehors de son œuvre de [[Histoire naturelle|naturaliste]], il reste connu dans le domaine de la toxicologie industrielle pour ses observations sur le [[Aspects toxicologiques du mercure|mercure]].
En 1761, il publie ''De Hydroargyro Idriensi Tentamina'' un ouvrage sur les symptômes de l’[[Aspects toxicologiques du mercure|intoxication mercurielle]] chez les mineurs de mercure, tiré de ses observations sur les mineurs d’[[Idrija]]. En [[1767]], il est appelé par le gouvernement impérial à venir enseigner la [[minéralogie]] et la [[métallurgie]] à l’Académie de [[Schemnitz]] (maintenant [[Banská Štiavnica]] en Slovaquie). Il occupe cette fonction jusqu’en [[1776]]. En dehors de son œuvre de [[Histoire naturelle|naturaliste]], il reste connu dans le domaine de la toxicologie industrielle pour ses observations sur le [[Aspects toxicologiques du mercure|mercure]].


Il refuse, pour des raisons patriotiques, la chaire de minéralogie de l'Académie des sciences de [[Saint-Pétersbourg]] et en [[1777]], il obtient la chaire d'[[histoire naturelle]] de l’[[Université de Pavie]], sous domination autrichienne, où il enseigne la [[chimie]] et la [[botanique]], poste qu'il conserve jusqu'à sa mort<ref name=newton/>. Il travaille notamment aux côtés de [[Lazzaro Spallanzani]] (1729-1799). Les relations entre les deux hommes sont très difficiles et émaillées d’incidents variés. Ainsi, Spallanzani et Scopoli s’opposent dès la venue du premier à [[Pavie]], notamment parce que Scopoli est linnéen et que Spallanzani reette ce système. Ce dernier fait paraître deux opuscules anonymes en [[1788]] où il se moque d’une erreur commise par Scopoli dans ''Deliciae Florae et Faunae Insubricae''<ref>Scopoli prend pour un ver parasite l'un des vaisseaux sanguins de la trachée d'un oiseau.</ref> et le surnomme ''povero physis intestinalis'' (pauvre ver intestinal). Scopoli s’associe avec [[Giovanni Serafino Volta]] (1764-1842), conservateur du muséum de Pavie, [[Antonio Scarpa]] (1747-1832), anatomiste et [[Gregorio Fontana]] (1735¬1803), mathématicien, pour accuser Spallanzani d’avoir volé des spécimens d’[[histoire naturelle]] du muséum universitaire. Une commission finit par le blanchir.
Il refuse, pour des raisons patriotiques, la chaire de minéralogie de l'Académie des sciences de [[Saint-Pétersbourg]] et en [[1777]], il obtient la chaire d'[[histoire naturelle]] de l’[[Université de Pavie]], sous domination autrichienne, où il enseigne la [[chimie]] et la [[botanique]], poste qu'il conserve jusqu'à sa mort<ref name=newton/>. Il travaille notamment aux côtés de [[Lazzaro Spallanzani]] (1729-1799). Les relations entre les deux hommes sont très difficiles et émaillées d’incidents variés. Ainsi, Spallanzani et Scopoli s’opposent dès la venue du premier à [[Pavie]], notamment parce que Scopoli est linnéen et que Spallanzani rejette ce système. Ce dernier fait paraître deux opuscules anonymes en [[1788]] où il se moque d’une erreur commise par Scopoli dans ''Deliciae Florae et Faunae Insubricae''<ref>Scopoli prend pour un ver parasite l'un des vaisseaux sanguins de la trachée d'un oiseau.</ref> et le surnomme ''povero physis intestinalis'' (pauvre ver intestinal). Scopoli s’associe avec [[Giovanni Serafino Volta]] (1764-1842), conservateur du muséum de Pavie, [[Antonio Scarpa]] (1747-1832), anatomiste et [[Gregorio Fontana]] (1735¬1803), mathématicien, pour accuser Spallanzani d’avoir volé des spécimens d’[[histoire naturelle]] du muséum universitaire. Une commission finit par le blanchir.


