« Django Unchained » : différence entre les versions
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Annoncé dans le rôle d'Ace Woody, le bras-droit de Calvin, [[Kevin Costner]] quitte finalement le projet pour cause d'emploi du temps incompatible. [[Kurt Russell]], qui a déjà travaillé avec Tarantino sur ''[[Boulevard de la mort]]'', est ensuite proposé pour le rôle<ref>[http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18607654.html Quentin Tarantino retrouve Kurt Russell] - [[AlloCiné]]</ref>, puis il se désiste à son tour, officiellement pour différend artistique. Du coup, le rôle d'Ace Woody disparaît au profit de celui de Billy Crash interprété par [[Walton Goggins]], acteur remarqué dans les séries ''[[Justified (série télévisée)|Justified]]'' et ''[[The Shield (série télévisée)|The Shield]]'', désormais plus étoffé, leurs scènes fusionnant<ref>[http://www.vulture.com/2013/01/what-was-cut-from-django-unchained.html What Was Cut From Django Unchained] site Vukture</ref>. |
Annoncé dans le rôle d'Ace Woody, le bras-droit de Calvin, [[Kevin Costner]] quitte finalement le projet pour cause d'emploi du temps incompatible. [[Kurt Russell]], qui a déjà travaillé avec Tarantino sur ''[[Boulevard de la mort]]'', est ensuite proposé pour le rôle<ref>[http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18607654.html Quentin Tarantino retrouve Kurt Russell] - [[AlloCiné]]</ref>, puis il se désiste à son tour, officiellement pour différend artistique. Du coup, le rôle d'Ace Woody disparaît au profit de celui de Billy Crash interprété par [[Walton Goggins]], acteur remarqué dans les séries ''[[Justified (série télévisée)|Justified]]'' et ''[[The Shield (série télévisée)|The Shield]]'', désormais plus étoffé, leurs scènes fusionnant<ref>[http://www.vulture.com/2013/01/what-was-cut-from-django-unchained.html What Was Cut From Django Unchained] site Vukture</ref>. |
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Alors que le tournage a déjà commencé, [[Joseph Gordon-Levitt]] abandonne son rôle en cours, pour se consacrer à sa première réalisation<ref>{{en}} [http://whatculture.com/film/joseph-gordon-levitt-exits-quentin-tarantinos-django-unchained.php?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=joseph-gordon-levitt-exits-quentin-tarantinos-django-unchained Joseph Gordon Levitt Exits Quentin Tarantino’s ''Django Unchained''] - WhatCulture.com</ref>, c'est [[Quentin Tarantino]] lui-même qui le remplace dans les scènes de son personnage. [[Sacha Baron Cohen]] qui devait participer au film, abandonne pour des |
Alors que le tournage a déjà commencé, [[Joseph Gordon-Levitt]] abandonne son rôle en cours, pour se consacrer à sa première réalisation<ref>{{en}} [http://whatculture.com/film/joseph-gordon-levitt-exits-quentin-tarantinos-django-unchained.php?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=joseph-gordon-levitt-exits-quentin-tarantinos-django-unchained Joseph Gordon Levitt Exits Quentin Tarantino’s ''Django Unchained''] - WhatCulture.com</ref>, c'est [[Quentin Tarantino]] lui-même qui le remplace dans les scènes de son personnage. [[Sacha Baron Cohen]] qui devait participer au film, abandonne pour des raisons de promotions. [[Anthony LaPaglia]] a également quitté le film pendant le tournage, en raison d'un conflit d'emploi du temps et pour diverses raisons<ref>[http://www.cinemovies.fr/news_fiche.php?IDtitreactu=19753 ''Django Unchained'' : un vrai bordel selon Anthony LaPaglia] - Cinemovies.fr</ref>. |
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=== Tournage === |
=== Tournage === |
Version du 22 août 2014 à 11:05
Titre québécois | Django déchaîné |
---|---|
Réalisation | Quentin Tarantino |
Scénario | Quentin Tarantino |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | The Weinstein Company |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Western spaghetti |
Durée | 165 minutes |
Sortie | 2012 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Django Unchained ou Django déchaîné au Québec et au Nouveau-Brunswick est un western spaghetti[1] américain écrit et réalisé par Quentin Tarantino, sorti en 2012.
Nommé pour cinq Oscars dont celui du meilleur film en 2013, le film est récompensé à deux reprises ; meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz et meilleur scénario original pour Quentin Tarantino.
Synopsis
Quelque part dans le Texas en 1858, plusieurs esclaves africains sont « poussés » par les frères Ace et Dicky Speck. L'un d'eux se nomme Django, séparé de sa femme Broomhilda. Les Speck croisent la route du Dr. King Schultz, un chasseur de primes originaire de Düsseldorf se déplaçant sur son ancienne roulotte de dentiste ambulant. Schultz demande à acheter l'un des esclaves, mais tout en questionnant Django sur les frères Brittle, anciens surveillants de la plantation d'où vient l'esclave, pour qui Schultz est porteur d'un mandat, il irrite Ace qui le menace de son fusil. Schultz tue rapidement Ace et laisse les autres esclaves tuer Dicky. Comme Django peut identifier les frères Brittle, Schultz lui promet sa liberté en échange de son aide pour les traquer. Après l'exécution des Brittle, Django reste avec Schultz tout l'hiver et devient son apprenti. Schultz explique que, étant la première personne à qui il n'a jamais rendu sa liberté, il se sent vaguement responsable de Django et est entraîné à l'aider dans sa quête pour sauver Broomhilda.
