« Hells Bells » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
GTosser (discuter | contributions)
Fonctionnalité de suggestions de liens : 3 liens ajoutés.
 
(16 versions intermédiaires par 14 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Homonyme|Hell's Bells}}
{{Voir homonymes|Hell's Bells}}
{{ébauche|chanson de rock}}
{{ébauche|chanson de rock}}
{{à sourcer|date=novembre 2012}}
{{à sourcer|date=novembre 2012}}
Ligne 5 : Ligne 5 :
| charte = single
| charte = single
| titre = Hells Bells
| titre = Hells Bells
| langue du titre = en
| artiste = [[AC/DC]]
| artiste = [[AC/DC]]
| album = [[Back in Black]]
| album = [[Back in Black]]
Ligne 21 : Ligne 22 :
| piste suivante = [[Shoot to Thrill]]
| piste suivante = [[Shoot to Thrill]]
}}
}}
''{{terme défini|Hells Bells}}'' est la première chanson de l'album ''[[Back in Black]]'' d'[[AC/DC]]. Cet album est le premier avec le chanteur [[Brian Johnson]] qui est sorti le {{Date|25|juillet|1980|en musique}}, cinq mois après le décès de [[Bon Scott]], et constitue le deuxième album le plus vendu (tout catégories confondus) après ''[[Thriller (album)|Thriller]]'' de [[Michael Jackson]]. ''Hells Bells'' (« les cloches de l'enfer ») constituera le premier single de cet album (la face B du 45T contient ''{{lang|en|What do you do for money, honey?}}'') qui se hissera en {{50e}} position dans les charts U.S<ref>Gregory McNamee, "AC/DC, "Back in Black" (Great Moments in Pop Music History)". Encyclopædia Britannica, Inc.</ref>.


'''''{{lang|en|Hells Bells}}''''' est la première chanson de l'album ''[[Back in Black]]'' d'[[AC/DC]]. Cet album est le premier avec le chanteur [[Brian Johnson]] qui est sorti le {{Date|25|juillet|1980|en musique}}, cinq mois après le décès de [[Bon Scott]], et constitue le deuxième album le plus vendu de tous les temps (toutes catégories confondues) après ''[[Thriller (album)|Thriller]]'' de [[Michael Jackson]].
Le morceau débute avec les 13 coups d'une [[cloche]] qui sonne le glas et qui, en concert, est marquée du sigle mythique du groupe. La cloche utilisée dans la chanson est une cloche en bronze coulé de 2000 livres ({{unité|746.48|kg}}) faite par la fonderie John Taylor Bellfounders à [[Loughborough]] et est une réplique de la Denison Bell. Le logo AC/DC et "Hells Bell" sont gravés sur la cloche. le groupe a d'abord tenté d'enregistrer la Denison Bell du carillon du monument aux morts dans le Leicestershire, en Angleterre pour la chanson, mais cela s'est avéré insuffisant en raison des nuisances dues au pigeons qui nichent dans le clocher.

== Historique ==
''{{lang|en|Hells Bells}}'' (« Les cloches des enfers ») constituera le premier single de cet album (la [[Face (disque)|face B]] du 45T contient ''{{lang|en|What do you do for money, honey?}}'') qui se hissera en {{50e}} position dans les charts U.S<ref>Gregory McNamee, "AC/DC, "Back in Black" (Great Moments in Pop Music History)". Encyclopædia Britannica, Inc.</ref>.

Le morceau débute avec les 13 coups d'une [[cloche]] qui sonne le glas et qui, en concert, est marquée du sigle mythique du groupe. La cloche utilisée dans la chanson est une cloche en bronze coulé de 2000 livres ({{unité|907,18|kg}}) faite par la fonderie John Taylor Bellfounders à [[Loughborough]] et est une réplique de la Denison Bell. Le logo AC/DC et "Hells Bell" sont gravés sur la cloche. le groupe a d'abord tenté d'enregistrer la Denison Bell du carillon du monument aux morts dans le Leicestershire, en [[Angleterre]] pour la chanson, mais cela s'est avéré insuffisant en raison des nuisances dues au pigeons qui nichent dans le clocher.