Il perd sa seconde femme et épouse, en troisièmes noces, Carolina de Feyenau, membre d’une des plus grandes familles nobles de Hongrie.
Il perd sa seconde femme et épouse, en troisièmes noces, Carolina de Feyenau, membre d’une des plus grandes familles nobles de Hongrie.
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Il est l'auteur d’''Introductio ad historiam naturalem, sistens genera lapidum, plantarum et animalium hactenus detecta, caracteribus essentialibus donata, in tribus divisa, subinde ad leges naturae'' ([[1777]]), un important livre d'initiation à l'histoire naturelle. Son dernier ouvrage est ''Deliciæ Floræ et Faunæ Insulicæ'' (en trois volumes) qui décrit de nombreuses espèces animales et végétales. Si dans la première de ''Flora carniolica'' Scopoli adopte un système de dénomination basé sur plusieurs noms, la deuxième édition adoptera le système binominal [[Carl von Linné|linnéen]]. Il entretient une correspondance suivie avec [[Carl von Linné]] (1707-1778).
Il est l'auteur d’''Introductio ad historiam naturalem, sistens genera lapidum, plantarum et animalium hactenus detecta, caracteribus essentialibus donata, in tribus divisa, subinde ad leges naturae'' ([[1777]]), un important livre d'initiation à l'histoire naturelle. Son dernier ouvrage est ''Deliciæ Floræ et Faunæ Insulicæ'' (en trois volumes) qui décrit de nombreuses espèces animales et végétales. Si dans la première de ''Flora carniolica'' Scopoli adopte un système de dénomination basé sur plusieurs noms, la deuxième édition adoptera le système binominal [[Carl von Linné|linnéen]]. Il entretient une correspondance suivie avec [[Carl von Linné]] (1707-1778).


Scopoli est, semble-t-il, le premier à avoir eu l'idée de dédier des [[espèce]]s nouvelles à des personnes. Il contribue considérablement à l'essor des sciences naturelles en Italie et à l'adoption de la nomenclature linnéenne. Malgré une vie frappée par les malheurs, notamment en perdant plusieurs fois sa bibliothèque et ses manuscrits<ref>dans les incendies de sa maison, mais aussi lors d’un naufrage sur l’[[Inn (rivière)|Inn]].</ref>, il est l'auteur de 57 publications.
Scopoli est, semble-t-il, le premier à avoir eu l'idée de dédier des [[espèce]]s nouvelles à des personnes. Il contribue considérablement à l'essor des sciences naturelles en Italie et à l'adoption de la nomenclature linnéenne. Bien qu'il ait perdu plusieurs fois sa bibliothèque et ses manuscrits<ref>dans les incendies de sa maison, mais aussi lors d’un naufrage sur l’[[Inn (rivière)|Inn]].</ref>, il est l'auteur de cinquante-sept publications.


Un [[alcaloïde]] provenant d’une plante et utilisé comme [[drogue]], la [[scopolamine]] a été découvert dans les variétés du genre ''[[Scopolia]]'' auquel on a donné son nom.
Un [[alcaloïde]] provenant d’une plante et utilisé comme [[drogue]], la [[scopolamine]] a été découvert dans les variétés du genre ''[[Scopolia]]'' auquel on a donné son nom.

Version du 18 avril 2016 à 20:52

Giovanni Antonio Scopoli
Giovanni Antonio Scopoli
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PavieVoir et modifier les données sur Wikidata
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Giovanni Antonio Scopoli (ou Johannes Antonius Scopoli sous sa forme latinisée), (, Cavalese dans le Trentin-Haut-Adige - , Pavie) est un médecin, entomologiste et naturaliste de culture italienne né dans une région du Tyrol administrée par l'Autriche depuis des siècles.