Django, devenu un tireur d'exception, recueille sa première prime, en gardant l'avis de recherche comme un porte-bonheur. A Greenville dans le Mississippi, où Django a été vendu, Schultz et lui découvrent l'identité du nouveau maître de Broomhilda : Calvin Candie, le propriétaire charmant mais ignoble de la plantation Candyland, où les esclaves sont obligés de se battre jusqu'à la mort dans des combats de « lutte mandingue ». Rencontrant Candie dans un hôtel de Greenville, Schultz et Django, conscients qu'il refusera de leur vendre Broomhilda qui ne vaut qu'une faible somme, imaginent une ruse : acheter l'un de ses lutteurs pour 12000 dollars, puis Broomhilda en complément. Sa cupidité éveillée, Candie les invite à Candyland. Arrivés à la plantation, Django et Schultz assistent à l'exécution de D'Artagnan, un lutteur affaibli et borgne qui est dévoré par les chiens de la propriété pour avoir fui. Les deux hommes renoncent à lui venir en aide, de peur d'être démasqués.
Pendant le dîner dans le pavillon des maîtres, Stephen, le fidèle majordome de Candie, s'étonne de l'intérêt que Django semble porter à Broomhilda qui fait le service, par la faute de la sœur de Candie qui remarque : « Il semble que cette pouliche ait un petit faible pour Django ». Déduisant que Django et Broomhilda se connaissent et que l'achat du lutteur n'est qu'un stratagème, Stephen alerte Candie, qui accepte néanmoins de vendre Broomhilda pour 12000 dollars. Alors que Django, Schultz et Broomhilda sont sur le point de partir, Candie exige une poignée de main officielle de Schultz pour finaliser la transaction. Schultz lui tire une balle en plein cœur avec un Derringer dissimulé dans sa poche. Il s'excuse auprès de Django et se laisse descendre par Pooch, le garde du corps de Candie, car il s'en veut de ne pas avoir empêché la mort de l'esclave D'Artagnan. Dans la fusillade qui suit, Django tue un grand nombre de gardiens mais est contraint de se rendre, Broomhilda ayant été prise en otage.
Le lendemain matin, Stephen annonce à Django qu'il sera vendu à la mine LeQuint-Dickey pour travailler jusqu'à sa mort. En route pour la mine, Django prouve à ses gardiens qu'il est un chasseur de primes en leur montrant son premier avis de recherche qu'il avait conservé. Il prétend alors qu'il est sur la piste des bandits concernés par cet avis, que ceux-ci sont à Candyland, qu'ils ont tué Schultz, Candie et ses gardiens, qu'il a été vendu à la mine comme coupable idéal et convainc les surveillants de retourner à Candyland pour tuer les bandits et empocher la prime. Lorsque les gardiens le libèrent et lui donnent un pistolet, Django les abat, s'empare de leur dynamite et rejoint Candyland à cheval.
De retour à la plantation, Django massacre impitoyablement les maîtres-chiens pour venger D'Artagnan. Puis il découvre le corps de Schultz, prend les papiers de liberté de Broomhilda, dit au revoir à son mentor tombé et libère sa femme. Lorsque les occupants du pavillon des maîtres reviennent de l'enterrement de Candie, Django abat les gardiens survivants ainsi que la sœur de Candie, libère les serviteurs de la maison et tire dans les jambes de Stephen. Alors que le majordome, fou de rage, prédit sa capture, Django enflamme la dynamite qu'il a plantée tout au long de la maison. Broomhilda et lui assistent de loin à l'explosion, tuant Stephen, avant de fuir à cheval.
Dans une scène post-crédits, un groupe d'esclaves qui ont paru plus tôt se demandent qui Django était vraiment.
Fiche technique
- Titre original : Django Unchained
- Titre québécois : Django déchaîné
- Réalisation et scénario : Quentin Tarantino
- Direction artistique : Page Buckner, David F. Klassen et Mara LePere-Schloop
- Décors : J. Michael Riva
- Costumes : Sharen Davis
- Photographie : Robert Richardson
- Montage : Fred Raskin
- Musique : Brother Dege
- Production : Reginald Hudlin, Pilar Savone et Stacey Sher
- Sociétés de production : The Weinstein Company et Columbia Pictures
- Sociétés de distribution : The Weinstein Company (États-Unis), Sony Pictures Releasing France (France)
- Budget : 100 000 000 de dollars[2]
- Pays d'origine : États-Unis
- Langue originale : anglais (quelques dialogues en allemand et français[3])
- Format : couleur – 35 mm - 2,35 : 1
- Genre : western spaghetti
- Durée : 165 minutes
- Dates de sortie[4] :
- Canada, États-Unis :
- Belgique, France, Suisse romande :
- Date de sortie en DVD et Blu-Ray :
- France :
- Classification :
- États-Unis : « R » « for strong graphic violence throughout, a vicious fight, language and some nudity »
- France : interdit aux moins de 12 ans
- Suisse : 16+
- Belgique 16+
- Québec : 13+
Distribution
- Jamie Foxx (VF : Jean-Baptiste Anoumon ; VQ : Pierre Auger) : Django[5]
- Christoph Waltz (VF : Pierre-François Pistorio ; VQ : Denis Gravereaux) : Dr King Schultz[5],[6]
- Leonardo DiCaprio (VF : Damien Ferrette ; VQ : Patrice Dubois) : Calvin J. Candie[5],[7]
- Samuel L. Jackson (VF : Pascal Nzonzi ; VQ : Éric Gaudry) : Stephen[8]
- Kerry Washington (VF : Annie Milon ; VQ : Éveline Gélinas) : Broomhilda von Shaft
- Laura Cayouette (VF : Claire Guyot ; VQ : Nathalie Coupal) : Lara Lee Candie-Fitzwilly, la sœur veuve de Calvin
- Dennis Christopher (VF : Jean-Pierre Leroux ; VQ : Alain Fournier) : Leo Moguy
- Walton Goggins (VF : Loïc Houdré) : Billy Crash
- James Remar (VF : Sylvain Lemarié / Patrick Béthune) : Ace Speck / Butch Pooch
- Don Johnson (VF : Patrick Poivey ; VQ : Jacques Lavallée) : Spencer Gordon « Big Daddy » Bennet
- Tom Wopat (VF : Patrick Raynal) : Marshall Gill Tatum
- Jonah Hill (VF : Charles Pestel ; VQ : Olivier Visentin) : l'un des hommes avec les sacs sur la tête (caméo)
- Quentin Tarantino (VF : Jean-Philippe Puymartin ; VQ : Daniel Picard) : Frankie, un employé de The LeQuint Dickey Mining Co.