Cette chanson marquera l'entame de tous les concerts d'AC/DC pendant les tournées {{lang|en|Back In Black}} en 1981 puis {{lang|en|For Those About To Rock}} en 1982, et constitue à ce jour encore un des grands classiques du groupe, présent dans la quasi-totalité des set-lists des tournées ultérieures, trente ans après son enregistrement. La structure du morceau, et notamment son introduction hypnotique sur la base du jeu de guitare d'[[Angus Young]] auquel viennent se greffer successivement [[Malcolm Young]], [[Phil Rudd]] puis les lignes de basse de [[Cliff Williams]], constituent un classique du hard rock, reconnu comme tel bien au-delà des seuls fans d'AC/DC<ref>Thierry Chatain, "AC/DC", Rock'n'Folk Ed. 1982.</ref>.
Cette chanson marquera l'entame de tous les concerts d'AC/DC pendant les tournées {{lang|en|Back In Black}} en 1981 puis {{lang|en|For Those About To Rock}} en 1982, et constitue à ce jour encore un des grands classiques du groupe, présent dans la quasi-totalité des set-lists des tournées ultérieures, trente ans après son enregistrement. La structure du morceau, et notamment son introduction hypnotique sur la base du jeu de guitare d'[[Angus Young]] auquel viennent se greffer successivement [[Malcolm Young]], [[Phil Rudd]] puis les lignes de basse de [[Cliff Williams]], constituent un classique du hard rock, reconnu comme tel bien au-delà des seuls fans d'AC/DC<ref>Thierry Chatain, "AC/DC", Rock'n'Folk Ed. 1982.</ref>.


Cette chanson aurait été écrite en hommage à [[Bon Scott]], bien qu'aucune allusion directe ne soit faite au chanteur dans les textes<ref>Interview de Brian Johnson en 2008 sur absoluteradio.co.uk - consultable sur http://www.youtube.com/watch?v=VZl9CHPuzXk</ref>. Diverses interprétations, plus ou moins fantaisistes, {{qui|ont été avancées}} pour expliciter les paroles : ''Hells Bells'' serait une allusion au datura (''Datura stramonium L.''), une plante hallucinogène communément appelée « Hells Bells » (ou encore ''« Satan's trumpets »'') dans les campagnes anglaises, la chanson serait une référence à une offensive U.S. sur le nord Viêt Nam, l'opération « {{lang|en|Rolling Thunder}} », ou le titre serait tiré d'un poème d'E.A. Poe, ''Bells''<ref>http://www.songmeanings.net/songs/view/6068/</ref>. AC/DC n'a jamais confirmé ou infirmé ces hypothèses<ref>Interviews d'Angus Young, Malcolm Young et Brian Johnson racontant la genèse de l'album "Back In Black", consultable sur http://www.youtube.com/watch?v=GCT0bnmyJpg</ref>. Brian Johnson racontera dans une interview au magazine anglais [[Q (magazine)|Q]] comment il écrivit les ''paroles'' dans un état second : {{citation étrangère|lang=en|I don't believe in God or Heaven or Hell. But something happened. We had these little rooms like cells with a bed and a toilet, no TVs. I had this big sheet of paper and I had to write some words. I was going, 'oh f--k.' and I'll never forget, I just went (scribbles frantically as if his hand is possessed). I started writing and never stopped. And that was it, Hells Bells. I had a bottle of whisky and I went (generous gulps). I kept the light on all night, man.}}<ref>Interview de Brian Johnson Q Magazine, novembre 2008.{{référence insuffisante}}</ref>
Cette chanson aurait été écrite en hommage à [[Bon Scott]], bien qu'aucune allusion directe ne soit faite au chanteur dans les textes<ref>Interview de Brian Johnson en 2008 sur absoluteradio.co.uk - consultable sur https://www.youtube.com/watch?v=VZl9CHPuzXk</ref>. Diverses interprétations, plus ou moins fantaisistes, {{qui|ont été avancées}} pour expliciter les paroles : ''Hells Bells'' serait une allusion au datura (''Datura stramonium L.''), une plante hallucinogène communément appelée « Hells Bells » (ou encore ''« Satan's trumpets »'') dans les campagnes anglaises, la chanson serait une référence à une offensive U.S. sur le nord Viêt Nam, l'opération « {{lang|en|Rolling Thunder}} », ou le titre serait tiré d'un poème d'E.A. Poe, ''Bells''<ref>{{lien web |titre=AC/DC - Hells Bells Lyrics / SongMeanings |url=http://www.songmeanings.net/songs/view/6068/ |site=SongMeanings |consulté le=24-08-2020}}.</ref>. AC/DC n'a jamais confirmé ou infirmé ces hypothèses<ref>Interviews d'Angus Young, Malcolm Young et Brian Johnson racontant la genèse de l'album "Back In Black", consultable sur https://www.youtube.com/watch?v=GCT0bnmyJpg</ref>. Brian Johnson racontera dans une interview au magazine anglais [[Q (magazine)|Q]] comment il écrivit les ''paroles'' dans un état second : {{citation étrangère|lang=en|I don't believe in God or Heaven or Hell. But something happened. We had these little rooms like cells with a bed and a toilet, no TVs. I had this big sheet of paper and I had to write some words. I was going, 'oh f--k.' and I'll never forget, I just went (scribbles frantically as if his hand is possessed). I started writing and never stopped. And that was it, Hells Bells. I had a bottle of whisky and I went (generous gulps). I kept the light on all night, man.}}<ref>Interview de Brian Johnson Q Magazine, novembre 2008.{{référence insuffisante}}</ref>


