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Biographie
Naissance	27 février 1939; Himeji
Décès	4 octobre 2020 (à 81 ans); Neuilly-sur-Seine
Sépulture	Cimetière du Père-Lachaise
Nom dans la langue maternelle	高田賢三
Nationalités	japonaise; française
Domicile	Paris
Formation	Himejinishi High School (d); Université municipale de langues étrangères de Kōbe; Bunka Fashion College (en)
Activités	Designer, homme d'affaires, modéliste, costumier
A travaillé pour	Kenzo
Distinctions	Médaille au ruban pourpre (1999); Chevalier de la Légion d'honneur‎ (2015); Chevalier des Arts et des Lettres

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Kenzō Takada (高田賢三, Takada Kenzō^?), né le 27 février 1939 à Himeji (Japon) et mort le 4 octobre 2020 à Neuilly-sur-Seine (France), est un styliste japonais^[1] ayant fait carrière en France. Il est le fondateur de la marque de vêtements, d'accessoires et de parfums Kenzo.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]

Cinquième d'une famille de sept enfants, Kenzō Takada naît le 27 février 1939 à Himeji au Japon^[2]. Son enfance se déroule dans le village de Hyago, près du château médiéval de Himeji^[3]. Son père y possède une machiya, maison de thé. Kenzō Takada se passionne très tôt pour la mode, notamment à travers les magazines de ses sœurs. Il est étudiant à l'université de Kobe, mais il s'y ennuie considérablement. Contre l'avis familial, il quitte alors l'université pour rejoindre une école de mode, le Bunka Fashion College (en) de Tokyo, qui vient d'ouvrir ses portes à la gent masculine^[4].

Débuts parisiens[modifier | modifier le code]

Une fois son diplôme acquis, Kenzō Takada arrive, après un mois de bateau, à Marseille puis en train à Paris en janvier 1965^[5], non sans quelques difficultés d'adaptation. Il déambule à Paris, prenant des photos des Parisiennes^[5]. Il lui faut alors se faire une place dans le milieu de la mode. Il est embauché chez Pisanti, marque de prêt-à-porter féminin. Il commence à assister à des défilés, à se faire des contacts dans le milieu et parvient à vendre quelques croquis à Louis Féraud^[4] et à Jacques Delahaye. Il obtient un stage de styliste chez Renoma, marque de prêt-à-porter en vogue à l'époque.

Premiers défilés[modifier | modifier le code]

Ce n'est qu'en 1970 que Kenzō Takada présente son premier défilé dans sa première boutique baptisée JAP, dans la galerie Vivienne. En 1971, il ouvre une seconde boutique JAP, à Saint Tropez (Var). En 1972, il ouvre une nouvelle boutique JAP, dans le passage Choiseul (2^e arrondissement de Paris)^[4] puis en 1973, une boutique JAP au 2 rue du Cherche-Midi à Paris 6^e. En Juillet 1976 il s'installe dans l'immeuble de la place des Victoires à Paris 1^er, sous le nom de JUNGLE JAP.

Pour ses premières réalisations, en avril 1970, il utilise des cotonnades japonaises et des coupons achetés au marché Saint-Pierre. Les couleurs et les fleurs de ses collections semblent venir de nulle part et secouent le milieu de la mode parisienne. « J'ai délibérément cherché à créer des formes non structurées, à introduire une ampleur nouvelle, en m'appuyant sur la technique du kimono » explique-t-il^[6]. Chandails empruntés aux Slaves en 1973, boubous africains en 1976, robes de maharani en 1978, son inspiration est métissée^[3].

Diversification[modifier | modifier le code]

Dès 1977, Kenzō Takada se lance dans la commercialisation de parfums avec King Kong, qui ne connaît pas le succès espéré, malgré des passages publicitaires remarqués en salles de cinéma, et ce premier parfum est donc vite abandonné. Ce n'est qu'en 1988, que sort Kenzo de Kenzo, puis d'autres jus encore, les années suivantes, Parfum d'été, Le monde est beau, L'eau de Kenzo, Kenzo Homme, Kashaya, Jungle, etc.^[3]

En 1993, il vend la marque Kenzo au groupe LVMH de Bernard Arnault^[7]. Toutefois, il demeure propriétaire des droits sur nom complet : Kenzo Takada^[8].