- John Jarratt (VF : Dominique Collignon-Maurin) : Floyd, un employé de The LeQuint Dickey Mining Co.
- Michael Parks (VF : Jean-Bernard Guillard ; VQ : Guy Nadon) : Roy, un employé de The LeQuint Dickey Mining Co.
- David Steen (VF : Jean-François Savion) : M. Stonesipher
- Dana Michelle Gourrier (VF : Martine Maximin) : Cora
- Nichole Galicia (VF : Marie Noëlle Eusebe) : Sheba
- Ato Essandoh (VF : Asto Montcho) : D'Artagnan
- Sammi Rotibi (VF : Greg Germain) : Rodney
- Clay Donahue Fontenot : Roscoe
- Escalante Lundy (VF : Greg Germain) : Big Fred
- Miriam F. Glover (VF : Mbembo) : Betina
- Franco Nero (VF : Enrico Di Giovanni) : Amerigo Vassepi
- Russ Tamblyn : le fils d'un Gunfighter
- Amber Tamblyn : la fille du fils d'un Gunfighter
- James Russo (VF : Patrick Messe) : Dicky Speck
- Don Stroud (VF : Michel Barbey) : shérif Bill Sharp
- Bruce Dern (VF : Georges Claisse) : Curtis Carrucan
- M.C. Gainey (VF : Sylvain Lemarié) : Big John Brittle
- Cooper Huckabee (VF : Emmanuel Karsen) : Roger « Lil Raj » Brittle
- Doc Duhame : Ellis Brittle
- Michael Bowen : Tracker Stew
- Zoe Bell : Tracker Peg
- James Parks : Tracker Catfish
- Tom Savini : Tracker Cheney
- Robert Carradine (VF : Denis Boileau) : Tracker Lex
- Ted Neeley : Tracker Ted
- Jake Garber : Tracker Jake
- Lee Horsley (VF : Bernard Métraux) : shérif Gus
- Rex Linn (VF : Franck Capillery) : Tennesse Harry
- Brian Brown (VF : Jean-Marc Charrier) : Hoot Peters
- Evan Parke : Chester
- Omar J. Dorsey : Chicken Charlie
- Sources et légendes : Version française (VF) sur AlloDoublage[9], RS Doublage[10] et Voxofilm[11] ; Version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca[12]
Bande originale
Sortie | |
---|---|
Durée | 53:28 |
Genre | Rap, musiques de film, … |
Producteur |
Quentin Tarantino (exécutif) Stacey Sher Reginald Hudlin Pilar Savone Holly Adams[13] |
Label |
Republic Records Mercury |
Critique |
Bandes originales par Quentin Tarantino
Le film allie chansons inédites et compositions déjà existantes. Parmi les titres inédits, 100 Black Coffins de Rick Ross coécrit et produit par Jamie Foxx, Who Did That to You? de John Legend, Ancora qui d'Ennio Morricone et Elisa et Freedom d'Anthony Hamilton et Elayna Boynton[15]. Se retrouvent dans le film un mashup de Untouchable de Tupac et The Payback de James Brown[16].
Frank Ocean a enregistré une chanson pour le film, mais elle a été rejetée par Tarantino : « Ocean a écrit une ballade fantastique, c'était très romantique et poétique, mais il n'y avait juste pas de scène pour ça[17]. » L'artiste a cependant dévoilé le morceau, Wiseman, sur internet[18].
La bande originale est commercialisée le . Dans le livret de l'album, Quentin Tarantino explique qu'il n'a pas voulu utiliser des versions numériques des musiques mais bel et bien les versions de ses propres vinyles avec tous les « pops and cracks »[13].
