« Gratiféria » : différence entre les versions
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* Manifeste d'[[Ariel Boso|Ariel Rodríguez Bosio]] ([http://www.dragonecologista.com.ar/gratiferia.html version en Espagnol], [http://www.liensechangesactions.org/?p=385 traduction française]) |
* Manifeste d'[[Ariel Boso|Ariel Rodríguez Bosio]] ([http://www.dragonecologista.com.ar/gratiferia.html version en Espagnol], [http://www.liensechangesactions.org/?p=385 traduction française]) |
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* [http://www.argentine-info.com/2012/06/les-marches-gratuits-ou-gratiferias-une-nouvelle-tendance/ Explication du système.] |
* [http://www.argentine-info.com/2012/06/les-marches-gratuits-ou-gratiferias-une-nouvelle-tendance/ Explication du système.] |
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* [http://nonmarchand.org/pmwiki/Agenda/ |
* [http://nonmarchand.org/pmwiki/Agenda/Recherche07ZonesDeGratuitéGratifériasEtMarchésGratuits Agenda interactif des gratiférias en France et ailleurs]. |
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{{Portail|économie|altermondialisme}} |
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Version du 7 mai 2014 à 09:46
Une gratiféria, ou marché gratuit, est un marché non commercial où on peut donner des objets, ou proposer des services gratuits, mais aussi en prendre ou en recevoir d'autres librement. Contrairement à celui du troc, le système de la gratiféria ne repose pas sur l'échange matériel : personne ne doit rien à personne ; le don se fait sans contrepartie et chacun peut s'approprier tout ce qu'il souhaite sans même donner, dans la seule limite du raisonnable. La gratiféria présente ainsi une alternative à la logique du capitalisme.
Origine
Le système de la gratiféria fut lancé en 2010 par l'Argentin Ariel Rodríguez Bosio, dans une situation d'encombrement par des objets devenus inutiles.