Les fréquents emprunts à un vocabulaire satanique dans les textes feront de ''Hells Bells'' un titre décrié, notamment dans les diverses campagnes de fondamentalistes chrétiens contre le rock en général et le hard rock en particulier. ''{{lang|en|Hell's Bells - The Dangers of Rock and Roll}}'' est du reste le nom d'une série vidéo de Eric Holmberg supposée prévenir les jeunes américains des dangers de la culture rock<ref>Tiré de http://www.jesus-is-savior.com/Evils%20in%20America/Rock-n-Roll/hells_bells1.htm consulté le 26/10/12.</ref>.
Les fréquents emprunts à un vocabulaire satanique dans les textes feront de ''Hells Bells'' un titre décrié, notamment dans les diverses campagnes de fondamentalistes chrétiens contre le rock en général et le hard rock en particulier. ''{{lang|en|Hell's Bells - The Dangers of Rock and Roll}}'' est du reste le nom d'une série vidéo de Eric Holmberg supposée prévenir les jeunes américains des dangers de la culture rock<ref>{{Lien web|langue=en |auteur=Eric Holmberg |titre=Hell's Bells -The Dangers of Rock and Roll (Part 1 of 5), Transcript of the video (added comments in red); The Power of Music |url=http://www.jesus-is-savior.com/Evils%20in%20America/Rock-n-Roll/hells_bells1.htm |date= |site=jesus-is-savior.com |consulté le=4 avril 2017}}.</ref>.


La chanson apparaît également sur ''{{lang|en|[[Who Made Who]]}}'', la bande son du film ''{{lang|en|[[Maximum Overdrive]]}}''. À partir de 1998 à [[San Diego]] aux États-Unis, ''Hells Bells'' est jouée pour annoncer l'entrée dans un match du [[lanceur (baseball)|lanceur]] de baseball [[Trevor Hoffman]], ce qui lance une mode d'utiliser ainsi des morceaux hard rock ou heavy metal dans les stades du [[Ligue majeure de baseball|baseball majeur]]<ref name="Bell tolls">{{en}} [http://www.webcitation.org/61dKYXe6D For whom the bell tolls], Anthony Tarantino, ''[[The San Diego Union-Tribune]]'', 19 avril 2004.</ref>.
La chanson apparaît également sur ''{{lang|en|[[Who Made Who]]}}'', la bande son du film ''{{lang|en|[[Maximum Overdrive]]}}'' et sur la [[bande-annonce]] du film ''[[Overlord (film, 2018)|Overlord]]''. À partir de 1998 à [[San Diego]] aux États-Unis, ''Hells Bells'' est jouée pour annoncer l'entrée dans un match du [[lanceur (baseball)|lanceur]] de baseball [[Trevor Hoffman]], ce qui lance une mode d'utiliser ainsi des morceaux hard rock ou heavy metal dans les stades du [[Ligue majeure de baseball|baseball majeur]]<ref name="Bell tolls">{{en}} [https://www.webcitation.org/61dKYXe6D For whom the bell tolls], Anthony Tarantino, ''[[The San Diego Union-Tribune]]'', 19 avril 2004.</ref>.