Liste des titres[19],[20] | |||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
No | Titre | Auteur | Interprète(s) | Durée | |||||
1. | Winged (Dialogue) | Quentin Tarantino | James Russo | 0:08 | |||||
2. | Django (tiré de Django) | Luis Bacalov | Rocky Roberts[13] & Luis Bacalov | 2:53 | |||||
3. | The Braying Mule (tiré de Sierra torride) | Ennio Morricone | Ennio Morricone | 2:33 | |||||
4. | In That Case Django, after You… (Dialogue) | Quentin Tarantino | Christoph Waltz & Jamie Foxx | 0:38 | |||||
5. | Lo chiamavano King (His Name Was King) (tiré de On m'appelle King) | Luis Bacalov | Edda Orso | 1:58 | |||||
6. | Freedom | Anthony Hamilton, Elayna Boynton, Kelvin Wooten | Anthony Hamilton & Elayna Boynton | 3:56 | |||||
7. | Five-Thousand-Dollar Nigga's and Gummy Mouth Bitches (Dialogue) | Quentin Tarantino | Don Johnson & Christoph Waltz | 0:56 | |||||
8. | La corsa (2e version) (tiré de Django) | Luis Bacalov | Luis Bacalov | 2:18 | |||||
9. | Sneaky Schultz and the Demise of Sharp (Dialogue) | Quentin Tarantino | Don Stroud | 0:34 | |||||
10. | I Got a Name | Norman Gimbel | Jim Croce | 3:15 | |||||
11. | I giorni dell'ira (Days of Anger) (tiré de Le Dernier Jour de la colère) | Riz Ortolani | Riz Ortolani | 3:05 | |||||
12. | 100 Black Coffins | Jamie Foxx | Rick Ross | 3:43 | |||||
13. | Nicaragua (tiré de Under Fire) | Jerry Goldsmith | Jerry Goldsmith featuring Pat Metheny | 3:29 | |||||
14. | Hildi's Hot Box (Dialogue) | Quentin Tarantino | Samuel L. Jackson & Leonardo DiCaprio | 1:16 | |||||
15. | Sister Sara's Theme (tiré de Sierra torride) | Ennio Morricone | Ennio Morricone | 1:26 | |||||
16. | Ancora qui | Ennio Morricone, Elisa Toffoli | Ennio Morricone & Elisa | 5:08 | |||||
17. | Unchained (The Payback/Untouchable) | James Brown & Tupac | 2:51 | ||||||
18. | Who Did That to You? | Paul Epworth | John Legend | 3:48 | |||||
19. | Too Old to Die Young | Brother Dege | Brother Dege | 3:43 | |||||
20. | Stephen the Poker Player (Dialogue) | Quentin Tarantino | Samuel L. Jackson | 1:02 | |||||
21. | Un monumento (tiré de Les Cruels) | Ennio Morricone | Ennio Morricone | 2:30 | |||||
22. | Six Shots Two Guns (Dialogue) | Quentin Tarantino | Samuel L. Jackson & Jamie Foxx | 0:05 | |||||
23. | Trinity (Titoli) (tiré de On l'appelle Trinita) | Franco Micalizzi | Annibale E I Cantori Moderni | 3:03 | |||||
24. | Ode to Django (The D Is Silent) (titre bonus iTunes[21]) | RZA | RZA | 4:58 |
Autres morceaux du film, non présents sur le CD[22],[23]
- Rito finale - Ennio Morricone (tiré de La Cité de la violence)
- Norme con ironie - Ennio Morricone (tiré de La Cité de la violence)
- Town of Silence (2e version) - Luis Bacalov (tiré de Django)
- Gavotte - Grace Collins
- Town of Silence - Luis Bacalov (tiré de Django)
- Requiem and Prologue - Masamichi Amano et l'Orchestre philharmonique de Varsovie (version du Dies Irae de Verdi tirée de Battle Royale)
- The Big Risk - Ennio Morricone (tiré de L'assaut des jeunes loups)
- Minacciosamente lontano - Ennio Morricone (tiré de Les Cruels)
- Blue Dark Waltz - Luis Bacalov (tiré de Django)
- La Lettre à Élise - Ashley Toman
- Freedom - Richie Havens
- Ain't No Grave (Black Opium Remix) - Johnny Cash
- Dopo la congiura - Ennio Morricone (tiré de Les Cruels)
Production
Développement
Quentin Tarantino avait exprimé depuis plusieurs années son intention de réaliser un western spaghetti, notamment en hommage à ceux de Sergio Leone. Le titre The Angel, The Bad And The Wise avait d'ailleurs été évoqué, en référence à Le Bon, la Brute et le Truand[25], mais il s'avère que ce titre se rapporte à un projet de Franco Nero en qualité de réalisateur, un western avec Keith Carradine et Treat Williams, où le réalisateur ferait un caméo ainsi que Robert Rodriguez. Finalement, son propre film s'inscrirait davantage dans la lignée du Django (1966) de Sergio Corbucci[26], qui donna suite à toute une série de films plus ou moins raccrochés à l'original.
Quentin Tarantino déclare avoir bouclé le script le [27], avant d'annoncer une sortie pour Noël 2012 aux États-Unis[28].
Influences
Le film s'inspire de films western spaghetti comme Django de Sergio Corbucci (1966), mais également du western américain black comme Buck et son complice (1972) de Sidney Poitier ou Boss Nigger (1975) de Jack Arnold[29]. Quentin Tarantino compare également son film à Nevada Smith de Henry Hathaway (1966)[30].
Par ailleurs, Tarantino explique que d'un point de vue thématique son film renvoie vers Der Ring des Nibelungen, cycle de quatre opéras composés par Richard Wagner, et l'un de ses personnages, Siegfried : dans le film, Christoph Waltz reconnaît en Jamie Foxx un véritable Siegfried et lui dit : « Quand un Allemand croise un Siegfried dans la vraie vie, ce n'est pas rien ! »[29]. De plus, le personnage incarné par Kerry Washington se nomme Broomhilda en référence à Brunehilde. Et Siegfried délivre Brunehilde des flammes, dans le film de Quentin Tarantino comme dans l'opéra de Richard Wagner[31].