De 1980 à 1990, il est le compagnon de l'architecte Xavier de Castella de Delley.

En janvier 2020, il lance la marque K3, consacrée à la maison^[9].

Mort[modifier | modifier le code]

Le 4 octobre 2020, Kenzō Takada meurt des suites de la Covid-19 à l'hôpital américain de Paris, à l'âge de 81 ans^[10]^,^[11]. Sa mort se produit pendant la semaine de la mode parisienne^[12].

Il est inhumé dans le caveau de Fabrice Emaer, fondateur de la célèbre boite de nuit « le Palace » rue Montmartre, dans la 95^e division du cimetière du Père Lachaise à Paris.

Décorations[modifier | modifier le code]

Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres
Chevalier de la Légion d'honneur (31 décembre 2015^[13])

Préfaces[modifier | modifier le code]

Préface de Souvenirs du Japon en couleurs, Éditions Chêne, 2008.
Préface de Look at me Tokyo d'Antoine Kruk, Éditions Eyrolles, 2009.

Références[modifier | modifier le code]

↑ « Il y a un an, la disparition du créateur de mode Kenzo Takada », sur Sud Ouest, 10 avril 2020 (ISSN 1760-6454, consulté le 16 juin 2022)
↑ Prisma Média, « Kenzo Takada - La biographie de Kenzo Takada avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le 4 janvier 2018)
↑ ^{a b et c} Quilleriet 1999.
↑ ^{a b et c} Boulay 1999.
↑ ^{a et b} Charlotte Brunel, « Paris, modes sans frontières », L'Express Style, n^o supplément à L'Express n^o 3305,‎ 5 novembre 2014, p. 94
↑ Sainderichin 1989.
↑ « Kenzo, l'éloge du multiculturalisme », Le Monde.fr,‎ 3 juin 2013 (lire en ligne, consulté le 4 octobre 2020)
↑ Neuer 2013.
↑ « Kenzo Takada ou la fête à la maison », Le Monde.fr,‎ 16 janvier 2020 (lire en ligne, consulté le 4 octobre 2020)
↑ « Le créateur japonais Kenzo Takada est mort des suites du Covid-19 », sur BFMTV (consulté le 4 octobre 2020)
↑ « Le créateur japonais Kenzo Takada est mort des suites du Covid-19 », Le Monde.fr,‎ 4 octobre 2020 (lire en ligne, consulté le 4 octobre 2020)
↑ « Le créateur japonais Kenzo Takada est décédé des suites du coronavirus », sur www.20minutes.fr (consulté le 9 octobre 2020)
↑ Décret du 31 décembre 2015 portant nomination

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

Ginette Sainderichin, Kenzo, Éditions du May, 1989.
Ginette Sainderichin, Kenzo, Éditions Assouline, 1999.
(en) Alicia Drake, The Beautiful Fall: Fashion, Genius and Glorious Excess in 1970s Paris, Bloomsbury Publishing, 2012 (lire en ligne), p. 121-122.
Kazuko Masui, Kenzo Takada, éditions du Chêne, 2018.

Articles de presse[modifier | modifier le code]

Françoise Chirot, « Perspectives Luxe. Le modèle Kenzo. », Le Monde,‎ 26 janvier 1993 (lire en ligne).
Anne-Laure Quilleriet, « Kenzo sans Kenzo. », Le Monde,‎ 12 septembre 1999 (lire en ligne).
Anne Boulay, « Kenzo Takada, 60 ans, quitte le monde de la mode et ses fleurs pour se concocter une existence sans soucis. Au Japonais absent. », Libération,‎ 9 décembre 1999 (lire en ligne).
Mylène Sultan, « Dans les murs de... Kenzo. », L'Express,‎ 5 février 2007 (lire en ligne).
Laurence Neuer, « Marque patronymique : comment garder le contrôle ? », Les Échos,‎ 27 novembre 2013 (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Ressources relatives aux beaux-arts :
Ressources relatives à la musique :
- Discogs
- Rate Your Music
Ressources relatives à l'audiovisuel :
- AllMovie
- IMDb
Ressource relative au spectacle :
- Les Archives du spectacle
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- Japon
- CiNii
- Belgique
- Israël
- Tchéquie
- Lettonie
- WorldCat
Kenzo.com
Kenzoparfums.com
«Kenzō Takada (1939-2020), une histoire française» Émission de radio France culture : Toute une vie, Anaïs Kien, 6/11/2021, 58 min, [1]

[1] « Il y a un an, la disparition du créateur de mode Kenzo Takada », sur Sud Ouest, 10 avril 2020 (ISSN 1760-6454, consulté le 16 juin 2022)

[2] Prisma Média, « Kenzo Takada - La biographie de Kenzo Takada avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le 4 janvier 2018)

[Quilleriet1999-3] {a b et c} Quilleriet 1999.

