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{{Infobox Presse écrite
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| nom = Le Parisien Week-end<br><small>ou</small><br><small>Aujourd'hui en France Week-end</small>
| image = Le Parisien Magazine - logo.png
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}}


Le Parisien Magazine, qui prend le nom de Aujourd'hui-en-France Magazine en province, est un supplément hebdomadaire vendu le vendredi avec le journal [[Le Parisien]] (ou avec le journal Aujourd'hui-en-France en province) depuis septembre 2013. Diffusé chaque semaine à environ 450 000 exemplaires, ce magazine est édité par la société LPM, filiale du Parisien.
'''''Le Parisien Week-end''''', qui prend le nom de '''''Aujourd'hui-en-France Week-end''''' en province, est un supplément hebdomadaire vendu le vendredi avec le journal ''[[Le Parisien]]'' (ou avec le journal ''Aujourd'hui-en-France'' en province) depuis {{date-|septembre 2012}}. Diffusé chaque semaine à environ {{Nombre|420000|exemplaires}}<ref>[http://www.ojd.com/adherent/3193 OJD]</ref>, ce magazine est édité par la société LPM, filiale du ''Parisien''.


Avant son changement de nom en 2017, il était intitulé '''''Le Parisien Magazine''''', ou '''''Aujourd'hui-en-France Magazine''''' en province<ref>{{Lien web|titre=Le Parisien Magazine devient Le Parisien Week-End|url=https://www.leparisien.fr/week-end/le-parisien-magazine-devient-le-parisien-week-end-12-10-2017-7320867.php|site=leparisien.fr|date=2017-10-12|consulté le=2020-06-04}}</ref>.
== Le positionnement ==


== Positionnement et contenu ==
Ce magazine se veut "surprenant, respectant nos valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité", selon Thierry Borsa, directeur des rédactions <ref>http://www.lexpress.fr/actualite/media-people/media/le-parisien-magazine-dans-les-kiosques_1163709.html</ref> interrogé à la création du titre.


Le magazine a été créé par Jean Hornain, il demande alors à Frédéric Allary<ref>{{Lien web|nom1=cvmhsolutions :|titre=Les clés de la presse|url=http://www.lesclesdelapresse.fr/a-la-une,109.html|site=www.lesclesdelapresse.fr|consulté le=2020-06-04}}</ref>, ancien directeur général de l'hebdomadaire culturel ''[[Les Inrockuptibles]], de créer le titre de celui-ci.''
Epais d'une centaine de pages, le magazine se découpe en trois parties. La première, baptisée Week-end, traite de culture, de voyage, de gastronomie. La seconde, dite Grand angle, s'intéresse au sujet de fonds : économie, international, société... La troisième et dernière, la section Plaisirs, est plutôt tournée consommation : mode, beauté, high-tech...


Ce magazine se veut {{Citation|surprenant, respectant nos valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité}}, selon Thierry Borsa, alors directeur des rédactions<ref>{{lien web |titre=L'actualité des médias et personnalités médiatiques |url=http://www.lexpress.fr/actualite/media-people/media/le-parisien-magazine-dans-les-kiosques_1163709.html |site=[[L'Express]] |consulté le=14-08-2020}}.</ref>, interrogé à la création du titre.
== Quelques coups réussis ==


Épais d'une centaine de pages, le magazine se découpait initialement en trois parties. La première, baptisée « Week-end », traitait de culture, de voyage, de gastronomie. La seconde, dite « Grand angle », s'intéressait aux sujets de fond : économie, international, société, etc. La troisième et dernière, la section « Plaisirs », était plutôt tournée consommation : mode, beauté, high-tech, etc.
Le 19 octobre 2012, [[Arnaud Montebourg]] fait la couverture du magazine habillé en [[marinière]] pour un article de fond sur le made in France <ref>http://www.leparisien.fr/economie/pourquoi-arnaud-montebourg-pose-en-mariniere-dans-le-parisien-magazine-18-10-2012-2244551.php</ref>. Le dossier sera récompensé du prix du coup éditorial 2013, décerné par le syndicat des éditeurs de la presse magazine.


== Quelques dates importantes ==
En octobre 2013, à l'occasion d'un article sur le courage en politique, Ségolène Royal est photographiée vêtue d'une sorte de toge et portant un drapeau français, à la manière de la "Liberté guidant le peuple", le tableau de Delacroix<ref>http://www.lepoint.fr/politique/segolene-royal-liberte-guidant-le-peuple-24-10-2013-1747325_20.php</ref>. Si elle ne fait pas la couverture, cette image sera largement diffusée par les médias et même parodiée.


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En janvier 2014, peu après sa rupture avec François Hollande, [[Valérie Trierweiler]] se confie au Parisien magazine, à l'occasion d'un voyage en Inde <ref>http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/personnalites/valerie-trierweiler-je-n-aimais-pas-les-ors-de-l-elysee-29-01-2014-3539823.php</ref>, expliquant notamment "Je n'aimais pas les ors de l'Elysée".