Casting
L'acteur-chanteur Jamie Foxx incarne le personnage de Django[32]. Avant ce choix, Will Smith était pressenti pour le rôle[33]. Mais il refuse l'offre de Tarantino, trouvant que le personnage de Django n'est en fait pas le personnage principal. L'acteur souhaite modifier le scénario, notamment que le personnage tue lui-même le méchant, ce qu'a refusé le réalisateur[34]. Les noms d'Idris Elba et de Chris Tucker ont également été cités[35].
Christoph Waltz joue pour la seconde fois dans un film de Quentin Tarantino, après avoir incarné le colonel SS Hans Landa dans Inglourious Basterds.
Si le réalisateur a d'abord proposé à Leonardo DiCaprio d'endosser le rôle du personnage finalement incarné par Christoph Waltz, l'acteur a décliné (comme pour Inglourious Basterds[36]) mais pour préférer incarner un autre personnage, celui du méchant Calvin Candie[7],[36].
Samuel L. Jackson, habitué aux films de Tarantino, joue le vieux régisseur esclave du méchant propriétaire[7]. L'acteur Franco Nero, qui avait tenu le rôle principal du film Django (1966) de Sergio Corbucci, fait une apparition dans le rôle d'un propriétaire d'esclave italien, dont le lutteur mandingue vient de se faire tuer par celui de Calvin Candie[37].
En novembre 2011, Quentin Tarantino avait déclaré qu'il voulait Jonah Hill. Mais ce dernier avait décliné, en raison d'un emploi du temps incompatible avec le tournage de Django Unchained. Cependant, en juin 2012, une solution est finalement trouvée et Jonah Hill rejoint la distribution en cours de tournage[38].
Annoncé dans le rôle d'Ace Woody, le bras-droit de Calvin, Kevin Costner quitte finalement le projet pour cause d'emploi du temps incompatible. Kurt Russell, qui a déjà travaillé avec Tarantino sur Boulevard de la mort, est ensuite proposé pour le rôle[39], puis il se désiste à son tour, officiellement pour différend artistique. Du coup, le rôle d'Ace Woody disparaît au profit de celui de Billy Crash interprété par Walton Goggins, acteur remarqué dans les séries Justified et The Shield, désormais plus étoffé, leurs scènes fusionnant[40].
Alors que le tournage a déjà commencé, Joseph Gordon-Levitt abandonne son rôle en cours, pour se consacrer à sa première réalisation[41], c'est Quentin Tarantino lui-même qui le remplace dans les scènes de son personnage. Sacha Baron Cohen qui devait participer au film, abandonne pour des raisons de promotions. Anthony LaPaglia a également quitté le film pendant le tournage, en raison d'un conflit d'emploi du temps et pour diverses raisons[42].
Tournage
Le tournage a débuté en février 2012[43]. Certains lieux utilisés étaient des décors créés à l'origine pour la série télévisée Deadwood[44].
- Wyoming : Jackson Hole
- Louisiane : Edgard (Evergreen Plantation), La Nouvelle-Orléans
- Californie : Santa Clarita, Alabama Hills, Independence, Lone Pine (en)
Sortie et promotion
En juin 2012, The Weinstein Company annonce officiellement la sortie nord-américaine pour le . Le , une bande-annonce de 2 minutes 30 est rendue publique. Puis, le , une deuxième bande-annonce est diffusée. La sortie française, quant à elle, a lieu le .
Durant la promotion du film, courant décembre 2012, Quentin Tarantino révèle qu'une autre version du film dure trois heures. Il déclare : « Je ne suis pas exactement sûr de ce que je pourrais faire avec ce montage. Je vais attendre de voir comment le film marche à travers le monde. Ensuite, je prendrai une décision »[46].
Par ailleurs, le producteur Harvey Weinstein avait suggéré de séparer le film en deux parties, comme pour Kill Bill. Mais Tarantino explique que cela ne « marcherait pas avec ce film. C'était une décision consciente dès le tout début de ne pas utiliser mes astuces narratives habituelles… Ici, vous devez suivre le voyage de Django jusqu'à la fin »[46].
Références culturelles
Quentin Tarantino a avoué avoir glissé un lien caché avec Pulp Fiction : dans Django Unchained, un membre du gang du Smitty Bacall s'appelle Crazy Craig Koons, qui serait un ancêtre du Capitaine Koons interprété par Christopher Walken dans Pulp Fiction. Par ailleurs, le réalisateur a déclaré que Broomhilda von Shaft avait un lien identique avec le policier Shaft qui apparaît notamment dans Les Nuits rouges de Harlem[47].
Lorsque Amerigo Vassepi (Franco Nero) s'approche du bar et demande à Django d’épeler son nom, celui-ci lui explique comment cela se prononce en précisant que le « D » est muet. La réponse de Vassepi est : « Je sais ». C'est une référence au fait que Nero a incarné le personnage éponyme dans le film Django de Sergio Corbucci en 1966.
Dans la scène de lynchage par des membres du Ku Klux Klan, plusieurs figurants sont des cascadeurs âgés de 70 ans, qui ont même travaillé avec John Wayne et ont entraîné Jamie Foxx et Christoph Waltz au tir rapide.[réf. souhaitée]
Accueil
Box-office
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
États-Unis | 162 805 434 $[2],[48] | 21 | |
France | 4 303 569 entrées[48] | 19 | |
Monde | 425 368 238 $[2] | -
|
- Budget du film : 100 000 000 $
En France, le film dépasse les quatre millions d'entrées courant mars 2013 et devient ainsi le meilleur score de Quentin Tarantino, devant Inglourious Basterds (2 866 173 entrées) et Pulp Fiction (2 864 640 entrées)[49].