[Boulay1999-4] {a b et c} Boulay 1999.

[lex-5] {a et b} Charlotte Brunel, « Paris, modes sans frontières », L'Express Style, n^o supplément à L'Express n^o 3305,‎ 5 novembre 2014, p. 94

[Sainderichin1989-6] Sainderichin 1989.

[7] « Kenzo, l'éloge du multiculturalisme », Le Monde.fr,‎ 3 juin 2013 (lire en ligne, consulté le 4 octobre 2020)

[Neuer2013-8] Neuer 2013.

[9] « Kenzo Takada ou la fête à la maison », Le Monde.fr,‎ 16 janvier 2020 (lire en ligne, consulté le 4 octobre 2020)

[10] « Le créateur japonais Kenzo Takada est mort des suites du Covid-19 », sur BFMTV (consulté le 4 octobre 2020)

[11] « Le créateur japonais Kenzo Takada est mort des suites du Covid-19 », Le Monde.fr,‎ 4 octobre 2020 (lire en ligne, consulté le 4 octobre 2020)

[12] « Le créateur japonais Kenzo Takada est décédé des suites du coronavirus », sur www.20minutes.fr (consulté le 9 octobre 2020)

[13] Décret du 31 décembre 2015 portant nomination

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 == Biographie ==
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 === Débuts parisiens ===
-Une fois son diplôme acquis, Kenzō Takada arrive, après un mois de bateau, à Marseille puis en train à [[Paris]] en janvier [[Années 1960 en mode|années 1965]]<ref name=lex>{{Article |auteur1=Charlotte Brunel |titre=Paris, modes sans frontières |périodique= L'Express Style|numéro=supplément à ''L'Express'' {{numéro}}3305 |date=5 11 2014 |pages=94 |consulté le=3 1 2022 }}</ref>, non sans quelques difficultés d'adaptation. Il déambule à Paris, prenant des photos des [[Parisienne (stéréotype)|parisiennes]]<ref name=lex/>. Il lui faut alors se faire une place dans le milieu de la mode. Il est embauché chez Pisanti, marque de [[prêt-à-porter]] féminin. Il commence à assister à des [[Défilé de mode|défilés]], à se faire des contacts dans le milieu et parvient à vendre quelques croquis à [[Louis Féraud]]{{sfn|Boulay|1999}} et à [[Jacques Delahaye]]. Il obtient un stage de styliste chez [[Maurice Renoma|Renoma]], marque de prêt-à-porter en vogue à l'époque.
+Une fois son diplôme acquis, Kenzō Takada arrive, après un mois de bateau, à Marseille puis en train à [[Paris]] en janvier [[Années 1960 en mode|1965]]<ref name=lex>{{Article |auteur1=Charlotte Brunel |titre=Paris, modes sans frontières |périodique= L'Express Style|numéro=supplément à ''L'Express'' {{numéro}}3305 |date=5 11 2014 |pages=94 |consulté le=3 1 2022 }}</ref>, non sans quelques difficultés d'adaptation. Il déambule à Paris, prenant des photos des [[Parisienne (stéréotype)|Parisiennes]]<ref name=lex/>. Il lui faut alors se faire une place dans le milieu de la mode. Il est embauché chez Pisanti, marque de [[prêt-à-porter]] féminin. Il commence à assister à des [[Défilé de mode|défilés]], à se faire des contacts dans le milieu et parvient à vendre quelques croquis à [[Louis Féraud]]{{sfn|Boulay|1999}} et à [[Jacques Delahaye]]. Il obtient un stage de styliste chez [[Maurice Renoma|Renoma]], marque de prêt-à-porter en vogue à l'époque.
 === Premiers défilés ===
