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« Répartition géographique du russe » : différence entre les versions

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Un '''russophone''' est un locuteur de langue [[russe]]. Le nombre de russophones dans le monde est estimé à 280 millions.
Un '''russophone''' est un locuteur de langue [[russe]]. Le nombre de russophones dans le monde est estimé à 280 millions.
La [[Russie]] est le plus grand des pays russophones mais de nombreuses anciennes républiques [[Union des républiques socialistes soviétiques|soviétiques]] abritent un grand nombre de russophones, d'origine russe ou non : la [[Biélorussie]], l'[[Ukraine]], le [[Kazakhstan]], la [[Moldavie]] et la [[Lettonie]] et d'autres pays de l'ancienne [[Union des républiques socialistes soviétiques|URSS]]. Du fait de l'immigration, [[Israël]], l'[[Allemagne]], le [[Canada]],,cuba les [[États-Unis]] (notamment à [[New York]], ou encore en [[Alaska]] où la communauté des [[Orthodoxes vieux-croyants|vieux-croyants]] (orthodoxes très attachés à la tradition), persécutée par le régime tsariste et le régime soviétique, a trouvé refuge et vit en vase clos) et quelques autres pays comptent aussi d'importantes communautés de langue russe, ainsi il existe une importante minorité de russophones qui sont principalement issus des nombreux étudiants qui firent leurs études supérieures en URSS.


La [[Russie]] est le plus grand des pays russophones mais de nombreuses anciennes républiques de l'[[Union des républiques socialistes soviétiques|soviétiques]] abritent un grand nombre de russophones, d'origine russe ou non : la [[Biélorussie]], l'[[Ukraine]], la [[Moldavie]], les [[pays baltes]], le [[Kazakhstan]], ainsi que les ex-républiques soviétiques d'Asie centrale, où le russe est resté langue véhiculaire ''de facto''.
Certaines sources qualifient de « russophones » les communautés minoritaires russes des pays ayant fait partie de l'URSS, alors que les populations d'origine de ces pays sont souvent partiellement russophones (parlant russe) même si elles ne sont pas de souche russe<ref>Dimitri de Kochko, ''[[Historiens et Géographes]]'', {{p.}}185-186</ref>.

Certaines sources recensent comme seuls « russophones » les communautés minoritaires russes des pays ayant fait partie de l'URSS, alors que les populations autochtones de ces pays sont souvent partiellement russophones sans être de souche russe<ref>Dimitri de Kochko, ''[[Historiens et Géographes]]'', {{p.}}185-186</ref>.

Du fait de l'immigration, [[Israël]], l'[[Allemagne]] et le [[Canada]] comptent aussi d'importantes communautés de langue russe. Il en va de même aux [[États-Unis]], notamment à [[New York]] ou encore en [[Alaska]], où la communauté des « [[Orthodoxes vieux-croyants|vieux-croyants]] » (orthodoxes très attachés à la tradition), persécutée par le régime tsariste puis le régime soviétique, a trouvé refuge et vit en vase clos.


== Annexes ==
== Annexes ==

Version du 12 septembre 2015 à 00:17

Russophones dans le monde entier

Un russophone est un locuteur de langue russe. Le nombre de russophones dans le monde est estimé à 280 millions.

La Russie est le plus grand des pays russophones mais de nombreuses anciennes républiques de l'soviétiques abritent un grand nombre de russophones, d'origine russe ou non : la Biélorussie, l'Ukraine, la Moldavie, les pays baltes, le Kazakhstan, ainsi que les ex-républiques soviétiques d'Asie centrale, où le russe est resté langue véhiculaire de facto.

Certaines sources recensent comme seuls « russophones » les communautés minoritaires russes des pays ayant fait partie de l'URSS, alors que les populations autochtones de ces pays sont souvent partiellement russophones sans être de souche russe[1].

Du fait de l'immigration, Israël, l'Allemagne et le Canada comptent aussi d'importantes communautés de langue russe. Il en va de même aux États-Unis, notamment à New York ou encore en Alaska, où la communauté des « vieux-croyants » (orthodoxes très attachés à la tradition), persécutée par le régime tsariste puis le régime soviétique, a trouvé refuge et vit en vase clos.

Annexes

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Bibliographie

Notes et références

  1. Dimitri de Kochko, Historiens et Géographes, p. 185-186