Réception critique
Sur le site Rotten Tomatoes, le film a reçu des critiques majoritairement favorables, avec une note moyenne de 8⁄10 et 88 % d'avis favorables basées sur 222 critiques. Le site les résume en indiquant que le film est « Intrépide, sanglant, et stylistiquement audacieux, Django Unchained est un autre chef-d’œuvre incendiaire de Quentin Tarantino »[50]. Sur le site AlloCiné, Django Unchained a reçu la note rare de 4,5⁄5 basée sur 33 critiques de presse, et une moyenne de 4,6⁄5 par les spectateurs[51] ce qui lui permet d'être classé comme étant le meilleur film de tous les temps selon les internautes d'allociné[52].
Sur l'IMDb, il détient une moyenne de 8,5⁄10 obtenue sur une moyenne de 418 191 utilisateurs[53]. Sur FilmAffinity, il possède une moyenne de 8,0⁄10 pour plus de 45 000 votes[54]. Sur Metacritic, il obtient le « metascore » de 81⁄100 basé sur 42 critiques et 8,5⁄10 par 702 utilisateurs[55].
Inexactitudes historiques
Bien que Tarantino ait dit à propos du combat « mandingue » (une lutte à mort organisée entre deux esclaves), « j'ai toujours été conscient que ces choses existaient », il n'existe aucune preuve historique définitive que les propriétaires d'esclaves aient jamais mis en scène des combats de gladiateurs comme celui représenté dans le film[56],[57]. Au contraire, l'historienne Edna Greene Medford note qu'il n'y a que des rumeurs non documentées sur de tels combats[58]. David Blight, le directeur du Centre de Yale pour l'étude de l'esclavage, précise que ce n'était pas une question de réserve morale ou éthique qui empêchait les propriétaires d'esclaves de laisser ceux-ci combattre les uns contre les autres, mais plutôt l'intérêt économique : les propriétaires d'esclaves ne voulant pas risquer leurs investissements financiers importants dans des combats de gladiateurs[56].
En outre, l'utilisation de bâtons de dynamite constitue un anachronisme (Alfred Nobel l'invente en 1866 et en dépose le brevet en 1867, alors que l'action est censée se dérouler en 1858). Autre gaffe, un shérif porte une carabine Winchester à répétition modèle 1873 à une époque où l'on chargeait encore les fusils par la bouche.
Pour David Denby dans le New Yorker, il est impossible de prendre Django Unchained pour un portrait tant soit peu exact de l'esclavage. Le film s'inscrit dans une série de films où Tarantino, jouant avec les conventions de genre, mêlant violence et sadisme, n'hésite pas à inventer certaines cruautés du Sud esclavagiste pour les besoins de son propos[59].
Distinctions
Source : Internet Movie Database[60].
Récompenses
- Festival du film de Hollywood 2012 : meilleur scénario pour Quentin Tarantino
- National Board of Review Awards 2012 : meilleur acteur dans un second rôle pour Leonardo DiCaprio
- San Diego Film Critics Society Awards 2012 : meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz
- New York Film Critics Online Awards 2012 : meilleure musique de film pour Quentin Tarantino
- St. Louis Film Critics Association Awards 2012 : meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz et meilleure musique de film pour Quentin Tarantino
- Indiana Film Journalists Association Awards 2012 : meilleur réalisateur pour Quentin Tarantino
- Austin Film Critics Association Awards 2012 : meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz
- Black Film Critics Circle 2012 : meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz et meilleur scénario pour Quentin Tarantino
- Australian Academy of Cinema and Television Arts Awards 2013 : meilleur scénario pour Quentin Tarantino
- BAFTA Awards 2013 :
- meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz
- meilleur scénario original pour Quentin Tarantino
- Critics' Choice Movie Awards 2013 : meilleur scénario original pour Quentin Tarantino
- Golden Globes 2013 :
- meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz
- meilleur scénario pour Quentin Tarantino
- MTV Movie Awards 2013 : Best WTF Moment : « Candieland Gets Smoked » pour Jamie Foxx et Samuel L. Jackson
- NAACP Image Awards 2013 : meilleure actrice dans un second rôle pour Kerry Washington et meilleur acteur dans un second rôle pour Samuel L. Jackson
- David di Donatello 2013 : meilleur film étranger
- Oscars 2013 :
- meilleur acteur dans un second rôle pour Christoph Waltz[61]
- meilleur scénario original pour Quentin Tarantino[62]
- Prix du doublage 2013-2014 (catégorie « film en prises de vue réelles ») attribué à Pierre Arson, pour l’adaptation française[63].
Nominations
- BAFTA Awards 2013 :
- meilleur réalisateur pour Quentin Tarantino
- meilleur montage pour Fred Raskin
- meilleur son pour Mark Ulano, Michael Minkler, Tony Lamberti et Wylie Stateman
- Golden Globes 2013 :
- Oscars 2013 :
- meilleur film
- meilleure photographie pour Robert Richardson
- meilleur montage de son pour Wylie Stateman
- Césars 2014 : meilleur film étranger
Controverse
Le site internet américain Spill.com a fortement critiqué l'utilisation abusive du mot « nigger »[64] (traduction : nègre). Cependant, certains critiques[65] trouvent l'emploi du mot justifié par le contexte historique du film[66]. Le réalisateur afro-américain Spike Lee, qui s'est déjà plusieurs fois opposé à Tarantino pour la même raison, déclare qu'il est contre le film et qu'il ne le verra pas : « Je pense que ça serait manquer de respect à mes ancêtres. C’est tout ce que j’ai à dire. Je ne peux pas leur manquer de respect ». Il a ajouté sur Twitter que « l'esclavage américain n'était pas un western spaghetti de Sergio Leone. C'était un holocauste. Mes ancêtres étaient des esclaves. Volés de l'Afrique. Je leur ferai honneur »[67]. Louis Farrakhan déclare à ce sujet : « Le film a changé la direction des armes »[68].