== Classement par pays ==
== Classement par pays ==
Ligne 45 : Ligne 50 :
| style="text-align:center;"|25
| style="text-align:center;"|25
|-
|-
|{{États-Unis}} ([[Hot Mainstream Rock Tracks|Mainstream Rock]])<ref>{{lien web |langue=en| url = {{Allmusic|class=artist|id=p3496/charts-awards/billboard-singles|pure_url=yes}} | titre = AC/DC Billboard Singles | série = [[Allmusic]] | consulté le =March 4, 2011}}</ref>
|{{États-Unis}} ([[Hot Mainstream Rock Tracks|Mainstream Rock]])<ref>{{lien web |langue=en| url = {{Allmusic|class=artist|id=p3496/charts-awards/billboard-singles|pure_url=yes}} | titre = AC/DC Billboard Singles | série = [[AllMusic]] | consulté le =March 4, 2011}}</ref>
| style="text-align:center;"|50
| style="text-align:center;"|50
|-
|-
Ligne 59 : Ligne 64 :
! style="text-align:center;"|Meilleure <br/> position
! style="text-align:center;"|Meilleure <br/> position
|-
|-
|{{France}} ([[Syndicat national de l'édition phonographique|SNEP]])<ref>http://top.france.free.fr/html/annuel/1981.htm</ref>||align="center"|49
|{{France}} ([[Syndicat national de l'édition phonographique|SNEP]])<ref>{{lien web |titre=TOP - 1981 |url=http://top.france.free.fr/html/annuel/1981.htm |site=top.france.free.fr |consulté le=24-10-2021}}.</ref>||align="center"|49
|-
|-
|}
|}
Ligne 74 : Ligne 79 :
{{Portail|rock|metal|chanson}}
{{Portail|rock|metal|chanson}}


[[Catégorie:Chanson d'AC/DC]]
[[Catégorie:Chanson interprétée par AC/DC]]
[[Catégorie:Chanson de 1980]]
[[Catégorie:Chanson de 1980]]
[[Catégorie:Single musical sorti en 1980]]
[[Catégorie:Single musical sorti en 1980]]
[[Catégorie:Single publié par Atco Records]]

Dernière version du 1 juin 2023 à 14:52

Hells Bells

Single de AC/DC
extrait de l'album Back in Black
Face B What Do You Do For Money Honey
Sortie (album)
(single)
Enregistré Printemps 1980
Compass Point Studios (Bahamas)
Durée 5:10
Genre Hard rock, heavy metal
Auteur Brian Johnson
Compositeur Angus Young, Malcolm Young
Producteur Mutt Lange
Label Atlantic (album)
Atco (single)

Singles de AC/DC

Pistes de Back in Black

Hells Bells est la première chanson de l'album Back in Black d'AC/DC. Cet album est le premier avec le chanteur Brian Johnson qui est sorti le , cinq mois après le décès de Bon Scott, et constitue le deuxième album le plus vendu de tous les temps (toutes catégories confondues) après Thriller de Michael Jackson.

Historique[modifier | modifier le code]

Hells Bells (« Les cloches des enfers ») constituera le premier single de cet album (la face B du 45T contient What do you do for money, honey?) qui se hissera en 50e position dans les charts U.S[1].

Le morceau débute avec les 13 coups d'une cloche qui sonne le glas et qui, en concert, est marquée du sigle mythique du groupe. La cloche utilisée dans la chanson est une cloche en bronze coulé de 2000 livres (907,18 kg) faite par la fonderie John Taylor Bellfounders à Loughborough et est une réplique de la Denison Bell. Le logo AC/DC et "Hells Bell" sont gravés sur la cloche. le groupe a d'abord tenté d'enregistrer la Denison Bell du carillon du monument aux morts dans le Leicestershire, en Angleterre pour la chanson, mais cela s'est avéré insuffisant en raison des nuisances dues au pigeons qui nichent dans le clocher.

Cette chanson marquera l'entame de tous les concerts d'AC/DC pendant les tournées Back In Black en 1981 puis For Those About To Rock en 1982, et constitue à ce jour encore un des grands classiques du groupe, présent dans la quasi-totalité des set-lists des tournées ultérieures, trente ans après son enregistrement. La structure du morceau, et notamment son introduction hypnotique sur la base du jeu de guitare d'Angus Young auquel viennent se greffer successivement Malcolm Young, Phil Rudd puis les lignes de basse de Cliff Williams, constituent un classique du hard rock, reconnu comme tel bien au-delà des seuls fans d'AC/DC[2].

