« Alphasyllabaire odia » : différence entre les versions
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L'oriya est un alphasyllabaire où toutes les consonnes possèdent une voyelle inhérente. Les signes diacritiques (qui peuvent être indiqués dessus, en-dessous ou après leur consonne) sont utilisés pour changer la prononciation de la voyelle inhérente. Quand les voyelles sont situées au début d'une syllabe, elles sont écrites comme des lettres indépendantes. De même quand certaines consonnes sont composées, des symboles de conjonction sont employés pour réunir les éléments essentiels de chaque consonne. |
L'oriya est un alphasyllabaire où toutes les consonnes possèdent une voyelle inhérente. Les signes diacritiques (qui peuvent être indiqués dessus, en-dessous ou après leur consonne) sont utilisés pour changer la prononciation de la voyelle inhérente. Quand les voyelles sont situées au début d'une syllabe, elles sont écrites comme des lettres indépendantes. De même quand certaines consonnes sont composées, des symboles de conjonction sont employés pour réunir les éléments essentiels de chaque consonne. |
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{{citation|"Oṛiyā is encumbered with the drawback of an excessively awkward and cumbrous written character. ... At first glance, an Oṛiyā book seems to be all curves, and it takes a second look to notice that there is something inside each."}} (G.A. Grierson, Linguistic Survey of India, 1903) |
{{citation|"Oṛiyā is encumbered with the drawback of an excessively awkward and cumbrous written character. ... At first glance, an Oṛiyā book seems to be all curves, and it takes a second look to notice that there is something inside each."}} (G.A. Grierson, ''Linguistic Survey of India'', 1903) |
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[[Catégorie:Alphasyllabaire]] |
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Version du 13 avril 2014 à 08:56
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L’alphabet oriya est l'alphabet utilisé généralement pour écrire l'odia. Il s'appelle aussi Utkala Lipi (en oriya : ଉତ୍କଳ ଲିପି) ou Utkalakshara (en oriya : ଉତ୍କଳାକ୍ଷର). il peut également servir à transcrire d'autres langues de l'Inde, comme le sanskrit, notamment dans l'Oriya. Il date au moins du XIe siècle. Il dérive de l'écriture Kalinga. C'est plus précisément un alphasyllabaire ou Abougida. Comme de nombreuses écritures de l'Inde, il provient de la brahmi.
L'apparence courbée de l'écriture oriya est le résultat du fait qu'elle est pratiquée sur des feuilles de palmier qui ont tendance à se déchirer quand de nombreuses lignes de traits droits sont dessinées.
L'oriya est un alphasyllabaire où toutes les consonnes possèdent une voyelle inhérente. Les signes diacritiques (qui peuvent être indiqués dessus, en-dessous ou après leur consonne) sont utilisés pour changer la prononciation de la voyelle inhérente. Quand les voyelles sont situées au début d'une syllabe, elles sont écrites comme des lettres indépendantes. De même quand certaines consonnes sont composées, des symboles de conjonction sont employés pour réunir les éléments essentiels de chaque consonne.
« "Oṛiyā is encumbered with the drawback of an excessively awkward and cumbrous written character. ... At first glance, an Oṛiyā book seems to be all curves, and it takes a second look to notice that there is something inside each." » (G.A. Grierson, Linguistic Survey of India, 1903)