-Ce n'est qu'en [[Années 1970 en mode|1970]] que Kenzō Takada présente son premier défilé dans sa première boutique baptisée JAP, dans la [[galerie Vivienne]]. En 1971, il ouvre une seconde boutique JAP, à Saint Tropez (Var). En 1972, il ouvre une nouvelle boutique JAP, dans le [[passage Choiseul]] ([[2e arrondissement de Paris|{{2e|arrondissement}} de Paris]]){{sfn|Boulay|1999}} puis en 1973, une boutique JAP au 2 [[rue du Cherche-Midi]] à Paris {{6e}}. Et ce n'est qu'en automne 1977 qu'il s'installe dans l'immeuble de la [[place des Victoires]] à Paris 1{{er}}, sous le nom de JUNGLE JAP.
+Ce n'est qu'en [[Années 1970 en mode|1970]] que Kenzō Takada présente son premier défilé dans sa première boutique baptisée JAP, dans la [[galerie Vivienne]]. En 1971, il ouvre une seconde boutique JAP, à Saint Tropez (Var). En 1972, il ouvre une nouvelle boutique JAP, dans le [[passage Choiseul]] ([[2e arrondissement de Paris|{{2e|arrondissement}} de Paris]]){{sfn|Boulay|1999}} puis en 1973, une boutique JAP au 2 [[rue du Cherche-Midi]] à Paris {{6e}}. En Juillet 1976 il s'installe dans l'immeuble de la [[place des Victoires]] à Paris 1{{er}}, sous le nom de JUNGLE JAP.
 [[Image:Kenzo Building, 1 rue du Pont-Neuf, Paris.jpg|vignette|redresse|Boutique Kenzo, 1 [[Rue du Pont-Neuf (Paris)|rue du Pont-Neuf]], [[Paris]].]]
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 === Diversification ===
-Dès 1977, Kenzō Takada se lance dans la commercialisation de parfums avec ''King Kong'' qui ne connaît pas le succès espéré, malgré des passages publicitaires remarqués en salles de cinéma, et ce premier parfum est vite abandonné. Ce n'est qu'en 1988, que sort ''Kenzo de Kenzo'', puis d'autres jus encore, les années suivantes, ''Parfum d'été'', ''Le monde est beau'', ''L'eau de Kenzo'', ''Kenzo Homme'', ''Kashaya'', ''Jungle''{{etc}}{{sfn|Quilleriet|1999}}
+Dès 1977, Kenzō Takada se lance dans la commercialisation de parfums avec ''King Kong'', qui ne connaît pas le succès espéré, malgré des passages publicitaires remarqués en salles de cinéma, et ce premier [[parfum]] est donc vite abandonné. Ce n'est qu'en 1988, que sort ''Kenzo de Kenzo'', puis d'autres jus encore, les années suivantes, ''Parfum d'été'', ''Le monde est beau'', ''L'eau de Kenzo'', ''Kenzo Homme'', ''Kashaya'', ''Jungle''{{etc}}{{sfn|Quilleriet|1999}}
 En 1993, il vend la marque Kenzo au groupe [[LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton|LVMH]] de [[Bernard Arnault]]<ref>{{Article|titre=Kenzo, l'éloge du multiculturalisme |périodique=Le Monde.fr |date=2013-06-03 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/m-styles/article/2013/06/03/kenzo-l-eloge-du-multiculturalisme_3422962_4497319.html |consulté le=2020-10-04 }}</ref>. Toutefois, il demeure propriétaire des droits sur nom complet : Kenzo Takada{{sfn|Neuer|2013}}.
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 == Préfaces ==
 * Préface de ''Souvenirs du Japon en couleurs'', Éditions Chêne, 2008.
-* Préface de ''Look at me Tokyo'' d'Antoine Kruk, Éditions Eyrolles, 2009.
+* Préface de ''Look at me Tokyo'' d'Antoine Kruk, Éditions [[Eyrolles]], 2009.
 == Références ==
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 === Bibliographie ===
 ==== Ouvrages ====
-* {{ouvrage | langue=fr | auteur1=Ginette Sainderichin| titre=Kenzo | éditeur=Éditions du May | lien éditeur= | année=1989 | passage= | url texte= }}.
+* {{ouvrage | langue=fr | auteur1=Ginette Sainderichin| titre=Kenzo | éditeur=Éditions du May | année=1989 }}.