Cette chanson aurait été écrite en hommage à Bon Scott, bien qu'aucune allusion directe ne soit faite au chanteur dans les textes[3]. Diverses interprétations, plus ou moins fantaisistes, ont été avancées[Qui ?] pour expliciter les paroles : Hells Bells serait une allusion au datura (Datura stramonium L.), une plante hallucinogène communément appelée « Hells Bells » (ou encore « Satan's trumpets ») dans les campagnes anglaises, la chanson serait une référence à une offensive U.S. sur le nord Viêt Nam, l'opération « Rolling Thunder », ou le titre serait tiré d'un poème d'E.A. Poe, Bells[4]. AC/DC n'a jamais confirmé ou infirmé ces hypothèses[5]. Brian Johnson racontera dans une interview au magazine anglais Q comment il écrivit les paroles dans un état second : « I don't believe in God or Heaven or Hell. But something happened. We had these little rooms like cells with a bed and a toilet, no TVs. I had this big sheet of paper and I had to write some words. I was going, 'oh f--k.' and I'll never forget, I just went (scribbles frantically as if his hand is possessed). I started writing and never stopped. And that was it, Hells Bells. I had a bottle of whisky and I went (generous gulps). I kept the light on all night, man. »[6]

Les fréquents emprunts à un vocabulaire satanique dans les textes feront de Hells Bells un titre décrié, notamment dans les diverses campagnes de fondamentalistes chrétiens contre le rock en général et le hard rock en particulier. Hell's Bells - The Dangers of Rock and Roll est du reste le nom d'une série vidéo de Eric Holmberg supposée prévenir les jeunes américains des dangers de la culture rock[7].

La chanson apparaît également sur Who Made Who, la bande son du film Maximum Overdrive et sur la bande-annonce du film Overlord. À partir de 1998 à San Diego aux États-Unis, Hells Bells est jouée pour annoncer l'entrée dans un match du lanceur de baseball Trevor Hoffman, ce qui lance une mode d'utiliser ainsi des morceaux hard rock ou heavy metal dans les stades du baseball majeur[8].

Classement par pays[modifier | modifier le code]

Classements hebdomadaires[modifier | modifier le code]

Classement (1981) Meilleure
position
Drapeau de l'Allemagne Allemagne (Media Control Charts) [9] 25
Drapeau des États-Unis États-Unis (Mainstream Rock)[10] 50
Drapeau de la France France (IFOP)[11] 8

Classement annuel[modifier | modifier le code]

Classement (1981) Meilleure
position
Drapeau de la France France (SNEP)[12] 49

Lien externe[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gregory McNamee, "AC/DC, "Back in Black" (Great Moments in Pop Music History)". Encyclopædia Britannica, Inc.
  2. Thierry Chatain, "AC/DC", Rock'n'Folk Ed. 1982.
  3. Interview de Brian Johnson en 2008 sur absoluteradio.co.uk - consultable sur https://www.youtube.com/watch?v=VZl9CHPuzXk
  4. « AC/DC - Hells Bells Lyrics / SongMeanings », sur SongMeanings (consulté le ).
  5. Interviews d'Angus Young, Malcolm Young et Brian Johnson racontant la genèse de l'album "Back In Black", consultable sur https://www.youtube.com/watch?v=GCT0bnmyJpg
  6. Interview de Brian Johnson Q Magazine, novembre 2008.[source insuffisante]
  7. (en) Eric Holmberg, « Hell's Bells -The Dangers of Rock and Roll (Part 1 of 5), Transcript of the video (added comments in red); The Power of Music », sur jesus-is-savior.com (consulté le ).
  8. (en) For whom the bell tolls, Anthony Tarantino, The San Diego Union-Tribune, 19 avril 2004.
  9. (en) musicline.de / PhonoNet GmbH, « Die ganze Musik im Internet: Charts, News, Neuerscheinungen, Tickets, Genres, Genresuche, Genrelexikon, Künstler-Suche, Musik-Suche, Track-Suche, Ticket-Suche », musicline.de (consulté le )
  10. (en) « AC/DC Billboard Singles », AllMusic (consulté le )
  11. France, cliquer sur les onglets 1981 et la date du 25 avril 1981
  12. « TOP - 1981 », sur top.france.free.fr (consulté le ).