En {{date-|octobre 2013}}, à l'occasion d'un article sur le courage en politique, [[Ségolène Royal]] est photographiée vêtue d'une sorte de toge et portant un drapeau français, à la manière de ''[[La Liberté guidant le peuple]]'', le tableau de Delacroix<ref>{{lien web |auteur1=Le Point.fr |titre=Ségolène Royal, Liberté guidant le peuple ! |url=http://www.lepoint.fr/politique/segolene-royal-liberte-guidant-le-peuple-24-10-2013-1747325_20.php |site=lepoint.fr |date=24-10-2013 |consulté le=14-08-2020}}.</ref>. Si elle ne fait pas la couverture, cette image sera largement diffusée par les médias et même parodiée.
== Références ==


En {{date-|janvier 2014}}, peu après sa rupture avec François Hollande, [[Valérie Trierweiler]] se confie au ''Parisien Magazine'', à l'occasion d'un voyage en Inde<ref>{{Article |auteur1=Le Parisien |titre=Valérie Trierweiler : «Je n'aimais pas les ors de l'Elysée» |périodique=[[Le Parisien]] |date=14-08-2020 |lire en ligne=http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/personnalites/valerie-trierweiler-je-n-aimais-pas-les-ors-de-l-elysee-29-01-2014-3539823.php |consulté le=14-08-2020}}.</ref>{{,}}<ref>[http://leparisienmagazine.fr/valerie-trierweiler-72-heures-dans-la-vie-dune-femme-11837/ Le Parisien Magazine, le site.]</ref>, expliquant notamment : {{Citation|je n'aimais pas les ors de l'Élysée}}.


== Notes et références ==


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== Liens externes ==
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* {{Autorité}}

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[[Catégorie:Presse hebdomadaire en France]]
[[Catégorie:Titre de presse créé en 2012]]

Dernière version du 1 janvier 2024 à 19:35

Le Parisien Week-end
ou
Aujourd'hui en France Week-end
Image illustrative de l’article Le Parisien Week-end
Ancien logo du Parisien Magazine.

Pays France
Zone de diffusion France
Langue français
Périodicité hebdomadaire (tous les vendredis)
Format magazine
Genre généraliste - culture, société, international, conso
Prix au numéro Le Parisien Magazine (quotidien compris) : 2,40 
Aujourd'hui en France Magazine (quotidien compris) : 2,00 
Diffusion 420 126 ex. (2013)
Date de fondation 2012
Éditeur LPM
Ville d’édition 10 boulevard de Grenelle, Paris 15e

Propriétaire LVMH
Directeur de la rédaction Nicolas Charbonneau
Rédacteur en chef Yolaine de Chanaud - Christine Monin
ISSN 2263-2506
Site web leparisien.fr/week-end

Le Parisien Week-end, qui prend le nom de Aujourd'hui-en-France Week-end en province, est un supplément hebdomadaire vendu le vendredi avec le journal Le Parisien (ou avec le journal Aujourd'hui-en-France en province) depuis . Diffusé chaque semaine à environ 420 000 exemplaires[1], ce magazine est édité par la société LPM, filiale du Parisien.

Avant son changement de nom en 2017, il était intitulé Le Parisien Magazine, ou Aujourd'hui-en-France Magazine en province[2].

Positionnement et contenu[modifier | modifier le code]

Le magazine a été créé par Jean Hornain, il demande alors à Frédéric Allary[3], ancien directeur général de l'hebdomadaire culturel Les Inrockuptibles, de créer le titre de celui-ci.

Ce magazine se veut « surprenant, respectant nos valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité », selon Thierry Borsa, alors directeur des rédactions[4], interrogé à la création du titre.

Épais d'une centaine de pages, le magazine se découpait initialement en trois parties. La première, baptisée « Week-end », traitait de culture, de voyage, de gastronomie. La seconde, dite « Grand angle », s'intéressait aux sujets de fond : économie, international, société, etc. La troisième et dernière, la section « Plaisirs », était plutôt tournée consommation : mode, beauté, high-tech, etc.

Quelques dates importantes[modifier | modifier le code]

Le , Arnaud Montebourg fait la couverture du magazine habillé en marinière pour un article de fond sur le « made in France »[5]. Le dossier sera récompensé du Prix du coup éditorial 2013, décerné par le syndicat des éditeurs de la presse magazine[6].

En , à l'occasion d'un article sur le courage en politique, Ségolène Royal est photographiée vêtue d'une sorte de toge et portant un drapeau français, à la manière de La Liberté guidant le peuple, le tableau de Delacroix[7]. Si elle ne fait pas la couverture, cette image sera largement diffusée par les médias et même parodiée.

En , peu après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler se confie au Parisien Magazine, à l'occasion d'un voyage en Inde[8],[9], expliquant notamment : « je n'aimais pas les ors de l'Élysée ».

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. OJD
  2. « Le Parisien Magazine devient Le Parisien Week-End », sur leparisien.fr, (consulté le )
  3. cvmhsolutions :, « Les clés de la presse », sur www.lesclesdelapresse.fr (consulté le )
  4. « L'actualité des médias et personnalités médiatiques », sur L'Express (consulté le ).
  5. Le Parisien, « Pourquoi Arnaud Montebourg pose en marinière dans Le Parisien Magazine », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. « Palmarès 2013 des Magazines de l'année | SEPM - Le Syndicat des Éditeurs de la Presse Magazine », sur www.lapressemagazine.fr (consulté le )
  7. Le Point.fr, « Ségolène Royal, Liberté guidant le peuple ! », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  8. Le Parisien, « Valérie Trierweiler : «Je n'aimais pas les ors de l'Elysée» », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. Le Parisien Magazine, le site.

Liens externes[modifier | modifier le code]