Bande dessinée
Django Unchained | |
One shot | |
---|---|
Scénario | Quentin Tarantino Reginald Hudlin (adaptation) |
Dessin | R. M. Guéra Jason Latour |
Couleurs | Giulia Brusco |
Pays | États-Unis |
Langue originale | anglais |
Éditeur | Vertigo |
Collection | Vertigo Deluxe |
ISBN | 9782365773867 |
Nombre de pages | 272[69] |
Nombre d’albums | 7 volumes[70] |
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Reginald Hudlin a adapté en comics la première version du scénario de Quentin Tarantino. Il a été édité aux États-Unis par Vertigo, en 7 petits volumes[71],[72],[73],[74],[75],[76],[77].
En France, une exposition a eu lieu à la galerie Chappe à Paris, présentant les illustrations de R. M. Guéra pour ce projet[78].
La bande dessinée sort en France en un seul volume de 272 pages, le chez Urban Comics[69],[79].
Dans la bande dessinée, on retrouve certaines scènes absentes du film. On en apprend ici un peu plus sur l'histoire de Broomhilda ainsi que l’hostilité entre Stephen et Django[70].
Dans la foulée de cet album, Quentin Tarantino envisage d'écrire un cross-over entre Django et Zorro, avec la collaboration de Matt Wagner et édité chez Dynamite Entertainment[80].
Version longue
Lors d'un entretien durant le Festival de Cannes 2014, Quentin Tarantino déclare réfléchir à une version longue d'environ 4 heures : « Je ne refais pas le montage de mes films, car je le considère comme définitif. Ce n'est pas une chose sur laquelle je reviens ». Mais il précise cependant que le film possède « 90 minutes qui n'ont pas été montrées. [...] Ce que j'aimerais, c'est en sortir une version de 4 heures. Pas en film, mais sous la forme d'une mini-série de 4 épisodes d'une heure chacun. [...] Si l'on présente un film de 4 heures à quelqu'un, il n'aura pas envie de le voir. Alors que 4 épisodes d'une mini-série, ça le branche tout de suite plus ». Il envisage ainsi 4 chapitres d'une heure chacun[82].
Clin d’œil
Dans le western comique de Seth MacFarlane, Albert à l'ouest (2014), Jamie Foxx fait un caméo dans une courte scène post-générique. Il arrive dans une sorte de foire dans laquelle un forain blanc propose une attraction où l'on peut tirer au pistolet sur des dessins d'esclaves noirs. Django arrive et tue l'homme blanc[83].
Notes et références
- « Django Unchained, 6 clés pour décrypter le western spaghetti », L'Express.fr, 15 janvier 2013.
- (en) « Django Unchained », sur Box Office Mojo (consulté le )
- Dans la version française, les dialogues francophones sont remplacés par de l'espagnol
- (en) Dates de sortie mondiales - Site officiel de Sony Pictures
- Jamie Foxx, Leonardo DiCaprio, Christoph Waltz dans le nouveau Tarantino - Ecrannoir.fr
- Christoph Waltz dans le prochain Tarantino sur AlloCiné
- DiCaprio pourrait être dirigé par Quentin Tarantino - Branchez-vous.com
- Samuel L. Jackson dans le prochain Tarantino sur AlloCiné
- « Fiche du doublage français du film » sur AlloDoublage, consulté le 20 janvier 2013
- « Deuxième fiche du doublage français du film » sur RS Doublage, consulté le 20 janvier 2013
- « Troisième fiche du doublage français du film » sur Voxofilm, consulté le 28 février 2013
- « Fiche du doublage québécois du film » sur Doublage.qc.ca, consulté le 4 janvier 2013
- Crédits du livret de l'album de la bande originale.
- (en) Review - Allmusic
- (en) Django Unchained Soundtrack Details - FilmMusicReporter
- Tupac refait surface sur la BO du prochain Tarantino - FranceTV.fr
- (en) Quentin Tarantino reveals why Frank Ocean was scrapped from Django Unchained soundtrack - New Musical Express
- (en) Frank Ocean Unveils New Song “Wiseman” Left Out of Django Unchained - PopDust.com
- (en) Django Unchained soundtrack collects spaghetti western classics and surprises - Examiner.com
- (en) Tracklist: Django Unchained Soundtrack - Complex.com
- (en) Playlist - iTunes Store
- (en) Django Unchained complete soundtrack list with movie references
- (en) Soundtrack - Internet Movie Database
- Le prochain Tarantino sera Django Unchained - CommeAuCinéma.com
- « Un western spaghetti pour Quentin Tarantino? », sur lyricis.fr,
- « Des news du prochain Tarantino ! », sur AlloCiné,
- (en) « Quentin Tarantino's Next Film IS 'Django Unchained!' »
- « Une date de sortie pour le prochain Tarantino ! »,
- « Method Man Tarantino », Première, nos 430/431, , p. 123
- Leclerc Fabrice, « Django Unchained : Tarantino version Inglourious Cow-boys », Studio Ciné Live, no 40, , p. 93-96
- « Before Wagner’s Cycle, but That Legend Has a Familiar Ring », The New York Times, 21 février 2013.