Biographie

Scopoli, fils d'un avocat d’origine italienne est né à Cavalese dans le Val di Fiemme au Tyrol. Il fait ses études élémentaires dans une école privée, puis ses études intermédiaires à Trente, enfin il étudie au Gymnasium de Hall. Après des études de médecine à Innsbruck et l’obtention de son diplôme en 1743, il exerce la médecine à Cavalese, à Trente et enfin à Venise[1]. En 1749, il épouse Albina de Miorini, la fille de Carlo Antonio, un notable de Cavalese. Puis, durant deux ans, il séjourne en Styrie, à Graz et Seckau, dans la suite de Leopoldo Ernesto Firmian (1708-1783), évêque de Passau et cardinal à partir de 1772.

Il obtient à Vienne un diplôme de médecine universelle lui permettant d'exercer n'importe où dans l'Empire des Habsbourg. Il consacre beaucoup de temps à étudier la faune et la flore du Tyrol. Scopoli constitue un grand herbier et une vaste collection d'insectes. Il finit par s'installer à Idrija, un petit village de la Carniole (aujourd'hui en Slovénie) comme médecin et enseignant en chimie métallurgique auprès de la compagnie minière. Il y passe seize ans, perpétuellement en conflit avec le directeur qui lui reproche de passer trop de temps à étudier les plantes et les insectes. Il perd sa femme et sa fille dans l'incendie de sa maison. En 1758, il se repose à Ljubljana auprès de Caterina de Franchenfeldt.

Gravure sur cuivre extraite de Deliciæ Floræ et Faunæ Insubricæ (1786).

Il publie, en 1760, une flore de la région (Flora carniolica) et en 1763, une faune entomologique, Entomologia carniolica où il décrit notamment un insecte, la Zygaena carniolica.

En 1761, il publie De Hydroargyro Idriensi Tentamina un ouvrage sur les symptômes de l’intoxication mercurielle chez les mineurs de mercure, tiré de ses observations sur les mineurs d’Idrija. En 1767, il est appelé par le gouvernement impérial à venir enseigner la minéralogie et la métallurgie à l’Académie de Schemnitz (maintenant Banská Štiavnica en Slovaquie). Il occupe cette fonction jusqu’en 1776. En dehors de son œuvre de naturaliste, il reste connu dans le domaine de la toxicologie industrielle pour ses observations sur le mercure.

Il refuse, pour des raisons patriotiques, la chaire de minéralogie de l'Académie des sciences de Saint-Pétersbourg et en 1777, il obtient la chaire d'histoire naturelle de l’Université de Pavie, sous domination autrichienne, où il enseigne la chimie et la botanique, poste qu'il conserve jusqu'à sa mort[1]. Il travaille notamment aux côtés de Lazzaro Spallanzani (1729-1799). Les relations entre les deux hommes sont très difficiles et émaillées d’incidents variés. Ainsi, Spallanzani et Scopoli s’opposent dès la venue du premier à Pavie, notamment parce que Scopoli est linnéen et que Spallanzani rejette ce système. Ce dernier fait paraître deux opuscules anonymes en 1788 où il se moque d’une erreur commise par Scopoli dans Deliciae Florae et Faunae Insubricae[2] et le surnomme povero physis intestinalis (pauvre ver intestinal). Scopoli s’associe avec Giovanni Serafino Volta (1764-1842), conservateur du muséum de Pavie, Antonio Scarpa (1747-1832), anatomiste et Gregorio Fontana (1735¬1803), mathématicien, pour accuser Spallanzani d’avoir volé des spécimens d’histoire naturelle du muséum universitaire. Une commission finit par le blanchir.

Il perd sa seconde femme et épouse, en troisièmes noces, Carolina de Feyenau, membre d’une des plus grandes familles nobles de Hongrie.

