« Postface » : différence entre les versions
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Une postface est un texte ajouté à la fin d'un livre ou d'un écrit pour en guise de supplément, généralement pour émettre un commentaire, une explication ou un avertissement. La postface peut être rédigée par l'auteur d'un document ou par une autre personne. La postface est séparée du corps principal de l'ouvrage et est placée dans les pages annexes, c'est-à-dire à la fin du document. La postface présente des informations qui ne sont pas essentielles à l'intégralité de l'ouvrage, mais qui sont toutefois jugées pertinentes. On oppose la préface, située dans les liminaires, à la postface. |
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#REDIRECTION [[Postface (émission télévisée)]] |
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En français, le mot postface est formé du préfixe post- et de l'élément formant -face, tiré du mot préface. Le Trésor de la langue française, suivant Littré, relève une première attestation en 1736 sous la plume de Voltaire. On retrouve toutefois déjà ce mot en 1730, dans le titre de L'Éloge de rien, dédié à personne, avec une postface, œuvre burlesque de Louis Coquelet. |
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Version du 16 février 2014 à 03:39
Une postface est un texte ajouté à la fin d'un livre ou d'un écrit pour en guise de supplément, généralement pour émettre un commentaire, une explication ou un avertissement. La postface peut être rédigée par l'auteur d'un document ou par une autre personne. La postface est séparée du corps principal de l'ouvrage et est placée dans les pages annexes, c'est-à-dire à la fin du document. La postface présente des informations qui ne sont pas essentielles à l'intégralité de l'ouvrage, mais qui sont toutefois jugées pertinentes. On oppose la préface, située dans les liminaires, à la postface.
En français, le mot postface est formé du préfixe post- et de l'élément formant -face, tiré du mot préface. Le Trésor de la langue française, suivant Littré, relève une première attestation en 1736 sous la plume de Voltaire. On retrouve toutefois déjà ce mot en 1730, dans le titre de L'Éloge de rien, dédié à personne, avec une postface, œuvre burlesque de Louis Coquelet.