- Une date de sortie pour le prochain Tarantino ! (mise à jour) - AlloCiné
- Will Smith chez Tarantino ? - AlloCiné
- Will Smith révèle finalement pourquoi il a refusé Django Unchained - VodKaster.com, 26 mars 2013
- Django Unchained : DiCaprio engagé, Jamie Foxx en négociations - Première.fr
- "Django Unchained": A Discussion of Violence, Race, and Cinema", 17 janvier 2013 - Examiner.com
- Django Unchained : Jonah Hill revient ! - AlloCiné
- Quentin Tarantino retrouve Kurt Russell - AlloCiné
- What Was Cut From Django Unchained site Vukture
- (en) Joseph Gordon Levitt Exits Quentin Tarantino’s Django Unchained - WhatCulture.com
- Django Unchained : un vrai bordel selon Anthony LaPaglia - Cinemovies.fr
- Bienvenue sur le tournage de Django Unchained sur Brain Damaged, consulté le 2 février 2012
- Django Unchained : photos des lieux de tournage sur Actuciné.com
- Lieux de tournage sur IMDb
- "Django Unchained" : il y aura une version de trois heures ! - AlloCiné, 17 décembre 2012
- Une connexion entre Django Unchained et Pulp Fiction révélée ! - AlloCiné
- « Django Unchained », sur JP's Box Office (consulté le )
- « Django Unchained, plus gros succès de Tarantino en France ! », sur AlloCiné (consulté le )
- Critiques sur Rotten Tomatoes
- [1] sur AlloCiné
- [2] sur AlloCiné
- (en)Moyenne de l'IMDb
- [3]
- Critiques
- Rene Rodriguez, « Tarantino talks ‘Django Unchained’ », The Miami Herald,
- « Was There Really "Mandingo Fighting," Like in Django Unchained? », Slate,
- Max Evry, "'Django' Unexplained: Was Mandingo Fighting a Real Thing?", Next Movie, December 25, 2012.
- “DJANGO UNCHAINED”: PUT-ON, REVENGE, AND THE AESTHETICS OF TRASH, DAVID DENBY, newyorker.com, 22 janvier 2013
- (en) Awards sur IMDB
- (en)Meilleur acteur dans un second rôle
- (en)Meilleur scénario original
- « Django Unchained décroche le prix du Meilleur doublage », Allociné, 31 janvier 2014.
- (en) Django Unchained audio reviews - Spill.com
- (en) Django Unchained: Film Review - The Hollywood Reporter
- (en) Django Unchained and Race: Here's What Drudge Doesn't Tell You - The Village Voice
- Quentin Tarantino "déteste" John Ford… et Spike Lee "flingue" Tarantino ! - AlloCiné
- Django, sur finalcall.com
- « Django Unchained », sur Urban Comics.com (consulté le ).
- « Django Unchained (comics) : La Review », sur Republ33k.fr (consulté le ).
- (en) « DJANGO UNCHAINED #1 », sur Vertigo (consulté le ).
- (en) « DJANGO UNCHAINED #2 », sur Vertigo (consulté le ).
- (en) « DJANGO UNCHAINED #3 », sur Vertigo (consulté le ).
- (en) « DJANGO UNCHAINED #4 », sur Vertigo (consulté le ).
- (en) « DJANGO UNCHAINED #5 », sur Vertigo (consulté le ).
- (en) « DJANGO UNCHAINED #6 », sur Vertigo (consulté le ).
- (en) « DJANGO UNCHAINED #7 », sur Vertigo (consulté le ).
- Django Unchained : l'expo parisienne ! - AlloCiné
- « Django Unchained », sur bedetheque.com (consulté le )
- « Quentin Tarantino écrit un crossover Django/Zorro », sur AlloCiné, (consulté le ).
- « Quentin Tarantino écrit un cross-over Django Unchained - Zorro ! », sur AlloCiné, (consulté le ).
- « Django Unchained : Tarantino songe à une version de 4 heures », sur AlloCiné.fr, (consulté le )
- (en) A Million Ways to Die in the West (2014): Extra Scene with Special Cameo After the Credits - MediaStringer.com
Annexes
Articles connexes
- Esclavage aux États-Unis
- Brunehilde dans la Chanson des Nibelungen
- Siegfried, drame lyrique de Richard Wagner (troisième partie des quatre opéras composant Der Ring des Nibelungen)
- Les Quatre Mousquetaires d'Alexandre Dumas
Liens externes
- (en) Site officiel
- « Django Unchained » (présentation de l'œuvre), sur l'Internet Movie Database
- « Django Unchained » (fiche film), sur Allociné
- Film américain sorti en 2012
- Western américain
- Esclavage au cinéma
- Film se déroulant dans les années 1850
- Film réalisé par Quentin Tarantino
- Film de Columbia Pictures
- Film de The Weinstein Company
- Film tourné en Louisiane
- Film tourné à La Nouvelle-Orléans
- Film tourné en Californie
- Film tourné au Wyoming
- Film nommé aux Golden Globes
- Film avec un Oscar du meilleur scénario original
- Film avec un British Academy Film Award du meilleur scénario original
- Film avec un British Academy Film Award du meilleur acteur dans un second rôle
- Film avec un Oscar du meilleur acteur dans un second rôle