Il fait paraître, entre 1769 et 1772, Anni Historico-Naturales, en cinq volumes et qui comprend une importante partie ornithologique. Il y décrit de nombreuses espèces nouvelles de son cabinet de curiosités mais aussi du muséum du Comte Francesco Annibale Della Torne et de la ménagerie impériale.

Il perd en 1787, l’usage de l’œil droit, sans doute à la suite d'une utilisation intensive du microscope. Peu de temps après, Scopoli meurt d'un accident vasculaire cérébral[3]. Son dernier travail fut Deliciae Flora et Fauna Insubricae (1786-88), qui mentionne le nom scientifique des oiseaux et des mammifères décrits par Pierre Sonnerat dans le récit de ses voyages.

Il est l'auteur d’Introductio ad historiam naturalem, sistens genera lapidum, plantarum et animalium hactenus detecta, caracteribus essentialibus donata, in tribus divisa, subinde ad leges naturae (1777), un important livre d'initiation à l'histoire naturelle. Son dernier ouvrage est Deliciæ Floræ et Faunæ Insulicæ (en trois volumes) qui décrit de nombreuses espèces animales et végétales. Si dans la première de Flora carniolica Scopoli adopte un système de dénomination basé sur plusieurs noms, la deuxième édition adoptera le système binominal linnéen. Il entretient une correspondance suivie avec Carl von Linné (1707-1778).

Scopoli est, semble-t-il, le premier à avoir eu l'idée de dédier des espèces nouvelles à des personnes. Il contribue considérablement à l'essor des sciences naturelles en Italie et à l'adoption de la nomenclature linnéenne. Bien qu'il ait perdu plusieurs fois sa bibliothèque et ses manuscrits[4], il est l'auteur de cinquante-sept publications.

Un alcaloïde provenant d’une plante et utilisé comme drogue, la scopolamine a été découvert dans les variétés du genre Scopolia auquel on a donné son nom.

Principaux travaux

  • 1753 : Entomologia Carniolica.
  • 1760 : Flora Carniolica - une flore de Carniole, en Autriche (actuelle Slovénie).
  • 1761 :De Hydroargyro Idriensi Tentamina - un ouvrage médical sur les symptômes de l'empoisonnement au mercure chez les mineurs.
  • 1763Viienna Entomologia carniolica. Trattner. - un important travail sur l'entomologie contenant plusieurs descriptions d’espèces nouvelles.
  • 1769Joh. Ant. Scopoli der Arzneywissenschaft Doktors, Ihro ... Majest. Cameralphysici in der Bergstadt Idria ... Einleitung zur Kenntniß und der Gebrauch Foßilien,Hartknoch4031 Göttingen: Niedersächsische Staats-und UniversitätsbibliothekRiga. En allemand. Thèse de doctorat.
  • 1769-1772 :Anni Historico-Naturales Ce travail comprend des descriptions d’oiseaux d’espèces nouvelles.
  • 1772 : Flora Carniolica exhibens plantas Carnioliae indigenas et distributas in classes, genera, species, varietates, ordine Linnaeano . - Une deuxième édition révisée de la première description détaillée de la flore de Krain, en Autriche, écrite lorsque Scopoli vivait à Idrija. Il comprend 66 estampes dont la gravure a été réalisée par JF Rein d’après des dessins originaux de Scopoli. Considérant que la première édition non illustrée de 1760 comportant 600 pages ne mentionnait pas de doubles noms pour les espèces végétales, cette édition utilisant les nom binominal noms binaires est écrite dans la tradition de Linné qu’elle respecte à tous les égards..
  • 1777 : Introductio ad historiam naturalem, sistens genera lapidum, plantarum et animalium hactenus detecta, caracteribus essentialibus donata, in tribus divisa, subinde ad leges naturae. Prague : i–x + 1–506. – œuvre de référence de l'histoire naturelle mondiale décrivant les genres et les espèces.
  • 1783 : Fundamenta Botanica Praelectionibus Publicis accomodata. Papiae, S. Salvatoris – Un classique de la botanique contenant dix estampes représentant chacune de dix à seize dessins.
  • 1783-1784 : avec Pierre Joseph Macquer -Dizionario di chimica del Sig. Pietro Giuseppe Macquer Tradotto ... dal francese e corredato di note e di nuovi articoli ... Pavie: imprimé au monastère de San Salvatore pour G. Bianchi -Le dictionnaire de chimie du chimiste Joseph Macquer, le premier dictionnaire d'enseignement théorique et la chimie générale, a été écrit dans la précipitation et publié anonymement en 1766 par Macquer, soucieux de préserver sa réputation. Son succès l’a incité à préparer une deuxième édition révisée (1778). Scopoli l’a ensuite traduite et largement augmentée. Une deuxième édition de l'ouvrage traduit, sans autre ajout a été publiée à Venise en 1784-85.
  • 1786-1788 : Deliciae Florae et Faunae Insubricae (1re et 2e parties 1786, 3e partie 1788). - un rapport, comprenant de nouvelles descriptions d’oiseaux et de mammifères recueillies par Pierre Sonnerat pendant ses voyages.
  • 2004 : (sl) (en) Carl von Linné, Giovanni Antonio Scopoli, Darinka Soban (éd.), Joannes A. Scopoli / Carl Linnaus : dopisivanje (1760-1775), [« Giovanni Antonio Scopoli / Carl von Linné : correspondance (1760-1775) »], Prirodoslovno drustvo Slovenije [Slovenian Natural History Society], coll. « Proteusova knjiznica », Ljubljana, 2004, 348 p. (ISBN 961-90751-2-9).