-* {{ouvrage | langue=fr | auteur1=Ginette Sainderichin| titre=Kenzo | éditeur=Éditions Assouline | lien éditeur= | année=1999 | passage= | url texte= }}.
+* {{ouvrage | langue=fr | auteur1=Ginette Sainderichin| titre=Kenzo | éditeur=Éditions Assouline | année=1999 }}.
 * {{ouvrage | langue=en | auteur1=Alicia Drake| titre=The Beautiful Fall: Fashion, Genius and Glorious Excess in 1970s Paris | éditeur=Bloomsbury Publishing| lien éditeur=Bloomsbury Publishing | année=2012 | passage=121-122 | url texte=https://books.google.fr/books?id=2Ye48ayNPqcC&pg=PA121&dq=Kenzo+Takada+1939&hl=fr&sa=X&ei=wiT2UpmsCqXG0QWQ14D4Bg&ved=0CEUQ6AEwAjgK#v=onepage&q=Kenzo%20Takada%201939&f=false }}.
 * Kazuko Masui, ''Kenzo Takada'', [[éditions du Chêne]], 2018.
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 ==== Articles de presse ====
 * {{article | langue=fr | auteur1=Françoise Chirot | titre=Perspectives Luxe. Le modèle Kenzo. | périodique=Le Monde| lien périodique=Le Monde | jour=26 | mois=janvier | année=1993 | url texte=https://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=435257&xtmc=perspectives_luxe_le_modele_kenzo&xtcr=1 }}.
-* {{article | langue=fr | auteur1=Anne-Laure Quilleriet | titre=Kenzo sans Kenzo. | périodique=Le Monde| lien périodique= | jour=12 | mois=septembre | année=1999 | url texte=https://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=41352&xtmc=kenzo_sans_kenzo&xtcr=1 }}.
+* {{article | langue=fr | auteur1=Anne-Laure Quilleriet | titre=Kenzo sans Kenzo. | périodique=Le Monde| jour=12 | mois=septembre | année=1999 | url texte=https://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=41352&xtmc=kenzo_sans_kenzo&xtcr=1 }}.
 * {{article | langue=fr | auteur1=Anne Boulay | titre=Kenzo Takada, 60 ans, quitte le monde de la mode et ses fleurs pour se concocter une existence sans soucis. Au Japonais absent. | périodique=Libération | lien périodique=Libération (journal) | jour=9 | mois=décembre | année=1999 | url texte=http://www.liberation.fr/portrait/1999/12/09/kenzo-takada-60-ans-quitte-le-monde-de-la-mode-et-ses-fleurs-pour-se-concocter-une-existence-sans-so_291379 }}.
 * {{article | langue=fr | auteur1=Mylène Sultan | titre=Dans les murs de... Kenzo. | périodique=L'Express | lien périodique=L'Express | jour=5 | mois=février | année=2007 | url texte=http://www.lexpress.fr/styles/design/dans-les-murs-de-kenzo_478490.html?xtmc=Kenzo_Takada&xtcr=1 }}.
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 === Liens externes ===
-* {{Liens}}
+{{Liens}}
 * [http://www.kenzo.com/fr Kenzo.com]
 * [http://www.kenzoparfums.com Kenzoparfums.com]
 * «Kenzō Takada (1939-2020), une histoire française» ''Émission de radio [[France culture]] : Toute une vie'', [[Anaïs Kien]], 6/11/2021, 58 min, [https://www.franceculture.fr/emissions/toute-une-vie/kenzo-takada-1939-2020-une-histoire-francaise]
-{{Portail|Mode|Japon}}
+{{Portail|Mode|Japon|LGBT}}
 {{DEFAULTSORT:Takada, Kenzo}}
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 [[Catégorie:Mort de la maladie à coronavirus 2019 en France]]
 [[Catégorie:Décès à 81 ans]]
-[[Catégorie:Décès à Neuilly-sur-Seine]]
+[[Catégorie:Décès à l'hôpital américain de Paris]]
 [[Catégorie:Décès en octobre 2020]]
 [[Catégorie:Personnalité inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 95)]]