Quelques espèces nommées par Scopoli

C'est Scopoli qui a fait découvrir à Carl von Linné le Tichodrome échelette. Linné ne connaissait pas cette espèce, absente de Suède, et qui ne figurait donc pas dans la dixième édition du Systema Naturae de 1758. Scopoli lui en adressa une première description, puis un spécimen en 1763. Dans les échanges entre Linné et Scopoli, l'espèce fut désignée sous plusieurs noms : Upupa muraria, Picus muraria, Merops muraria. Scopoli fut aussi capable d'adresser à Linné une description des mœurs de l'oiseau, qui montre qu'il avait pu l'observer in vivo. Linné ajouta ainsi l'espèce à la douzième édition du Systema Naturae, en 1766, sous le nom de Tichodroma muraria[5].

Annexes

Sources

  • Lorenzi P. & Bruno S. (2002). Uomini, storie, serpenti contributi alla storiografia erpetologica del Trentino-Alto Adige e Dintorni. Annali del Museo Civico di Rovereto, 17 : 173-274.
  • Full list of biographies given by Gaedike, R. & Groll, E.K. eds. 2001 Entomologen der Welt (Biographien, Sammlungsverbleib). Datenbank, DEI Eberswalde im ZALF e.V
  • Baker, D.B. 1999. The localities of Scopoli's Entomologia Carniolica (1763). Entomologist's Gazette, 50: 188-198.
  • A Concise History of Ornithology, Michael Walters ISBN 1-873403-97-6

Notes

  1. a et b Newton, Alfred 1881. Scopoli's ornithological papers. The Willoughby Society. Scanned version
  2. Scopoli prend pour un ver parasite l'un des vaisseaux sanguins de la trachée d'un oiseau.
  3. Mazzarello, Paolo 2004. Costantinopoli 1786: la congiura e la beffa. L'intrigo Spallanzani. Bollati Boringhieri
  4. dans les incendies de sa maison, mais aussi lors d’un naufrage sur l’Inn.
  5. Fausto Barbagli et Carlo Violani, Scopoli, Linnaeus and the wallcreeper Tichodroma muraria, Bulletin of The British Ornithologists' Club, (lire en ligne)

Liens externes

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